ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage...

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ALYSSA
RENHY

~~with~~
NINA DOBREV
© young folk.

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PLAY THE GAME

Date: 20 Décembre 1481, soit il y a 525 ans.
Amour(s): De ma vie d'humaine à ma vie de vampire, je n'ai toujours aimé qu'un seul homme, Henry... Et, du jour où je l'ai quitté, je n'ai fais que regretter mon geste. Aujourd'hui, je ne souhaite qu'une chose, le récupérer. Quoi qu'il m'en coute!
Groupe: Your Blood Is Like A Drug
Caractère: Je ne suis pas le genre de femme facile à vivre tous les jours, j’en attends beaucoup trop des autres, je suis bien trop EXIGEANTE avec les gens qui m’entourent. Je sais qu’ils ne peuvent pas correspondre à ce que j’attend d’eux, que nous avons tous des faiblesses mais, c’est plus fort que moi, j’aime que les choses soient comme je les ais imaginé, j’aime que tout ce passe comme je l’ai prévu. J’en attends beaucoup trop de moi et des autres. C’est peut être à cause de cela que j’ai quitté Henry, peut être parce qu’il avait trop changé, qu’il ne pouvait plus m’offrir ce qu’il m’avait promis, ce que j’avais besoin qu’il m’offre… Ou bien peut être est ce à cause de mon EGOCENTRICITE. Je veux dire, c’est vrai que j’ai tendance à croire que je suis le centre du monde, à vouloir que tous les regards converge vers moi, à toujours vouloir attirer l’attention de tous, à vouloir savoir que je plais et que l’on m’aime, à toujours vouloir que l’on s’intéresse à moi mais, je n’y peux rien, j’ai tellement peur que plus personne ne me remarque, tellement seule de me retrouver seule, qu’on m’oublie, qu’on m’abandonne que j’ai besoin que l’on fasse attention à moi, que l’on m’obéisse, que j’ai besoin de savoir que je plais, que je suis la plus belle. Oui, j’aime savoir que je plais, je suis ce que l’on pourrait qualifier de SEDUCTRICE. J’aime que le regard des hommes s’attarde sur moi, j’aime voir dans leurs yeux qu’ils me désirent et veulent être à mes cotés. Je joue de mes charmes, de mes atouts physiques, toujours plus sexy et attirante, toujours plus belle et désirable. Je suis également des plus COLERIQUE, étant capable de piquer des crises de nerfs pour un rien, parce que l’on n’a pas agit comme je le souhaitais, parce que tout ne se déroule pas comme je l’aurais espéré. Oui, je suis capable d’entrer dans des colères noires, au point d’en devenir violente, au point de tout envoyer valser, au point de vouloir tout détruire autour de moi. Je cris, je hurle, je brise et détruit quand je n’ai pas obtenu ce que je désirais, quand j’ai mal, quand mon cœur se brise et que je refuse la douleur, préférant l’exprimer à travers la colère plutôt que de me vider de mes larmes. Les gens sont prévenus, mieux vaut être de mon coté, mieux vaut m’obéir et me suivre si l’on ne veut pas subir mon courroux. Mais, je ne vous ais pas encore narrée ma plus grande qualité -défaut ?-, mon péché mignon, mon coté MANIPULATRICE. Mon plus grand atout, mon arme fatale, ce coté de mon être qui fait que rien, ni personne ne me résiste. Je manipule les gens à mon aise, me faisant passer pour la gentille, pour l’amie, pour la douce, la tendre Aly… Pour obtenir tout ce que je désire. Me faire passer pour votre amie pour mieux vous trancher la gorge…

Force(s): Ma plus grande force ? Mon intelligence, cette facilité que j’ai à manipuler les gens, à leur sourire d’un coté pour mieux les poignarder dans le dos, à leur faire croire que je suis de leur coté pour mieux obtenir ce dont j’ai besoin d’eux. Sans oublier cet esprit retord que j’ai, cette facilité que j’ai à imaginer toute sorte de plan tordu pour parvenir à mes fins, ma facilité à monter toute sorte de stratégie pour me sortir de toutes les situations possibles. Ma force n’est autre que d’être une fine stratège.
Faiblesse(s): Ma faiblesse ? Je serais tentée de dire que je n’en ai aucune mais, je reconnais être d’une grande égocentricité et avoir du mal à prêter attention à autrui, ne me souciant que de ma petite personne et de mon bien être personnel, sans me soucier de ce dont les autres ont besoin. Peu m’importe après tout, du moment que tout va bien pour moi…
Manie(s): Je passe beaucoup de temps à admirer mon reflet devant le miroir, à replacer mes boucles correctement, à ajuster mon maquillage, à me remettre une touche de gloss. Oui, je suis sans cesse en train d’admirer ma grande beauté, à perfectionner mon apparence…
Phobie(s): Ma seule phobie serait que l’on se désintéresse de moi. Je ne supporte pas l’indifférence, ni même la solitude. Cela fait se sentir si vide et inutile. J’ai tant besoin des autres, tant besoin que l’on m’aime, tant besoin de savoir que tous les regards convergent vers moi et, tellement peur que l’on m’oublie, que l’on ne succombe pas à mes charmes… Je ne supporte pas même qu’on me résiste.
Plutôt: PACIFIQUE
Taux de Criminalité: 56%. Il faut bien se nourrir non ? Or, je n’ai toujours eu que ce choix, tuer pour vivre. Comme les animaux. Mais, je n’ai jamais tué plus d’humain que nécessaire, cachant leur corps du mieux que je le pouvais, pour ne pas attirer l’attention sur les miens…

LET ME ENTERTAIN YOU

Age: 23 ans.
Surnom: stace.
Comment avez-vous connu le forum ?: grace au forum pub RPG design où on me me l'a conseillé.
Exemple d'RP (obligatoire):

Spoiler:

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ONCE UPON A TIME

ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... Vrwx20

« L’avenir d’un enfant est l’œuvre de sa mère »

Ce soir là, la pluie tombait à flots sur la Bretagne, s’écrasant avec force sur les fenêtres de la demeure du duc tandis que les médecins aidaient sa femme à mettre au monde son enfant. Il tournait en rond dans la grande salle, attendant patiemment le moment où l’on viendrait lui annoncer qu’il avait enfin l’héritier mal qu’il attendait tant. Cela faisait maintenant des heures que sa femme était en travail et, personne ne le tenait au courant de rien. Il s’impatientait, observant tour à tour le jardin et le vent dans les immenses arbres de la propriété, et les tableaux sur les murs, ces tableaux représentant ses ancêtres… Bientôt, il s’immobilisa devant l’un desdits tableaux et le regarda avec fierté, ses mains nouées dans son dos, pensant à son père qui avait lui même du attendre dans cette même pièce tandis qu’il venait au monde il y a de cela des années. Son père… Cet homme qu’il admirait tant, cet homme qui l’avait élevé d’une main de fer mais grâce à qui il était aujourd’hui cet homme que tout le monde respectait et… Les grandes portes en bois s’ouvrirent soudain avec fracas, laissant un homme essoufflé apparaitre. Il semblait mal à l’aise, voire paniqué. Il posa bientôt son regard sur celui qui était son maitre puis, baissa les yeux, gêné. « Monsieur, vos enfants sont venus au monde. » Le Duc paru interloqué. Il ne répondit pas sur le moment, clignant simplement des yeux, tentant d’ingérer les propos de son domestique. Avait-il bien parlé d’enfants ? Au pluriel ? « Mes enfants ? » Le domestique releva le visage puis, fit signe à son maitre de le suivre dans le grand couloir qui les conduirait jusqu’à la chambre à coucher. « Oui monsieur, votre femme à mis au monde… Des… Enfin, elle… » Derrière lui, le duc s’impatientait. « Et bien, parles que diable ! » Le domestique ravala sa salive avec peine. « Vous êtes père de jumelles monsieur ! » L’homme, derrière lui, s’immobilisa, comme si son sang s’était glacé dans ses veines. Son visage se décomposa et, ses poings se serrèrent. Des filles ? Impossible… Pourtant, quand il entra dans la pièce, ce fut bien à deux filles qu’il eut à faire, l’une dans les bras d’une nurse, l’autre dans les bras de sa mère. Celle-ci affichait un visage fatigué mais radieux et, elle serrait son enfant dans ses bras en souriant, des perles de sueur glissant sur son front, tandis que la jeune nurse se dirigeait vers son patron pour lui tendre l’autre enfant. Le duc posa un regard ahuris sur l’enfant puis, posa de nouveau les yeux sur son épouse avant de simplement tourner les talons, déçu de ne pas avoir eu de fils…

*****

« Pourquoi doit-on partir ? » Sa mère posa un regard sombre sur l’enfant, comme si sa question était idiote. Pourtant, pour Elizabeth, cela semblait si logique. Vivre à la Cour du Roi, emmener ses filles plus près de la couronne. Elle avait tout prévu, un plan infaillible en tète. A présent, elle était invincible, à présent plus rien ne pourrait l’arrêter. Elle avait éliminé son mari et, s’était proprement débarrassée du corps. Elle jouait à présent les veuves éplorée et, tout le monde la soutenait, jusqu’au Roi qui, l’avait invitée à rejoindre sa Cour, avec ses deux adorables filles, pour que sa peine lui soit plus supportable. Et, les deux adorables gamines en question n’y comprenaient rien. Tout ce qu’elles savaient c’était que leur papa n’était plus là et qu’elle quittait l’endroit où elles avaient toujours grandis. Mais, au fond, cela ne les dérangeait pas plus que ca. Tant qu’elles restaient ensemble. Toutes les trois. Elizabeth n’avait pas répondu à la question de sa jeune fille. Comment pourrait elle lui expliquer ce qu’elle avait en tète, comment elle allait leur arracher leur vie, leur innocence, pour des rêves de conquête. Elle se contenta de poser ses yeux sur l’enfant qui, elle même la dévisageait avec ses yeux plein d’innocence, serrant sa poupée contre son corps menu, contre sa jolie robe. Elle se trouva un instant sans voix, comme si elle même venait à douter de son plan. Mais bientôt, comme sortie de nulle part, son autre fille, le port haut, comme si elle savait déjà que, bientôt elle ferait partie des grandes dames de ce monde, attrapa la main de sa sœur, comme pour la rassurer puis, elle l’entraina vers le carrosse qui les conduirait à Paris, laissant derrière elles cette demeure et tous leurs souvenirs d’enfant…

*****

Dansant face à un miroir, je tournoyais dans ma nouvelle robe de satin tout en rêvassant, en pensant à ce cher Henry que j’avais tant de hâte à vouloir retrouver. Ce soir peut être. Comme bien des soirs depuis que nos regards s’étaient croisés. Mon cœur battait pour lui. Mon âme toute entière lui était dévouée. Au point que j’en oubliais ma propre sœur, celle la même à qui j’avais promis d’être toujours à ses cotés, celle là même qui m’avait retournée ma promesse. Mais, Henry était tout pour moi, je le savais, je le sentais. Et, ma mère semblait bien fière de moi, à me voir flirter avec l’héritier du trône de France, comme si j’étais en train de réaliser ses rêves… Mais, à dire vrai, je n’avais qu’à faire du trône de France, cela ne m’intéressais guère, tout ce que je voulais, c’était être auprès de lui, dans ses bras, noyer mes yeux dans les siens, et ce peu important ce que les gens en disait, peu importe ceux qui n’approuvait pas cette union… Je savais que ma mère approuvait mon choix et, tel était mon plus grand bonheur. Alors, je tournoyais, rêveuse et angélique, contemplant ma beauté, contemplant cette magnifique robe qui, je l’espérais, plairait à Henry. Je devinais les regards d’Anne dans mon dos mais, je n’y prêtais pas la moindre attention. A dire vrai, je ne lui accordais plus vraiment d’attention tout court. Elle ne faisait aucun effort pour faire bonne figure à la Cour, au contraire, c’était à croire qu’elle faisait tout pour que les gens la montre du doigt et, nous montre du doigt par la même occasion. Elle risquait de tout gâcher alors, je préférais prendre du recul avec elle. J’avais beau avoir les mêmes traits physiques qu’elle, je ne voulais pas que les gens fassent d’amalgame entre nous. Cela serait bien trop mauvais pour mon image à la Cour, et auprès d’Henry. Bientôt, la porte de la pièce s’entrouvrit et, ma mère brisa le cours de mes pensées, me demandant de la suivre dans la pièce adjacente, ce que je fis sans me poser de questions. De ma grâce naturelle, je me déplaçais lentement dans sa chambre, seulement éclairée par la lueur d’une bougie près de son lit, mon adorable sourire aux lèvres lorsque bientôt, je posais mon regard sur elle… « Mère, j’aimerais… » Je fus coupée au beau milieu de ma phrase par un choc que je venais de ressentir au beau milieu de ma poitrine, ma mère me regardais d’une façon étrange, presque bestiale, ses yeux étaient d’un noir profond, presque envoutant et, deux petites canines dépassaient largement de ses lèvres tandis que son visage avait changé du tout au tout, comme si elle était possédée. Je la regardais, figée, les lèvres tremblantes, terrorisée… « Mère ? » Pas de réponse, en une fraction de seconde, elle avait fondu sur moi, ses doigts fins et froids encadrant ma nuque, ses crocs plantant ma gorge, aspirant ma vie tandis que mes forces me quittaient. Petit à petit, mon souffle se faisait plus lent tandis que mon rythme cardiaque diminuait. J’aurais pu crier mais, je n’avais pas peur, je ne comprenais même pas ce qui m’arrivait, ou plutôt, je refusais de le comprendre. Et bientôt, alors que je pensais une dernière fois au doux visage d’Henry, les petites pointes dans ma gorge se retirèrent et, le visage de ma mère apparut devant mes yeux, du sang coulant jusqu’à son menton. Mon sang. Je la regardais droit dans les yeux, mon regard lui posant mille et une questions alors, comme si elle avait su lire dans mon esprit, elle me répondit. « Ma douce Aliéanor, nous serons bientôt réunies, toutes les trois, pour l’éternité, je te le promet… » Puis, tout devint noir…

THE CATALYST

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Allongée sur mon lit à baldaquin, je restais inconsolable depuis un mois déjà. J’avais retrouvé ma chambre. Mon ancienne chambre. Dans cette maison qui me semblait dorénavant bien triste et silencieuse. Anne avait été envoyée en Angleterre et, mon cœur avait été brisé par le seul homme que j’avais jamais aimé, par le seul homme que mon cœur mort n’aimerait jamais. Henry m’avait rejetée. Il avait pris peur face aux aveux que je lui avais faits, refusant désormais de m’approcher ou même de croiser mon regard. Parce que j’étais un monstre. Un être de la nuit, une créature infernale. Je me sentais vide et seule, restant solitaire au possible, ne sortant de ma chambre que pour me nourrir. La tète dans mon oreiller, je m’efforçais de me souvenir de son visage, du contact de sa peau sous mes doigts mais, les souvenirs s’effaçaient peu à peu, remplacés par la douleur et la peine, remplacés par cette image de son visage horrifié par ce que je venais de lui dire, par le souvenir de sa fuite et de la crainte que je lui avais inspirée. Et, de nouveau la douleur et la peine, le vide en moi. Nous avions été chassées de la Cour. Moi et ma mère, renvoyés sur nos terres, comme des malpropres. Et soudain, alors qu’une larme glissait le long de ma joue, ma mère entra en toute hâte dans la chambre, une missive portant le sceau royal à la main, le sourire aux lèvres… « Nous sommes de nouveau conviées à la Cour, Henry réclame ta présence et, le Roi propose de lui offrir ta main Aliénor… » Me redressant d’un bond, je peinais à réaliser les dires de ma mère, je tendais alors ma main vers elle afin de saisir la lettre manuscrite qui annonçait une triste nouvelle, la maladie de mon cher et tendre qui réclamait ma présence à ses cotés…

*****

Pourquoi le terme vampire rimerait-il forcément avec le mot ‘mort’ ? Les vampires ne sont pas tous des êtres sanguinaires et assoiffés de sang, bien qu’il reste des êtres des ténèbres. Passant ma main sur le visage d’Henry, je le regardais souffrir, je le regardais me supplier du regard pour que je lui sauve la vie. Il était fiévreux et fatigué et, ses suppliques commençaient à avoir raison de moi. Je sentais sa vie lui échapper et, je ne pouvais pas concevoir de vivre sans lui. Une éternité sans l’être aimé est une idée bien plus insupportable que celle de la mort elle même. Alors soudain, tout se fit clair dans mon esprit. Nous allions partir. Abandonner la vie de château et fuir. Loin d’ici, là où nous ne serions que nous, sans parent pour nous dire quoi faire, sans empire à gouverner. Rien que nous et notre amour, pour l’éternité… Lentement, je me penchais alors vers lui puis, je lui arrachais quelques gouttes de sang en plantant mes crocs dans sa gorge…

*****

Mon Bien aimé,
Si tu trouves cette lettre c’est que je me trouve déjà loin, j’ai décidé de partir, notre amour à prit un tournant dramatique qui me meurtrit le cœur chaque minute de plus passée avec toi. Mon amour tu as su m’offrir le bonheur mais depuis près d’un siècle tu es en train de détruire tout ce que nous avions entreprit ensemble. Mes avertissements n’ont pas été entendus j’ai donc décidé de partir.
La vie que tu m’offre n’est pas celle que nous nous étions promis, je le regrette. Ne cherche pas à me retrouver c’est inutile. Je souffre déjà suffisamment de devoir être séparée de toi.
Adieu bel amour
Je t’aime,
Aliénor de Bretagne

Une larme glissa le long de ma joue alors que je reposais ma plume sur le coin de l’élégante table en bois. J’avais pensé ces mots tant de fois. Je les avais si souvent formulés tout bas. Dans ma tète alors que mon regard croisait le siens. Mais, je n’avais jamais pensé avoir un jour la force de les coucher sur papier. Pourtant, les faits étaient là. J’avais écris ces mots et, je les pensais. Je me devais de partir pour cesser de souffrir. Notre couple était à la dérive et, peu importait mes efforts, rien n’y faisait. Henry ne se battait pas pour nous. Loin de là. Il avait tant changé, je ne reconnaissais plus celui dont j’étais tombée amoureuse. Et, les disputes se faisaient si fréquentes… La goutte d’eau salée coulant sur ma joue pendilla quelques secondes sous mon menton avant de tomber sur le bois, tout près de la feuille manuscrite. Mon cœur était si lourd. Brisée. Mes yeux ne quittaient pas le morceau de papier et, ces mots qui me semblaient si irréels. Et, mes mains se firent tremblantes et hésitantes tandis que je les laissais voler jusqu’à mon cou pour y saisir le pendentif qui y pendait nonchalamment. Je le décrochais avec grâce avant de le porter devant mes yeux, laissant le médaillon tournoyer devant mon visage, danser sous la lumière d’une bougie… J’observais ainsi le bijou quelques instants avant de le poser sur le papier et de me lever pour tourner le dos au tout, pour tourner le dos à Henry, pour tirer un trait sur nous…

*****

L’errance. Sans but, ni attache. La solitude. Je n’avais jamais réussis à retrouver ma mère. Je n’étais jamais parvenu à oublier Henry. Ce n’était pas faut d’avoir essayé pourtant. J’avais erré. De par le monde. De l’Europe à l’Amérique, en passant par l’Angleterre. Tentant de trouver un nouveau compagnon qui ne compris pas ce don que je lui avais fait, me contraignant à l’exil en Amérique pour échapper au dort qu’il me réservait. Non pas qu’il me faisait peur, je pense que j’aurais pu facilement venir à bout de lui, ou le laisser me tuer. Peut être qu’alors, j’aurais enfin pu oublier Henry. Mais non, je n’avais juste pas le moindre intérêt pour cet homme qui ne comprenait rien et qui ne survivait désormais plus que pour la vengeance. Et puis, sa transformation ne m’avait en rien aidée. Loin de là. Bien au contraire. Je n’avais fais que repenser au jour où j’avais transformé mon cher et tendre. Et, à ce jour où j’avais versé une larme à son enterrement fictif. Avant que nous ne fuyions pour cette vie que nous nous étions promis… Triste éternité d’errance. Seule avec mes souvenirs et ma douleur. Avec ma peine et cet amour que j’avais lâchement abandonné, m’arrachant mon seul souffle de paix. Mais bientôt, il sembla que la chance avait tournée… Une affiche. Son visage. La gloire semblait lui avoir souri. Je ne réfléchis pas d’avantage, me rendant dans cette ville que l’affiche indiquait, Chicago, le cœur et la tète plein d’espoir. L’espoir de le retrouver. Lui, l’ancien Henry, celui qui avait fait battre mon cœur d’adolescente avant que ma mère ne me fasse devenir le vampire que je suis. L’ancien Henry, celui qui m’avait charmée, qui m’avait fait tourner le dos à ma famille, celui avec qui j’avais bâtis des rêves… Mais, peut être que l’ancien Henry n’existe pas. N’existe définitivement plus. L’ancien Henry ne fricoterait jamais avec de la nourriture, une simple humaine…

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Bienvenue !!! ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 458233

Bon courage pour ta fiche ! *bisou* ::3:

heeeeyy contente de voir que nous pouvons répondre à ta demande

Bienvenue à toi!!!

Merci de t'être inscrite je te souhaites bon courage pour ta fiche
si tu as besoins d'aide ou d'info n'hésite pas à me contacter par mp.

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merci à vous deux pour l'acceuil ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 835534

HENRY : deja merci de m'avoir fait découvrir le forum.
ensuite, je vais te MPotter sur le champ pour m'assurer que j'ai bien tout compris au personnage avant de me lancer dans ma fiche :^^:

**Invité** Invité .........................

Mouahahahaha une rivale, et de taille en plus !

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hum. c'est donc toi maddison ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 594112

MDR.

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Va y avoir du sport :P Autant de filles qui se battent pour Henry, ses chevilles attention !

Aaaaah ! Mon pire cauchemar !
Bienvenue ! =)

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Kristy Nelson a écrit:: Mon pire cauchemar !

en personne :ange:

merci pour l'acceuil en tout cas ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 835534

en fait je sais pas quel soeur est la pire MDR

Elles me font peur... ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 363787

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Sur ce coup là on aurait une chance de s'alier Kristy :P

**Invité** Invité .........................

Kristy Nelson a écrit:: Elles me font peur...

tu as bien raison mon petit ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 527943

une alliance? contre moi? hum. ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 597631

xD

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Ne sous estime pas le pouvoir de deux humaines empreintes du même homme. Kristy j'te propose un truc, on la tue, et après on s'entretue. Que la meilleure gagne :P

**Invité** Invité .........................

faites gaffe que je ne vous bouffe pas avant. moi, je dis ca, c'est pour aider, ca réglerait vos soucis de concurrence et ca faciliterait le choix d'henry *sifflote*

**Invité** Invité .........................

Bouffer les copines de son ex c'est moche et pas politiquement correct !

c'est déja la guerre avant le RP hmm ça me donne faim tout ce sang muhahahaha

Boon c'est pas bien j'ai lancé le flood je vais le cloturer hein :p

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OH ! Encore une fille pour faire tournée la tête de Dieu Henry ! Bienvenu !

**Invité** Invité .........................

Bienvenue ^^

**Invité** Invité .........................

Bienvenue ! Have fun.

Adriel C. Wattleton a écrit:

OH ! Encore une fille pour faire tournée la tête de Dieu Henry ! Bienvenu !

pire, va falloir que tu m'aide sur ce coup la mon adrichou

**Invité** Invité .........................

J'ia l'impression d'être la seule femm à détester ~~cette chose~~ Henry ! :x3:

**Invité** Invité .........................

merci à tous pour l'acceuil :=): ALYSSA ♦ La beauté est un jardin sauvage... 835534

par contre, je tenais à préciser que je risquerais de prendre un peu de temps pour finir la présentation, je vais avoir une semaine chargée, donc moins de temps pour me connecter :^d^:

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