Divine Madness
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Partagez | 
 

 You feel when i'm in a danger (Henry)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Invité
Anonymous
Invité
.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeSam 13 Nov - 22:12

    Je ne reste jamais seule un samedi soir, c'est rare que je le reste même un jour de semaines remarque. Je ne supporte pas la solitude, c'est comme ça, ça fait parti de moi, sûrement aussi pour cette raison que je m'attache avec tant de désespoir à mon histoire avec Henry qui sait.
    Ashton m'avait appelé pour une soirée, le genre grosse promo qui allait faire parler de nous, j'étais toujours partante, surtout pour faire la fête avec lui. J'imagine qu'Henry devait passer la soirée avec Kristy et je ne préférais pas y penser. Ca me faisait plus de mal que je ne voulais bien l'avouer. Et je transformais toute cette peine en rage, voila pourquoi j'étais de plus en plus incontrôlable, quoi qu'il soit difficile de le faire encore plus que je ne le suis déjà. Mes limites sont repoussées sans cesse, ça fait parti de ma personnalité ça aussi. Ca plaît à beaucoup d'hommes. Hommes dont je ne tiens pas compte parce qu'ils ne sont pas lui, lui, Henry, tel un cancer, une névrose... Mais que je souhaite garder, je ne veux pas guérrir. C'est une douleur que j'aime, qui me rappelle que je suis vivante.
    Après une première partie de soirée en boite et avoir bien profité, l'after ne se fit pas attendre, le Lac Michigan ne fermait pas ses portes LUI ! Ashton et moi n'avions pas besoin d'invitation pour filer rejoindre les autres, nous étions surtout les premiers oui ! Un after au lac signifiait bière à volonté, musique à fond, coups d'un soir et jeux débiles. Un genre de remake du spring break version chez nous quoi, en moindre, mais avec des étudiants encore plus cons qu'en Californie. Et ça, il faut le faire.
    Je me mêlais aux autres, à leurs jeux, avec Ashton aussi, quoi qu'il en soit nous n'avions pas de limites, et pour seul crédo le fait de s'éclater. Faire la fête était notre seconde nature, s'il y en avait un dans le groupe avec qui je partirais pour l'éclate ce serait lui. Adriel pour la tendresse et Henry pour le sexe. J'avais un point d'ancrage précis avec chacun d'eux.
    Nous avoisinions les 5 h du matin, le soleil n'était pas encore levé, de toute façon nous approchions de l'hiver, la nuit durait beaucoup plus longtemps, j'aimais vivre le soir, le seul problème aurait été le froid. Je suis une éternelle insatisfaite, je le sais. Je l'assume.

    Je repris le volant, laissant Asthon sur place, je l'avais vu partir avec une nana dans les bois, ce n'était sûrement pas pour jouer à la crapette ! Je n'avais pas non plus dans l'idée de lui casser son coup. Alors je repartais seule, et ça c'était bien une des rares fois. Seulement je n'étais pas en état de réfléchir. J'avais en tout et pour tout dû boire une demi douzaine de coupes de champagne, et une dizaines de bières durant la soirée. Quelques tournées de vodka et de whisky lorsque j'avais perdu au jeu de la bouteille aussi, je ne sais même plus.
    Les clés en main, arrivant chancelante jusqu'à la voiture, une Cadillac de 1953, modèle original, le rêve de tous fans de Las Vegas et son mythe, je mis une bonne dizaine de secondes à mettre la clé dans la serrure. Assise derrière le volant, je règle le siège, le rétro, et remet quelques minutes à trouver le contact. Ca y est, je peux enfin démarrer ! Je me concentre quelques secondes avant de jouer avec les pédales pour sortir de ce foutu parking sauvage. Maintenant lancée sur la grande nationnale aux airs déserts, je sens, ou plutôt ne sens pas les lignes blanches et le bruit hypnotique des essuies glasses me faire défaut. Il pleut depuis 10 minutes, je tente de garder le cap. Mais d'un coup, le trou noir... Je m'endors. Assomée par l'alcool, la fatigue et les excès.
    La voiture de collection sort de la route et percute une barrière métalique, les étincelles illuminent et rayent ma carrosserie avant que le véhicule ne se retourne violemment. Me voila prise au piège sous la carlingue, le front ensanglanté, trempée, et surtout inconsciente...
Revenir en haut Aller en bas

Henry Fitzroy
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté

.........................

MESSAGES : 1100
AVATAR : Ian Somerhalder
COPYRIGHT : (c) SO = moi
ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs.
GOUTTES DE SANG : 929
You feel when i'm in a danger (Henry)  Dh5rpx


More & More
ÂGE: 5 siècles mon ami!
*RP & PERSO'*FAN DE:
:
TAUX DE CRIMINALITÉ:
You feel when i'm in a danger (Henry)  Left_bar_bleue65/100You feel when i'm in a danger (Henry)  Empty_bar_bleue  (65/100)

You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeDim 14 Nov - 21:06




La promenade nocturne touchait à sa fin, j’étais à cinq cent mètres de mon immeuble et paré pour rentrer boire un peu de SAP, l’air frais ça ouvrait l’appétit. J’avais quelques petits problèmes avec ma conscience ces derniers jours. A croire que la bête en moi laissait place à une forme d’humanité. Tout cela m’effrayait, je ne voulais pas redevenir faible comme je l’étais lorsque j’étais en couple avec Alienor. Tiens en parlant d’elle, voila quelques temps qu’elle ne hante plus mes cauchemars, la douleur semble s’apaiser peu à peu et je suis en train de me demander si ce n’est pas Kristy le médicament miracle, qui mettera fin à mes douleurs. Mais la seule pensée du couple m’effrai, ce cercle dans lequel on s’enferme à deux à été pour moi une très mauvaise expérience. Malheureusement tout un tas d’évènements extérieurs semblent être destinés a briser un couple, et le fait de ressentir cette souffrance une nouvelle fois est au dessus de mes forces. J’ai pu comprendre que Kristy compte pour moi comme Aliénor comptait pour moi il y a de ça cinq siècles, j’ai pu comprendre que Kristy était en mesure de me détruire. Faut-il fuir maintenant ou prendre le risque de disparaitre à jamais ? Toutes ces angoisses étaient en train de fusiller ma créativité artistique, le groupe commençait à voir que j’étais ailleurs, que j’avais du mal, je ne pouvais pas me permettre de réduire à néant ce travail que j’avais construit.

Je me trouvais au bas de l’immeuble et levais la tête vers le ciel orangé, la ville et toutes ces lumières ne me permettaient pas de distinguer la noirceur du ciel, je constatais avec tristesse les effets malsains de la progression des humains, ce masque de pollution englobant la ville m’étouffais nuit après nuit. Quelque chose interrompi ma rêverie, un sifflement aigu retenti dans mes oreilles, mes sens étaient en éveil, un danger, oui je ressentais un danger. Je tournais rapidement sur moi-même avant de comprendre qu’il ne s’agissait pas de moi. Comment était ce possible ? Une odeur de miel et de musc vint à mes oreilles, le sang de Maddison je le reconnaitrais entre mille. Etait ce possible que celle-ci soit en danger ? Etait ce possible que nous soyions connectés par son sang ? Des flashs me vinrent à l’esprit, le lac, une route, un arbre, une chevelure blonde. Plus de doute, je savais ou elle se trouvait. Je me mis à courir, aussi vite que le vent violent de décembre. J’arrivais sur la route conduisant au lac Michigan, mais mon instinct semblait avoir fini de me guider. Ou était elle bon sang ?! Qui en avais après elle ? Un frisson me parcouru le dos, je fermais les yeux un instant priant pou avoir une sort de ces visions que j’avais eu quelques minutes avant. Mais rien. Je pris une profonde inspiration et sentit à nouveau cette odeur. Comme si cette trace pouvait me permettre de retrouver Maddi’ je me mis à marcher précipitatement humant l’air régulièrement.

Jusqu'à ce qu’au détour d’un virage je vois la voiture de Maddi’ au milieu de la route, le toit contre le béton. J’entrouvris la bouche et scannais les environs afin de vérifier qu’il ne s’agissait pas d’un piège, que personne n’était caché derrière un arbre prêt à me tuer. Mais il semblait que je sois seul, une légère odeur de brulé s’échappais de la voiture. Je couru jusqu'à celle-ci et trouvais Maddi’ au volant, le visage bien abimé et couvert de sang… sang dont j’étais accro…aie aie aie. Je serrais la mâchoire et m’empêchais de respirer cette délicieuse odeur. J’arrachais violement la portière et la balançais sur la route. Maddi’ ne semblait pas réagir. Je secouais le bras de Maddi’ en hurlant.

-Maddi’, réveille toi ! MADDIIII PUUUTAAAIIN !!!!!


Je rêve ou je ne contrôlais plus mon stress ? Voila que je me mettais à parler tout seul maintenant.

-oh c’est pas vrai… comment t’as fais ça ? Putain ! Maddi tu va pas me laisser te sortir de cette bagnole sans réagir ? AAHHH mais qu’est ce que j’vais faire bordel !

J’aurais pu me jeter a son cou et siroter jusqu'à la dernière goutte de cet exquis breuvage, mais non, dans ma tête une idée semblait incrustée : impossible de vivre sans son sang. Impossible qu’elle meure ! Non ! Je me penchais dans l’habitacle pour arracher sa ceinture de sécurité. Une goutte à 37,5 degré coula sur mon front. Je fermais les yeux et enserrais le levier de vitesse en inspirant ce délicieux parfum. Je rapprochais ma tête de son front et fixais le liquide rouge avec envie, mes mains tremblaient, je touchais son front du bout des doigts en humectant mes lèvres. J’approchais mon visage du sien et fit glisser ma langue sur ce liquide rouge. Un soupire d’extase s’échappa de ma gorge. Je me reculais vivement.


-voila voila, tu me fait faire des conneries ! Putain MADDDIIIIIII’ !!!!!


Je sortis de la voiture et dégageais prudemment son corps de la voiture. Quand une épaisse fumée noire se mit à nous encercler. J’écarquillais les yeux. La voiture prenais feu, super ! ça va exploser. Maddi’ dans les bras je me mis à courir vite. Mais le feu se répendant rapidement dans le réservoir, j’étais à une bonne distance alors je m’arrêtais et penchais mon corps sur celui de Maddi’ afin de la protéger du souffle de l’explosion et surtout des éventuels débris qui pouvaient s’en échapper.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité
.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeLun 15 Nov - 0:36

    La relation qui nous unis Henry est moi est très difficile à cerner. Ce n'est pas je t'aime moi non plus. C'est je t'aime et moi non. Je suis bien trop accro à lui pour lui en vouloir de quoi que ce soit. J'accepte même ses aventures extra moi si je pu dire. Mais il ne m'appartient pas, il a une sainte phobie de l'idée du couple et je sais pourquoi. Aussi incroyable que cela puisse paraître je le connais sur le bout des doigts, et lui aussi. Remarque connaître une simple humaine est un jeu d'enfant pour un vampire, mais je pense bien pouvoir me venter d'être un prototype particulièrement difficile à suivre. Cependant au delà du fait qu'on se serve l'un de l'autre, moi pour le sexe et lui pour mon sang, nous sommes connectés, nous tenons l'un à l'autre c'est une certitude. Bien plus qu'un lien matériel, il ne protège pas vraiment que sa source, il me protège aussi moi. En deux ans, presque trois, nous avons eu le temps de nous attacher l'un à l'autre. C'est mon amour le plus précieux, même si ce n'est pas réciproque, mais c'est aussi un ami. Avec qui j'ai des moments de complicité comme les autres. Ce soir c'était avec Ashton que j'étais censée être, je ne suis jamais loin d'un des membres du groupe de toute façon, et je ne supporte pas de rester seule. Je n'ai pas énormément d'amis, mais j'ai beaucoup de connaissances avec qui je fais la fête et partage un peu n'importe quoi. Je n'ai pas dit que c'était bien, mais c'est ma façon à moi de me sentir intouchable.

    Je me trouvais sous cette épave, parce qu'il fallait être honnête, ma bagnole de collection ne serait plus qu'un loingtain souvenir. Enfin c'était surtout la bagnole de Ash' et je ne suis pas sûre qu'il soit prêt à me le pardonner. Quoi qu'il en soit il serait difficile de s'expliquer, oui j'étais bourrée et oui j'avais sommeil, mais oui tu es parti t'envoyer en l'air en me confiant les clés de la voiture, donc dans un sens t'es pas innocent. Ma façon à moi de me défendre avec des arguments pourris, non je ne serais pas avocate.
    Henry fini par me retrouver, mais je me trouvais dans un niveau d'inconscience tel que ses paroles ne sonnaient qu'en écho loingtain, comme un rêve désagréable de par la panique ambiance. Je n'avais pas de nausées, je n'étais plus vraiment de ce monde et en train de perdre du sang. Tout me semblait être au ralenti dans mon rêve, j'entendais sans comprendre, comme si j'avais fumé trois pétards de la subtile préparation d'Ashton, le genre qui vous décolle la tête avant même d'avoir tiré dessus.
    Je ne réagis même pas à l'explosion, dans mon rêve ça se traduisait par un rempart de chaleur et le visage d'Henry se penchant sur moi, dégageant délicatement quelques mèches de mon front avant de coller son torse à mon visage pour me protéger de cette barrière de feu. Hallucination, réalité, rêve, inconscience, je ne sais pas, je n'avais pas de lumière au bout d'un tunel comme on le raconte dans toutes ces histoires de dead experience.
    Quelques minutes plus tard, une ambulance arriva, un passant avait du alerter les secours sans oser s'arrêter. Sûrement une bande de jeunes avec encore quelques réflexes, mais trop bourrés et avec un trop gros taux de THC pour risquer de rester dans les parages. Ils m'embarquèrent à bord de leur camion médical. Tentant de remettre à niveau ma tension. Embarquant Henry au passage étant donné qu'il n'y avait pas de voiture dans les parages.

    - Mr vous êtes blessé ?

    Maintenant sur la route, Henry également à bord du véhicule, ils me transportèrent aux urgences, je n'avais pas cette faculté régénératrice comme les vampires, je n'étais qu'une simple humaine et Henry n'avait jamais dû s'en rendre compte aussi bien que maintenant. J'en avais fait des choses pour me mettre en danger, mais jamais de ce genre, je suis inconsciente mais pas suicidaire. En même temps qui aurait pu prévoir ça ? Il me fallait passer sur la table d'opération. Trauma cranien certes mais hémorragie interne. Je ne faisais jamais les choses à moitié, normal non ? Mon père risquait de débarquer, je n'avais pas mes papiers sur moi, au moins ils n'avaient pas à contacter qui que soit. Manquerait plus qu'on ait une femme des Mystic Dolls dans le service et je suis foutue. Avec toutes les fois où j'étais venue faire des points de sutures, mon dossier médical était aussi plein que mon casier judiciaire.
    Je fus remise en chambre, en soins intensifs, resterait à voir comment ça évoluerait, je pouvais me réveiller d'un moment à l'autre, j'étais apparement hors de danger. J'ai un bol de cocu, mais ça je sais d'où ça vient ^^
Revenir en haut Aller en bas

Henry Fitzroy
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté

.........................

MESSAGES : 1100
AVATAR : Ian Somerhalder
COPYRIGHT : (c) SO = moi
ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs.
GOUTTES DE SANG : 929
You feel when i'm in a danger (Henry)  Dh5rpx


More & More
ÂGE: 5 siècles mon ami!
*RP & PERSO'*FAN DE:
:
TAUX DE CRIMINALITÉ:
You feel when i'm in a danger (Henry)  Left_bar_bleue65/100You feel when i'm in a danger (Henry)  Empty_bar_bleue  (65/100)

You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeMer 17 Nov - 20:55




La jolie voiture partie en fumée avait explosée en milles morceaux, les débris se répandaient sur la route et dans la forêt. Je regardais le visage de Maddison, ces paupières n’avaient pas bougés, je soupirais afin de tenter de me calmer. Je fermais les yeux un instant et écoutais son cœur, son rythme cardiaque était léger mais régulier et le sang circulait toujours dans ces veines. J’expirais fortement de l’air comme soulagé, mais cela n’expliquait pas pourquoi elle ne reprenait pas conscience ! Au loin j’entendis une sirène, une ambulance arrivait, mais qui donc avait prévenu les secours ? Moi-même tel un imbécile je ne l’avais pas fait ! Maddi’ avait elle tenté de mettre fin à ces jours ? Puis finalement prise de panique avait elle appelé au dernier moment ? Je fit glisser une main sur son visage, ma voix douce et rassurante se fit entendre.


-Courage ma belle ! Tiens le coup les secours arrivent !


Le sang qui coulait sur son front se répandit sur mes doigts ! Ah mais c’est pas vrai ! Je tremblait comme un drogué en manque de sa dose, il se trouve justement que ma dose est sous mon nez ! Je fermais les yeux et ma mâchoire se crispait, j’agitais la tête de gauche à droite afin de résister à la tentation de sucer son sang jusqu’à la dernière goutte. Mais un crissement de pneu me sorti de ma souffrance. Les ambulanciers chargèrent Maddi’ sur le brancard, je fixais la scène comme si tout allait si vite autour de moi, comme si j’étais le seul à fonctionner au ralentit. Je regardais mes mains couvertes de sang, je portais mes doigts à ma bouche lorsqu’un homme m’invita à monter dans le camion. Je plaçais alors mes mains derrière mon dos et essuyais le sang sur mon jean, avant de monter à l’arrière. L’homme qui s’occupait de Maddi’ se tourna vers moi, il posa sa main sur mon front m’agitant une lampe devant les yeux. « - Mr vous êtes blessé ? » Je fronçais les sourcils et attrapais sa lampe.

-Si vous regardiez un peu la télé vous sauriez très vite que NON !

Lançais je sur ton ton agacé. Non pas parce qu’il ne m’avais pas reconnu, mais parce qu’il s’occupait de moi au lieu de s’occuper de Maddi’, je lui rendis la lampe et fixais la jolie blonde qui dormais toujours.


-Occupez vous d’elle, réveillez la je vous en supplie !


Ma voix était beaucoup moins assurée, elle déraillait et tremblait sous l’effet de la panique. L’arrivée aux urgences n’arrangea rien. Je me trouvais dans un hôpital, avec des blessés, des faibles et de réserves de sang. Je tournais en rond dans la salle d’attente lorsqu’ils emmenèrent Maddi’ au bloc. J’attrapais mon téléphone et appelait Adriel mais je tombais sur le répondeur. Je raccrochais le télephone, je ne savais plus qui appeler, j’étais paniqué. Linsey je devais prévenir Linsey. Il manquerait plus qu’il y ai une fuite et que les journalistes se bousculent aux portes de l’hôpital.


-Li..Lin..Linsey...c’est Henry..oui je sais que je te reveille...oui..oui...grave..c'est Maddi'...à l’hopital...non....je...euh...je ne sais pas encore...oui..ok..merci…


Je raccrochais le téléphone les mains tremblantes, une jeune fille était assise à ôté de sa mère et elle me fixais avec insistance, des yeux brillants elle se leva vers moi, je lui tournais le dos et sortit de la pièce. Je n’étais pas d’humeur à parler aux fans ! Dans le couloir le dos appuyé au mur je me laissais glisser sur le sol. Je remontais mes genoux contre mon torse et posais mes bras dessus, j’enfoui ma tête dans mes bras lorsqu’on m’interpella.
« -Monsieur ? » Je relevais la tête, un médecin se trouvait devant moi. Je me remis rapidement sur mes pieds, si bien qu’il arcqua un sourcil, comment un humain pouvait il faire ça ? Le médecin n’en tenu pas rigueur il poursuivit : « votre petite amie à été ramenée dans sa chambre, aux soins intensifs, chambre 108, elle à besoin de repos. » Je hochais la tête et marchais d’un pas pressé dans les couloirs, une fois devant la chambre je soupirais et affichais un sourire sur mon visage avant d’ouvrir la porte. Mais ce sourire s’effaça aussitôt lorsque je vis qu’elle avait toujours les paupières closes. Son front était recousu, sa respiration était lente, j’entendais à peine le goutte à goutte de sa perfusion à cause de cette affreuse machine qui faisait des bruits aigus, je tournais les yeux vers l’écran, c’était son rythme cardiaque. Oh mais quel bruit atroce pour mes oreilles sensibles. Je fonçais les sourcils et grimaçais , je m’assis sur le rebord du lit et posais ma main sur la sienne.





Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité
.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeSam 20 Nov - 20:52

    Je me suis toujours perdu dans le mystère, dans le mystère de tout. De mes relations, de ce que je pouvais ressentir, de l'image que je pouvais renvoyer. Le mystère c'est le flou, et le flou c'est la dispense d'explications et donc la dispense de se rendre à l'évidence. Je ne sais pas si je le vivrais aussi bien si je me posais autant de questions que je ne le devrais. Je crois que malheureusement je m'en pose trop sans vouloir y répondre. Ce ne sont pas les questions le problème, mais les réponses. Pourquoi ma mère est partie ? Pourquoi je ne peux m'empêcher d'être fascinée par le mal personnifié ? Pourquoi je reste même s'il me manque totalement de respect et que le moindre de ses agissements est contraire à mon idéologie ? Je ne sais pas, et je ne sais même pas si je souhaite en avoir les réponses. Je suis compliquée comme fille, mais ça a toujours fait mon charme et quelques fois Henry m'avouait qu'il était attiré par ça. Mais je le sais fin manipulateur et très adroit quand à la gestion de ses ressources humaines, après tout nous ne sommes que des pions sur un échiquier pour lui, et il sait nous gérer mieux que personne.

    Dans le cas où j'aurais été consciente, j'aurais été touchée de sa détresse. Ce n'est pas la simple peur de perdre sa dose de sang, peut être qu'un lien s'est établi entre nous. Plus fort de mon côté que du sien, je le conçois, mais est-il possible de ressentir ce que moi même je ressens ? Je me sens surhumaine des fois, parfois la souffrance est telle que je me dis que je dois être dotée de superpouvoirs pour parvenir à la supporter et relever la tête. Mais je suis toujours là, à l'appeler à l'aide, à le porter aux nues, à le combler quand il en a besoin, je me sens faible et terriblement forte à la fois. Je ne l'explique pas, et je tourne en rond à me poser inlassablement les mêmes questions sans avoir de réponses à fournir.
    Je me retrouve sur ce lit d'hôpital, perfusée, ne sachant pas comment ni pourquoi j'ai attérit ici, je suis entre deux mondes, d'un côté il y a cette chaleur qui ressemble à celle d'un cocon que je ne veux pas quitter, qui s'appelle le coma, et qui je dois dire, est super agréable pour couper court à tous ses problèmes, et de l'autre il y a la réalité, l'essence même des choses, le phénomène qui me pousse à être au milieu de l'action et à tout vouloir controler. Je ne supporte pas que la vie me file entre les doigts, alors je lutte, de toutes mes forces, du moins de celles qu'il me reste.

    Henry et moi on nous confondait souvent comme étant en couple. En même temps la presse people jazzait beaucoup, et puis nous vivions du scandale, c'est ça qui fait vendre maintenant, il ne faut pas se leurrer. Et pas besoin de venir du fin fond de l'Upper East Side pour savoir ça. On faisait beaucoup de choses ensemble, parfois ça me donnait de faux espoirs, mais j'aimais m'y raccrocher comme à rien d'autre. Me voiler la face est une de mes plus grandes qualités ! Sortir, coucher, jouer... Nous étions deux, pour beaucoup de choses, mais tellement seuls pour d'autres !
    Je fronçais les sourcils, tandis que je redoublais d'efforts pour m'extirper de ce cauchemars de bien être, je n'ai jamais aimé les choses trop simples, j'aime galérer, névrose quand tu nous tiens...

    Hen... Henry... Mais qu'est... Qu'est ce que je fais là... Putain ma tête...

    Je soupirais et refermais les yeux, je ne parvenais pas à comprendre comme je pouvais ressentir une telle douleur sans que ma tête n'explose. Je ne vous parle pas de la gueule de bois monumentale d'après soirée étudiante, ou fête de disque d'or, non non, rien de comparable. Là j'avais carrément du manger de la tôle de chaque côté de ma tête tellement je me sentais prise dans un étau serré au max.

    Qu'est-ce-que tu fais là toi ?

    Ma voix restait douce et endormie, y en a qui apprécieraient ! Sa main sur la mienne, je fis glisser mon pouce sur le dos de sa main, je ne pense pas que ce soit le genre de trucs qui le mette mal à l'aise, on a fait BIEN pire tous les deux. Je ne pense pas qu'il ait encore un fantasme inexploré, j'ai bien du faire le tour de la question, en tout cas ce n'est pas la diplomatie qui l'étouffe quand il me demande quelque chose du genre.
Revenir en haut Aller en bas

Henry Fitzroy
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté

.........................

MESSAGES : 1100
AVATAR : Ian Somerhalder
COPYRIGHT : (c) SO = moi
ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs.
GOUTTES DE SANG : 929
You feel when i'm in a danger (Henry)  Dh5rpx


More & More
ÂGE: 5 siècles mon ami!
*RP & PERSO'*FAN DE:
:
TAUX DE CRIMINALITÉ:
You feel when i'm in a danger (Henry)  Left_bar_bleue65/100You feel when i'm in a danger (Henry)  Empty_bar_bleue  (65/100)

You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeMar 23 Nov - 0:05


Je fixais avec inquiétude ces atroces machines auquel on avait branché Maddi’, non seulement je n’appréciais guère le fait que ce soit nécessaire pour sa survie, mais aussi le fait que les bruits qu’elles émettaient étaient aigus et atroces. Les humains avaient donc une si mauvaise ouie que cela ? Je massais mes tempes afin d’apaiser la douleur et l’état de stress dans lequel je me trouvais. J’avais la sensation que cette prison que l’on nommait chambre d’hôpital était en train de tourbillonner autour de moi, je happais de l’air comme si j’étais en train d’étouffer, mon index glissa sur le col de mon tee-shirt pour tenter de desserrer le tissu de ma gorge. Mais tout à coup la machine me fit sursauter, la respiration de Maddi’ s’intensifia, je me tournais vers celle-ci et la bouche entrouverte je découvris que ses paupières venaient d’entrer en mouvement découvrant ses yeux. Je m’avançais lentement vers le lit lorsque celle-ci se mit à me parler «Hen... Henry... Mais qu'est... Qu'est ce que je fais là... Putain ma tête » Je fronçais les sourcils lorsque celle-ci ferma les yeux une nouvelle fois. Je pris place sur le lit à ses côtés afin de l’apaiser par ma présence. Je posais ma main sur la sienne pour lui apporter du soutien et de la douceur. Comme si ça pouvait l’aider ! Pff je me sentais tellement inutile à cet instant. La jolie blonde finissait par rouvrir les yeux, je penchais la tête sur le côté et lui adressait un sourire tendre. Sa voix douce me caressa les oreilles « Qu'est-ce-que tu fais là toi ? » Que devais-je lui répondre ? On dit qu’il ne faut pas choquer une personne dans cet état. Mais je ne suis pas médecin et j’ai beaucoup de mal avec les « on dit ». Je raclais ma gorge et posais mon regard sur le pouce de Maddi’ qui glissais sur le dos de ma main.
-Tu as besoin de repos il me semble.. Euh..eh bien.. dans un autre contexte j’aurais pu te fâcher ! Tu ne te souviens donc pas de ce qui c’est passé ?
Je soupirais et levais les yeux au ciel, à la fois soulagé et inquiet quand aux raisons de l’accident. Comment en était elle arrivée la ? Quelqu’un l’avait il aidé à quitter la route ? Pourquoi était elle dans la voiture d’Ashton ? Tellement de questions tournaient en boucle dans ma tête. Je ne savais même pas par ou commencer et puis je craignais de l’assommer avec mes questions. Je la fixais dans les yeux et d’une voix basse je lui dis :

-J’ai eu peur..très peur tu sais ?

Je me penchais sur elle pour lui déposer un baiser sur le front. Une fois redressé je m’emparais de la main de Maddi’ pour la poser sur mes genoux, bien encadrée par mes deux mains.

-Pourquoi étais tu dans la voiture d’Ashton ? Ou il est celui la ?

Les sourcils froncés et le ton grave, j’en avais presque oublié son état de faiblesse tellement les questions m’angoissaient. J’avais du faire preuve d’une certaine patiente pour sélectionner ma question, en réalité il y en avais deux mais je n’avais pu me retenir d’en poser deux. Le visage fermé et les traits de mon visage semblaient plus durs, comme si l’inquiéude rendait mon visage froid et peu agréable. Je me demandais même si cette « chose » que je ressentais depuis quelques temps, cette sensation d’être suivis était la cause de l’accident de Maddi’. Aucunement je n’avais envisagé la question du suicide ou encore de l’ivresse, non je croyais qu’il s’agissait de quelque chose de plus sombre, de plus dangereux, de plus… Oui ok je frisais la paranoia ou surestimais la nature de Maddi’, elle n’était qu’une simple humaine et non une invincible comme je continuais à croire. Je soupirais et me levais du lit. Un docteur venait de faire son entrée dans la pièce, il osculta Maddi’ et m’exprima sa joie quand à son rapide rétablissement, il la qualifia de chanceuse et robuste. Je fronçais les sourcils lorsqu’il s’avança vers moi.

« J’aurais quelques questions à vous poser monsieur ? »

-Fitzroy !

Répondis je sur un ton froid, cela sembla le destabiliser un peu. Il eu un peu de mal à me parler et me demanda de passer le voir dans son bureau. Pourquoi donc ? Je n’étais pas dupe, il voulait certainement connaitre les causes de l’accident pour contacter la police et mener une enquête ! Ah les médecins me font bien rire avec leurs excuses de secret professionnel. Je croisais les bras et soupirais.

- Eh bien si cela ne concerne pas l’accident je pourrais surement vous aider ! Mais je suis arrivé sur les lieux juste avant les secours.

Je haussais les épaules et celui-ci hocha la tête. Il semblait surpris de ma réponse, avait il manqué de subtilité ou étais je plus intelligent qu’il ne le pensait ? Il se sentait de plus en plus mal à l’aise étant donné son rythme cardiaque qui n’avait cessé d’augmenter. Il me remercia et sortit de la pièce. Je tournais la tête vers Maddi’ et croisais les bras.

- Il vaut mieux pas que la police s’en mêle, les sandales c’est sympa mais faudrait peut être se calmer un peu.
Je soupirais et retournais m’assoir au près de la jeune femme.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité
.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeJeu 25 Nov - 16:38

    Ce qui s'est passé ? Oh pour ça il faudrait que je parvienne à penser entre les pics de douleurs qui me labourrent le crâne. Je ne sais pas ce que j'ai fais pour en arriver là mais ça ne doit pa être super glorieux. J'ai sûrement dû faire la fête, un peu trop. Quand on se retrouve face à un tel néant il vaut mieux adopter les hypothèses et les probabilités, je ne pense pas être loin de la vérité si je me base sur ce que je fais d'habitude. Toujours est il que le fin mot de cette histoire ne me revient pas. Hier soir je me souviens simplement d'avoir appelé Ashton pour sortir, il était partant pour une soirée en boite qui s'est finie au lac. Mais alors ce qu'on a bien pu faire au lac... Encore une fois en me basant sur nos habitudes je dirais que nous avions fait notre chemin chacun dans son coin. On se retrouvait de temps en temps au bar pour se resservir mais le reste consistait en une chasse sans mercie aux hormones et au désir. J'avais dû trouver un ou deux garçons mignons, et lui avait dû en profier pour s'éclipser avec une fille pas trop regardante vu l'état dans lequel il devait être. Asthon bourré est amoureux de tout le monde, super affectueux, c'est le même en mieux quoi ! Je dois dire qu'il n'a pas l'alcool mauvais, et ça en fait au moins un sur le lot. Quoi que bien imbibée je suis docile aussi. Surtout face à Henry. Remarque face à Henry je ne ressens pas le besoin de me forcer.

    Juste du... Du Lac, enfin je crois, je l'ai peut être rêvé...

    Je passais ma main libre sur mon front. Une soif sans nom me tordait la gorge, sûrement l'anesthésie. Je ne sais pas si j'avais eu à passer sur le billard ou non, je me souvenais juste de mon nom, ce qui est déjà pas mal ! Je n'étais pas amnésique. J'aurais eu l'air bien con sans ça.
    Egoïstement je profitais de la main qu'Henry me tendais, je n'allais pas me laisser faire si facilement, il était avec moi ce soir, je lui avais même fait peur, preuve qu'il tenait tout de même un minimum à moi. Moi ou mon sang, mais il m'appartient de l'interpréter.

    Ca va, t'inquiète pas, tu ne viendras pas à bout de moi comme ça.

    Je lui souris légèrement en passant ma main libre sur sa joue. Je ne pouvais m'empêcher ce genre de gestes affectueux avec les garçons, j'étais très tactile et qu'ils soient en couple ou pas je m'en contrebalançais. On était de toute façon très soudés tous les trois.

    J'étais dans la voiture d'Ashton ?

    Surprise, dernière nouvelle. Qu'est-ce-que je foutais dans sa bagnole exactement ? Bonne question, moi même je me la pose. Toujours est il qu'il serait temps de trouver des explications, maintenant il faut veiller à ce que je ne sois pas surveillée comme le lait sur le feu, je ne supporte pas d'être épiée. Alors si mon père l'apprend c'en est fini de ma pseudo liberté ! Il est flic, donc protecteur et très à cheval sur la sécurité routière.Oui j'ai sûrement bu, oui j'ai fais la fête et non je n'ai pas prévenu. De toute façon qu'est-ce-que ça aurait changé ?

    Il a dû... Se trouver une nana pour passer le temps.

    Nouveau sourire en m'appuyant sur les coussins, je suis épuisée et j'ai l'impression d'avoir autant de courbatures que si on m'avait pressée entre 4 murs de tôle.

    J'ai plié sa bagnole, c'est ça ?

    Alors là j'adopte le sourire désolé, je vais morfler c'est clair et net, bon en même temps il n'était sûrement pas en état de peser le pour et le contre avant de me donner les clés de sa bagnole, enfin j'imagine.
    Puis il me parla de police après s'être entretenu avec un médecin. Ca allait gueuler. Moi je vous le dit !

    J'ai pas spécialement envie que mon père ce pointe...

    Les flics c'est mon père, chef de la brigade, il n'y a que lui qui se déplacera et quelques secondes mains pour m'interroger, mais si on peut éviter tout ça je lui en serais reconnaissante.
    Moue de petite fille qui boude, il est hors de question que je ne rende des comptes à qui que ce soit.
Revenir en haut Aller en bas

Henry Fitzroy
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté

.........................

MESSAGES : 1100
AVATAR : Ian Somerhalder
COPYRIGHT : (c) SO = moi
ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs.
GOUTTES DE SANG : 929
You feel when i'm in a danger (Henry)  Dh5rpx


More & More
ÂGE: 5 siècles mon ami!
*RP & PERSO'*FAN DE:
:
TAUX DE CRIMINALITÉ:
You feel when i'm in a danger (Henry)  Left_bar_bleue65/100You feel when i'm in a danger (Henry)  Empty_bar_bleue  (65/100)

You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeSam 4 Déc - 16:59


Je fixais Maddison avec inquiétude, en effet le choc de l’accident semblait avoir efface ses souvenirs, bon elle souvenait tout de même du lac, étant donné que je l’ai trouvé sur la route menant au lac son souvenir semblait être exact. Je hochais donc mollement la tête en la gratifiant d’un sourire plutôt rassurant. Elle semblait deviner mon inquiétude, à travers ma phrase je soupirais et levais les yeux au ciel lorsqu’elle me dit : « Ca va, t'inquiète pas, tu ne viendras pas à bout de moi comme ça. » Enfin lorsque l’on est humain jouer avec le feu peut se révéler être une chose très dangereuse, leurs corps et leurs vies sont tellement fragiles ! Je la regardais et écoutais attentivement ses réponses pas franchement rassurantes. En effet elle passait par tout les stades : surprise, amusée, et arbora même un air de culpabilité. Quelqu’un l’avait il donc drogué pour qu’elle ne se souvienne de rien ? Ou me cachait elle quelque chose afin de se couvrir et d’attirer l’attention sur elle ? Je restais assez sceptique, puis une pensée me traversa l’esprit et si le choc aussi violent soit il, avait endommagé une partie de son cerveau et perdu une partie de sa mémoire ? Je devrais peut être en toucher deux mots au médecin. Assis sur le lit je glissais le bout de mes doigts sur son avant bras, geste tendre et rassurant dont j’avais perdu l’habitude, surtout avec elle. Je lui murmurais d’une voix douce.

-Ecoutes pour le matériel c’est pas un problème et si Ashton n’est pas content sache qu’il aura affaire à moi ! De toute façon il est en tord, il n’aurait pas du te laisser partir seule.

Je levais les yeux au ciel et soupirais avant de la regarder en fronçant les sourcils.

-De toute façon J’ai bien l’intention de savoir ce qu’il c’est passé exactement.

Je lui adressais un petit sourire et fixais son visage. Ma main se dirigea doucement vers son visage et effleurai celui-ci du bout des doigts. Un petit rire amusé s’échappa d’entre mes lèvres.

-Je pense qu’on va annuler le shooting de demain, tu t’es bien amochée quand même !

La tête penchée sur le côté et un regard moqueur je tentais de m’amuser de la situation. Maddi’ ne faisait pas partie des gens qui aimaient le statu de fragilité et de faiblesse, elle n’aimait guère les gens qui se faisaient plaindre. Alors je tentais de ne pas lui offrir cette ambiance de peine et d’angoisse. Je continuais de caresser son visage comme pour l’aider à plonger dans le sommeil mais un élément inattendu perturba le calme et la douceur qui emplissaient cette pièce. J’avais ramassé la jeune femme tôt dans la matinée et entre le transport en ambulance et son passage au bloc opératoire je n’avais pas vu le temps passer. L’aube était venue et la surprise fut grande.
Le ciel se colorait et à travers la vitre de la chambre un rayon de soleil vint éclairer mon corps. Mon bras nu et mon visage se mirent à crépiter et à rosir. Je poussais un cri de douleur et en un bon je me retrouvais plaqué contre le mur. Par chance ce mur était encore tapis dans l’ombre, mais je n’avais que quelques minutes devant moi. Crispé par la douleur je crachais violement de l’air afin de supporter cette brulure atroce. Je jetais un coup d’œil rapide au regard horrifié de Maddi’. Puis tendait une main tremblante vers le bâton suspendu au mur par un fil. Je tirais sur le fil et empoignait l’objet qui allait me sauver la vie. Je le tenais fermement dans ma main tremblante et appuyais une bonne dizaine de fois sur le bouton avec mon pouce. Il fallu alors trente secondes pour qu’une infirmière arrive dans la chambre. Elle fronça alors les sourcils en constatant que ce n’était pas Maddi’ qui appelait à l’aide mais moi !

-Fermez ces rideaux je vous en supplie …

Murmurais je d’une voix agacée. L’infirmière se précipita vers la fenêtre et ferma le store éléctrique. Elle s’avança vers moi et croisa les bras me fixant d’un air sévère. Elle me lança sur un ton agacé.
-Infirmière : « Que faites vous ici ? Pour des raisons de sécurité les vampires ne sont pas admis dans les hôpitaux ! »
Le visage crispé par la douleur je lui lançais un regard noir.

-C’est une plaisanterie j’espère ? Nous avons les mêmes droits que tous je crois ! Et puis je suis civilisé quand même ! Vous ne regardez donc pas la télé ?

Je m’assit mollement sur le lit et attrapait la main de Maddison, à bout de force et secouais la tête de gauche à droite et soupirais.

-Je viens de sauver la vie de la batteuse de mon groupe et je tiens rester à ces côté ! Que vous le croyez ou non nous aussi nous avons un cœur !

Je lui lançais un regard méprisant lorsqu’un médecin entra dans la pièce. Il s’approcha de moi et touchais ma peau qui était en train de cicatriser lentement.
Le médecin : « sachez monsieur que cet hôpital est sous surveillance et nos réserves de sang sont soigneusement gardées ! Comment osez vous vous attaquer aux patients ?! »
J’écarquillais les yeux et entrouvrait la bouche avant de claquer mon front avec la paume de ma main. Je le regardais et on sentit dans ma voix la colère et l’agacement. Comment osaient ils raconter des sottises pareilles ? Je ne comprenais pas cette injustice et ce jugement. Il se fiaient tout deux aux apparences sans même connaitre ma version et celle de Maddi’ concernant cette histoire.

-C’est une camera cache ou quoi ? Puisque je vous dis que je suis la pour soutenir mon amie !

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité
.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeVen 10 Déc - 16:31

    "La vie ne tient qu'à un fil Maddie, tu vas finir par faire une connerie". Je l'entends depuis toujours ce refrain, et pourtant je n'en n'ai toujours rien à faire. La vie vaut la peine d'être vécue, mais pas n'importe comment. Le 100 à l'heure me fait vibrer, et puis il faut savoir prendre des risques pour vivre à fond. Je n'aime pas ma vie sans frisson, je n'ai rien d'autre que l'adrénaline que me procurent les concert, les rares moments de tendresse qu'Henry m'accorde et encore et toujours cette fusion qui fait bouillir mon sang à tel point que je me sens invincible. Je ne pourrais pas vivre dans un état dépressif, se replier sur soit, se pleindre... J'ai besoin d'échanger avec les autres, de bouger, de braver les interdits, et puis les règles sont faites pour être transgressées non ? Les règles de la vie c'est une autre paire de manche mais Henry est toujours là pour me sauver. C'est quelque chose que je découvre avec joie, ce lien qui nous lie, de façon à ce qu'il soit mon ange gardien. Bon OK c'est un peu mon diable gardien mais malgré la formule le concept reste le même.

    Il avait autre chose à faire, elles étaient sûrement très belles.

    Petit sourire, Ashton ne se contentait jamais d'une seule fille. Ce n'était pas rare qu'on le retrouve dans un coin de l'appart d'Henry entouré de belles créatures. Après tout si son truc c'était les femmes... Moi je dis y a pas de mal à se faire du bien ! Les doigts du chanteur remontèrent le long de mon bras, je saisi sa main entre les deux miennes, remontant sur son épaule. J'aimais ce genre de moments, je savais aussi faire des pauses dans ma vie de tarée de temps en temps, et s'il daignait m'en offrir un peu plus souvent il pourrait prétendre à faire changer la personnalité de Maddison Keller.

    Nan nan nan, on n'annule rien du tout, les femmes avec des cicatrice paraît que c'est sexy...

    Clin d'oeil amusé. Henry était plutôt du genre à aimer le défi, les femmes fatales, celles qui avaient vécus, pas l'immaculé conception avec son habit de vierge. Pourtant il était tombé sur Kristy... Enfin bref, on ne va pas revenir dessus, c'est avec moi qu'il est.
    S'en suivit un épisode typiquement vampirique. Coincé par un rayon de soleil, il céda à la panique et l'infirmière à l'exaspération. Les vampires n'étaient jamais vraiment les bienvenus dans les hôpitaux, normal, ce sont des buveurs de sang, et combien de fois aux infos on avait entendu parler de pillage de banque de sang ? Le SAP va bien 5 minutes mais j'imagine que c'est comme pour un fumeur. Les patchs ça va bien le temps que ça va, mais quand il faut une vraie dose, on n'y résiste pas. Pour une fois je n'avais pas cette névrose, remarque j'avais toutes les autres...

    Laissez, c'est bon, c'est mon petit ami.

    Histoire de couper court à toute conversation, j'empoigna son col pour l'embrasser fougueusement. Elle ne pouvez donc plus s'opposer à sa présence. Un air hautain sur le visage, elle nous dévisagea et tourna les talons en soufflant d'indignation tandis que je caressais tendrement sa main. Quand elle fut parti je le lâcha, j'en avais profité, je le reconnaîs, mais après tout ce qui est prit n'est plus à prendre.

    C'était le seul moyen pour qu'elle te lâche. Tu feras mes excuses à Kristy.

    Peste que je suis ! Evidemment que je voulais le crier sur tous les toits et voir sa gueule ensuite. Ca me ferait rire 5 minutes. Provoqu' quand tu nous tiens... Je me mis à rire pour moi même et tenta de me lever, difficilement. Une fois debout, je retira l'espèce de chemise de nuit immonde de l'hôpital, me retrouvant en sous vêtements, à la recherche de mes fringues.
Revenir en haut Aller en bas

Henry Fitzroy
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté

.........................

MESSAGES : 1100
AVATAR : Ian Somerhalder
COPYRIGHT : (c) SO = moi
ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs.
GOUTTES DE SANG : 929
You feel when i'm in a danger (Henry)  Dh5rpx


More & More
ÂGE: 5 siècles mon ami!
*RP & PERSO'*FAN DE:
:
TAUX DE CRIMINALITÉ:
You feel when i'm in a danger (Henry)  Left_bar_bleue65/100You feel when i'm in a danger (Henry)  Empty_bar_bleue  (65/100)

You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeSam 18 Déc - 18:52

J’étais dans une colère noire, mon anxiété concernant l’état de santé de Maddi’ n’avais rien arrangé, j’avais failli y passer et ces imbéciles me jetaient limite dehors. Non mais ils se prenaient pour qui ? Si j’avais voulu il ne m’aurait fallu même pas deux secondes pour leur arracher leurs petites têtes si fragiles. Ces deux humains stupides ne respectaient pas l’égalité entre les races. Nous étions contraint à nous alimenter d’une boisson de m*rde et en plus fallait qu’on soit exclus de certains lieux, non mais j’hallucine, elles sont belles leurs lois prônant la justice et l’égalité ! Maddi’ me connaissait mieux que quiquonque et il lui fallu que peu de temps pour deviner que la situation risquait de dégénérer, elle était tout d’abord restée en retrait mais n’avais pas mit longtemps à se mêler au dialogue houleux. « Laissez, c'est bon, c'est mon petit ami. » Je tournais la tête vers elle, un peu surpris mais soulagé j’eus à peine le temps de lui adresser un sourire amusé que celle-ci empoigna le col de mon tee shirt afin d’argumenter ces dires d’une manière explicite. En effet j’en eu le souffle coupé par une telle fougue. Je me détachais lorsque j’entendis l’infirmière soupirer et claquer lourdement ses pieds sur le sol, marquant sa colère. Me faire sortir de l’hôpital de force aurait fait une affaire d’état et les vampires du gouvernement n’auraient pas laisser cette histoire sans suite. Donc même si officieusement on interdisait l’accès aux hôpitaux pour notre espèce, officiellement ils n’avaient aucun droit de nous y expulser, ils craignaient trop une guerre civile, et inutile de vous dire qui aurait gagné la bataille !

Mon regard se posa sur Maddi’ et je laissais échapper un rire amusé, content qu’elle est évité un dérapage de ma part ou une longue et fatiguante argumentation face au personnel de cet hôpital. J’ose espérer qu’ils étaient aussi talentueux qu’agaçants ! Maddi’ n’avais pas la langue dans sa poche et même blessée et fatiguée elle ne perdait pas une occasion pour jouer de la provoc’, tout d’abord un baiser fougueux et puis cette phrase : « C'était le seul moyen pour qu'elle te lâche. Tu feras mes excuses à Kristy. » dans laquelle j’y ressentait une pointe d’ironie et une légère attaque bien piquante. J’arquais un sourcil et tordais ma bouche en une sorte de grimace. Devais je relever ? Cela me semblait inutile, je n’avais pas la moindre envie de me disputer avec elle surtout dans l’état dans lequel elle se trouvait. En parlant de ça d’ailleurs, pourquoi c’est elle levée ? Je la regardais intrigué pensant qu’elle avait une envie pressante, mais non la demoiselle ôta sa chemise d’hôpital. Euh qu’est ce qu’elle me fait la ? Pas ici quand même ? Non non je devais avoir les idées tordues car elle ne me prêtais aucune attention, elle semblait chercher quelque chose. Je glissais une main sur ma nuque en fronçant les sourcils. Elle cherchait ses vêtements, non mais elle est pas cinglé ? Elle voulait sortir ? Déjà ? Je me levais du lit sur lequel j’étais resté sagement assis à regarder les allées et venues de Maddi’ en tenue sexy. Je m’approchais celle-ci alors qu’elle était en train d farfouiller dans le placard. Je glissais une main sur son ventre et mon autre main se posa sur son épaule, je posais ma tête sur celle-ci et lui murmurais.

-tu fais quoi la ? Tu comptes pas t’enfuir quand même ?

Je le fit pivoter en effectuant une presion sur son ventre, j’ôtais alors ma main de son ventre pour faire glisser le bout de mes doigts sur sa joue, mon autre main elle s’empara de son poignet, alors que je reculais doucement vers le lit. Avec Maddi’ inutile de jouer au rapport de force car c’est toujours elle qui gagne, il faut être stratège et malin pour lui faire entendre raison. Un sourire amusé scotché aux lèvres, je m’asseyais sur le lit en l’attirant à moi. Elle se retrouva sur mes genoux et j’attrapais sa blouse pour lui poser délicatement sur les épaules. Inutile qu’elle prenne froid en plus de ça.

-tu va rester ici, tu as besoin de repos.


Murmurais-je en plongeant mon regard hypnotique dans le sien. Je déposais un doux baiser sur son front afin d’être un peu plus convainquant. Plutôt pratique le charme des vampires, avec Maddi’ c’était indispensable étant donné son caractère bien trempé et sa tête de mule.Je fis alors glisser mes doigts sur son visage dégageant au passage une de ses mèches de cheveux qui venait de se coller à sa bouche.

-je reste avec toi.

Mais la douceur et le silence semblaient ne pas vouloir perdurer, mon téléphone portable vivra dans ma veste de cuir, j’avais la sensation que tout le lité c’était mis à trembler. J’attrapais l’objet et regardait le numéro qui appellait, c’était Lindsay, je m’empressais de décrocher.

-oui ? Oui oui c’est bon elle est réveillée, euh ? quoi maintenant ? Oui bah euh.. en fait je suis coincé la bas, ouais euh.. j’apellerais la limo oui oui pas de suite…ok a toute…


Je raccrochais et soupirais en adressant un sourire à Maddi’.

-Lindsay va arriver.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité
.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitimeSam 18 Déc - 20:23

    Je n'ose même pas imaginer ce que donnerait une guerre d'Etat entre les vampires et les humains. Nous serions décimés en moins de deux, d'ailleurs c'est super injuste comme système, tout simplement parce que pour prendre des forces, ils doivent nous bouffer, seulement le truc c'est que ça nous tue par la même occasion. Alors non seulement ils se taperaient le plus grand régime vitaminé de toute l'histoire mais en plus ils prendraient le pouvoir. Moi je dis que la nature est mal faite.
    Je n'ai jamais pensé à être transformée, peut être parce que ma condition d'humaine esclave d'un chanteur beau comme un dieu pour lequel je joue les percus me suffit amplement. Je ne sais pas si j'ai un jour vraiment eu la vocation d'être soumise à un homme, en tout cas les faits sont là, j'en suis complètement dingue et je suis prête à tout accepter pour lui, comme il en accepte beaucoup pour moi, même si c'est dans son unique intérêt. Vampire ou pas, ça reste un homme, on ne peut pas lui demander d'être parfait, au risque de mourrir une deuxième fois.

    Je ne supporte plus de rester en place, il me connaît, passé les 10 minutes il faut que je bouge, on se demande pourquoi ma chambre est semblable au Tsunami du Sri Lanka parfois. J'aimerais prendre mon appartement mais mon père, et on se demande encore comment il arrive à se préoccuper de moi, a posé une condition dans les contrats quand j'ai commencé à jouer pour les Mystics Dolls, voila deux ans. J'en avais 17 à l'époque et il a exigé que tous mes cachets soient bloqués sur un compte jusqu'à mes 21 ans. Mais le jour même du débloquage du compte je me prend un appart de fou, vue sur le lac, ou sur de l'eau, peut importe, mais je veux pouvoir avoir mon chez moi, et je vous jure que ce jour là, la raison n'aura plus de raison d'exister.
    Je me lève, me déshabille et cherche vainement mes fringues, laissant un Henry pantois qui me regarde faire des allers/retours incessants. Il vient poser sa main sur mon ventre, automatiquement mes muscles se contractent et mon intimité s'enflamme. Sa main sur ma peau nue me fait perdre la tête, son souffle me réchauffe l'épaule droite tandis que sa main s'occupe de la gauche. Je ferme les yeux un instant et respire à fond.

    Je ne m'enfuis pas si je signe une décharge.

    Et je le ferais, il le sait. Je ne reste jamais dans un endroit parce que j'y suis obligée, mon esprit de contradiction est tellement développé que pour faire chier mon monde je suis prête à tout.
    Il se pose sur le lit et m'attire à lui, instinctivement j'écarte les jambes pour en mettre une de chaque côté des siennes et entoure son cou de mes bras. Il se fous de moi où il a réellement eu peur là ? Je connais les manipulations d'Henry et il n'y a que comme ça qu'il peut faire pression sur moi, le chantage affectif, et sexuel, pas pour me déplaire. Cependant il me réenfila la blouse au lieu de me déshabiller. JE SUIS FRUSTREE, CA Y EST !
    Mais bien vite cette sensation fait place au bien être, je sens presque mes pupilles se dilater comme si j'avais pris du LSD ou un truc du genre. Je secoue la tête positivement et glisse ma main le long de son bras, c'est moche d'user de ça. Je ne suis pas si invivable que ça, si ?
    Son téléphone vient nous interrompre, si c'est Krystie je la mets sur ma liste des personnes à abbattre le jour où j'aurais assez de tunes pour engager un tueur à gage.

    Et ils vont la laisser entrer ELLE ? J'te préviens je la fous dehors. Elle a peur que j'te mange, c'est ça ? Elle est pistonnée par Krystie ? Faut que je me change, hors de questions qu'elle me voit comme ça. J'ai une image moi !

    Et pas des plus habillées, je vous l'accorde, me voir à moitié à poil est plutôt dans leurs habitudes. Oh et puis je ne vais pas faire comme si j'étais complexée, je ne le suis pas ! Je suis goalée comme une déesse et je ne crache pas dessus pour l'avenir. Je trouve alors un jean, et un pull échangré que je m'empresse d'enfiler avant de me rasseoir en boule sur le lit. Depuis l'intervention d'Henry, toute idée de sortir de là m'a été ôtée.

    Tu restes avec moi ce soir ?

    Menton sur mes genoux, jambes rabattues à moi, j'use d'un peu de douceur et d'un regard à vous faire damner un saint. C'est moche, mais chez les femmes c'est naturel !
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


.........................



You feel when i'm in a danger (Henry)  _
MessageSujet: Re: You feel when i'm in a danger (Henry)    You feel when i'm in a danger (Henry)  Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

You feel when i'm in a danger (Henry)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Divine Madness :: DOWNTOWN CHICAGO :: Loop :: Lac Michigan-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser