Sujet: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Dim 21 Nov - 15:38
Henry de Vallois ici dans cette ville ? Le couperet vient de tomber, ma mère est venu me l’annoncer à grandes foulées, totalement abasourdie par la nouvelle. Enfin…de Vallois, ce n’est plus son nom exacte à l’entendre, elle l’a vu à la télévision dans une émission. Apparemment il fait parti d’un groupe de rock, et bien dis donc, l’héritier du trône de France a bien évolué. Je le maudis autant que Je maudis cette petite sotte d’Aliénor, Heureusement que Je n’ai plus de nouvelles d’elle, cela aurait été tout de même dommage de devoir planter un pieu dans le cœur de ma jumelle. Quoiqu’il en soit, ma mère souhaiterait que Je le retrouve, pour m’occuper de lui, et par cela, J’entends le manipuler, ma mère a cette vision de la manipulation qui lui est propre et évidemment, Pantin de ma mère, Je ne peux la contredire, et de toute manière ce dessein est bien trop tentant. Et si par là Je peux détruire un peu plus ma sœur, l’hésitation n’est pas de mise croyez moi !
Ma mère vient de sortir, sûrement à la recherche de sang humain, elle tente de me faire croire qu’elle s’habitude à ce foutu SAP mais Je sais bien que non, Je sais bien que l’instinct meurtrier a toujours été fort chez elle. C’est pareil pour moi ! Ces maudits humains qui nous entourent auront au moins un point positif ils me permettent de me nourrir sereinement ! Ce soir, l’envie de sang est encore plus forte que d’habitude, une bouteille de Sap, que Je recrache avec rage dans l’évier, Je ne me ferais jamais à cette boisson, c’est impossible, du sang synthétique pour un vampire mais baliverne ! Cela ne rime à rien !
J’enfile un pantalon noir, avec un petit top, avant de mettre ma veste en cuir, et ma petite écharpe. Me regardant dans le miroir, Je me contemple, comment ai-Je pu croire aussi longtemps que Je n’étais rien à coté de ma sœur, regardez-moi, Je suis là et bien là, à rayonner, à séduire qui Je veux, Je sais qu’avec mes pouvoirs, personne ne peut vraiment me résister, de toute manière, ceux qui le tentent comprennent rapidement leurs douleurs. Je sors de notre loft, aussi élégant que luxueux, tout à l’image de ma mère. Je suis tellement heureuse qu’elle soit arrivée, avant elle, Je sombrais à cause de tout cela, de la découverte des vampire, de l’obligation de boire cette maudite boisson, prête à mourir, elle m’a sauvé encore une fois. Notre relation est si étrange, au fond de moi, Je me doute qu’elle n’est pas si blanche que cela mais Je refuse de me l’avouer, Je serais prête à tout pour elle, et si cela se résume à détruire les personnes qui m’entourent, Je le ferais sans même réfléchir.
J’arrive près d’une ruelle sombre, ma gorge brûle tant le besoin de sang est présent, mon regard doit se faire noir tant Je ressens ce manque. Je regarde autour de moi avant d’apercevoir, un homme, il ne doit pas être très vieux, la trentaine sûrement, il marche tranquillement sans se douter de ce qui va se passer. Je suis désolée mon mignon mais là tu vois, Je suis bien trop affamée. Je m’approche, me tortillant devant lui, les hommes sont stupides, des sourires de complaisance, un peu de charme et de sensualité et les voilà dans nos filets, des pantins, Je vous le dis ! «Il me regarde se retournant, et Je souris largement, mes yeux se font plus noir, mes pupilles se dilatant doucement, Je sens que mes crocs ne vont pas tarder à sortir, Je le fixe avant de m’approcher, passant mon doigt sur son bouche l’empêchant de parler le plaquant rapidement au mur d’un immeuble, de cette ruelle sombre, Je le fixe dans les yeux, mon regard se fait de plus en plus intense. « Je suis sûre qu’il est délicieux…. ». Mon index quitte sa bouche, il me regarde ne comprenant pas ce qui se passe… « Mais…Mais de quoi tu parles ?… ». Je ricane en le fixant dans les yeux, avant de m’approcher de son oreille. « De ton sang gros bêta… ». Il me regarde horrifiée tentant de fuir, Je ricane encore plus, mon rire faisant écho dans les lieux, Je le maintiens au mur. « Hep, Hep, veut tu arrêter ton cinéma…tu ne peux rien contre moi… ». Je le regarde avant de déployer mes crocs, souriant encore plus, l’envie est de plus en plus forte, Je ne résiste plus, penchant sa tête sur le coté, Je plante avec toute la rage que Je peux mes deux crocs dans son coup, Je sens mon corps se détendre à mesure que le flot de sang parvient à ma bouche. Ce qui c’est délicieux bon sang ! Je m’abreuve de son sang avec le plus grand soin, Je soupire de soulagement, d’apaisement, avant de le regarder, Je le laisse glisser au sol, ne prenant pas le soin de contempler son état bien longtemps. J’essuie doucement le filet de sang qui vient de glisser aux creux de mes lèvres, tournant les talons dans la pénombre ambiante, Je m’avance un peu et c’est là que Je découvre la présence d’un homme.
Ma première réaction est de me concentrer sur son odeur…Je ferme les yeux quelques secondes, un vampire, çà aurait été dommage de devoir m’en prendre à un deuxième humain quoique…Non en fait çà aurait été un festin. Je m’avance vers lui sûre de moi comme toujours, il est plutôt charmant, son regard bleu en particulier. Il me regarde l’air presque horrifié non mais attendez c‘est un vampire non ? il peut comprendre mes besoins…Son regard ne me plaît pas du tout, Je m’approche de lui avant de l’obliger à se reculer contre le mur. Je ne dis rien, Je me contente de le fixer, mes crocs toujours exposés, mon regard plus noir que Jamais, Je sens l’odeur de son cou…délicieuse…Je ferme les yeux quelques instants, approchant ma bouche de son cou, avant de le regarder. Je reste silencieuse, me contentant de faire pression sur son corps pour l’empêcher de partir, passant mes doigts dans son cou et sur son visage avant de l’empoigner plus brutalement, le regardant intensément, lui faisant bien comprendre qu’on ne porte pas un regard aussi dédaigneux que le sien sur moi.
Henry Fitzroy
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Dim 21 Nov - 18:15
Une nuit comme je les aime, calme et silencieuse. Mes plans pour la soirée ? Eh bien une longue ballade en solitaire à travers les coins sombres de la ville me tente depuis un bon moment déjà. J'ai besoin de me recentrer sur moi-même, ce genre de promenade nocturne semble être la manière idéale de réfléchir calmement au tournant que prend ma vie en ce moment. Je errais donc plusieurs heures dans la nuit glacée. Le vent froid giflait mes joues, l’hivers était proche, oh douce saison qui rallongeais mes nuits, douce saison qui me permettais de sortir plus que d’ordinaire. Le visage de Kristy semblait envahir ma promenade s’entrechoquant avec celui de Maddi’, je peinais parfois à réfléchir étant donné les souvenirs qui refaisaient surface. Je ne pouvais me séparer de Maddi’, c’était au dessus de mes forces, quand à Kristy je prenais peur de l’ampleur de mes sentiments grandissant plus que de raison. Puis cette peur se lia à un souvenir doux sucré et agréable.
Flashback
La nuit venait de tomber sur le château, je venais de terminer mon repas ce soir la je n’avais guère d’appétit, je pris congé et sortait dans les jardins du château, le ciel était clair, la lune illuminait l’allée de cailloux, j’arpentais les jardins avec un brin de nostalgie, mon enfance s’envolait peu à peu et je devais faire face à des responsabilités. Je me dirigeais donc vers la roseraie, afin de me délécter de ce parfum que j’aimais tant, mais une silhouette surgit, une femme, sans aucun doute étant donné son imposante toilette qui marquait sa taille si fine. Je m’arrêtais ne voulant pas perturber la tranquilité de la demoiselle. Mais celle ci avança vers moi, la lune éclaira cette jeune femme. Ses cheveux ondulés tombaient en cascade sur ses épaules, sa bouche s’entrouvrit marquée par la surprise. Je pouvais aisement dinstinguer son visage au teint halé, jamais je n’avais vu une femme aussi belle et avec tant de grâce naturelle. Lorsqu’elle arriva à ma hauteur elle posa sa main gantée sur ses lèvres laissant échapper un petit rire discret. Puis elle m’offra une révérence de salut. Ma bouche s’entrouvrit et mes yeux s’illuminaient sous l’admiration. « Veuillez m’excusez sir, je pensais être seule à me promener la nuit » J’étais incapable de parler, sous le charme de cette créature divine. Un ange venait à ma rencontre et je ne pouvais communiquer avec. Je me resaisit du mieux que je le pouvais. Je m’emparais de sa main orné de gants de soie couleur ivoire. Et y déposais un baiser. -Pardonnez mon impolitesse, je suis également surpris de trouver une jeune femme seule la nuit. A qui ais je l’honneur ? Elle me sourit et ses joues s’empourpraient. « Aliénor, Aliénor de bretagne sir. Fille de la duchesse Anne de bretagne et du.. » Je laissais échapper un rire amusé qui stoppa net ces paroles. -Passons tout le superflu, Alienor, voudriez vous m’accompagner dans la promenade nocture ? Elle acquiesca et s’empara de mon bras que je lui avait tendu.
Flashback END
Evidemment la suite des événements n’as pas toujours été aussi plaisante, je sentis mon cœur se serré lorsque je repensais à cette fameuse lettre à la Nouvelle Orléans. Cette lettre qui avait signé la fin de notre relation. Mais pas la fin de mon amour. Voici comment l’amour m’avait détruit, devais je prendre ce risque avec Kristy ? J’étais donc en perpétuel questionnement lorsqu’une odeur me vint aux narines. Du sang, humain, mes gencives se mirent alors à me démanger, bien que je devais me contraindre à boire du SAP, le sang humain restait pour moi une gourmandise dont je ne me lassait guère. Je suivais cette odeur délicieuse lorsque je vis une femme vider de son sang un pauvre petit humain. La ruelle était sombre et je distinguais mal ce vampire. Elle était brune, avec une longue chevelure lisse et soyeuse, mais quand celle-ci releva la tête pour faire tomber le corps vide et sans vie, ce fut le début de mon enfer. Aliénor se tenais debout juste sous mes yeux. Pourquoi donc était elle revenue ? Etait-ce cette présence que je sentais me traquer depuis un mois déjà ? était elle déterminée à m’achever ? Ma bouche s’entrouvrit et mon regard était terne. L’expression de mon visage marquait la peur et la douleur. Elle ne prononça aucun mot et se contenta de ma plaquer violement contre un mur. Ma douce et tendre Aliénor se delecta de mon odeur avant de serrer mon cou. La mort était proche et elle en était la responsable. Si la douleur avait pu me tuer je serais déjà mort, mais à cette douleur s’ajoutais cette violence physique. Etait elle revenue pour se venger et me tuer ? Mes yeux s’embuèrent, ils s’emplissaient peu à peu de larmes. Elle voulait abréger mes souffrances , soit, qu’elle le fasse et vite ! Mais avant ça je réclamais des réponses, je ne voulais pas mourir dans l’ignorance. Mes mains se plaquèrent sur les siennes tentant de désserer l’emprise de ses doigts sur mon cou. Je begayais.
-Al..Aliénor…arrêtes..
Je soupirais pour tenter de faire s’envoler ces larmes qui me montaient aux yeux.
-explique moi d’abord les raisons de ton retour ! Tu m’as tant reproché de cette gourmandise envers le sang et je te surprends en train de t’abreuver d’un humain. Qu’elle est donc la véritable raison de ton départ ? Avais tu rencontré un..un autre ? Pourquoi refais tu surface dans ma vie après deux siècles ?
Je fus secoué par un hoquet s’apparentant à un sanglot.
-Je t’ai offert mon cœur et mon âme. Tu as tout détruit, maintenant que je me reconstruis tu reviens..Pour qu’elle raison ? Pour tout détruire ? Pour me détruire ?
Je fixais ses yeux noirs qui reprenaient peu à peu une couleur marron glacé, ses crocs luisant se rétractèrent et sa main se détacha de mon cou. Avait elle soudainement changé d'avis? Je baissais les yeux en soupirant. Ma voix retentit à nouveau, une voix monocorde et à peine audible.
-Laisse mon cœur en paix veux tu..
Je levais mes yeux tristes vers la jeune femme. La douleur était si forte que je semblait en avoir perdu mon instinct de survie. La possibilité du combat n'était pas envisageable, je n'en avais plus la force.
-ou achèves moi… tout de suite..
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Dim 21 Nov - 19:12
Ce vampire commençait à sérieusement m’énerver, encore une fois, Je perdais le contrôle de mes nerfs, n’écoutant que la colère qui sommeillait en moi. C’était ainsi depuis des siècles, depuis le moment où ma vie avait basculé à cause de cette maudite Aliénor, et des desseins de ma mère pour cette petite sotte. Après la mort de mon père, parfaite dans le rôle de veuve épleurée elle n’avait pas mis longtemps à obtenir ce qu’elle voulait, une place à la cour du roi de France et surtout un mariage de complaisance et d’honneur entre Aliénor et ce fameux Henry de Vallois. Je ne l’ai jamais rencontré, comment aurais-Je pu le faire alors que J’étais totalement écarté, considérée comme une vulgaire paysanne, une personne qu’on préférait ignorer malgré mon rang.
Cette période aussi triste que rageante pour moi m’a totalement changé. Je me suis endurcie, et j’ai appris à vivre seule. La solitude m’a toujours habité au fond, c’est pour cela que Je n’ai que très peu d’amis et que ma confiance, personne ne peut réellement l’obtenir, sauf ma mère évidemment. C’est la seule personne a qui J’offrirais tout, pour qui Je ferais tout. Je ne sais pas au fond quels sont les projets de ma mère à présent, après ce retour fanfaronnant en ville mais Je sais que Je la suivrais coûte que coûte, peu importe ce qu’elle compte faire. Mais si ce projet pouvait consister à totalement anéantir Aliénor, ce serait encore plus gratifiant pour moi.
Quoiqu’il en soit, c’est en voyant des vampires dans son genre, à cet homme là, qui n’a de cesse de me regarder comme une bête curieuse parce que J’ai eu le malheur de m’en prendre à un stupide humain. De toute façon où est le problème ? cette race n’est pas éternelle, il aurait bien fini par mourir un jour alors disons que j’ai simplement avancé cette date funeste ! Il devrait me remercier, au moins il n’aura plus à supporter ce quotidien dans cette ville, qui me semble de plus en plus exaspérante. Toujours collée contre ce vampire si charmant soit-il, Je le fixe mes deux mains empoignant son visage, alors que Je remarque son regard bleu azur qui brille de plus en plus, non mais des larmes apparaissent ou Je rêve ? Et bien quel vampire émotif, tout çà pour une petite pression faite par une vampire, ou alors son égaux ne le supporte peut-être pas ? Je ricane intérieurement.
Mais tout bascule quand il me regarde, et m’appelle Aliénor, J’avale ma salive avec difficulté, tentant de cacher ma surprise. Il l’a connaît…Je réfléchis quelques secondes, alors que tout s’éclaircis peu à peu. C’est lui, Henry, le faux Henry qui a causé ma perte tout comme Aliénor, c’est donc lui le fils prodigue que ma mère voulait comme beau fils, et bien elle ‘na pas eu si mauvais goût au final. Je le fixe alors que Je sens mes crocs qui commencent à se rétracter, une main sur son visage l’autre maintenant son cou, Je ne le lâche pas.
Il me regarde alors que la brillance de son regard s’accentue, mon regard à moi se fait toujours aussi froid et glacial, il me demande les raisons de mon retour, enfin ceux de ma sœur plutôt, il me demande pourquoi, Je suis m’abreuve d’un humain alors qu’apparemment Aliénor lui rapprochait son goût pour le sang ! Mais quelle sainte, Je penserais à la remercier pour tant de gentillesse. Il me demande les véritables raisons de mon départ, et celles par la même occasions de mon retour. Je soupire intérieurement. Soit, Je disparais dans seconde soit, au contraire, Je rentre dans son Jeu, me faisant passer pour Aliénor, et cela est bien trop tentant, Je tiens ma vengeance, celle que J’attendais depuis si longtemps.
Le voilà qui continue son numéro de héros de tragédie, dis donc, il est très émotif pour un vampire, de son rang, J’en ai assez de l’entendre geindre là ! Je me retiens de lui exploser un accès de rage au visage après tout, Je dois me comporter comme la petite sainte d’Aliénor non ? Et bien que le Jeu commence, désolé Henry, cela va tomber sur toi, mais Je n’ai pas le choix. Oh oui tu as offert ton cœur et ton âme à ma stupide sœur, elle t’as détruit. Et alors ? Moi J’ai détruite à cause de votre stupide relation qui au final n’a été qu’un échec ! Je ris mais qu’est ce que Je peux rire intérieurement de le voir là devant moi aussi pathétique et Je n’ose imaginer l’état de ma sœur, cela me réjouit encore plus et cela ne vas pas s’arrêter là, Je vais la détruire Jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se relever.
Peu à peu, Je me fais plus douce, mon regard reprenant sa couleur d’origine, mes crocs se rétractant totalement, Je lâche alors son cou, et son visage, reculant légèrement, le fixant avec un peu plus de douceur. Je dois réussir à lui faire croire que Je suis Aliénor et cela va devoir me demander des efforts, incarnée cette petite idiote ne me ravie pas le cœur croyez-moi.
« Laisse mon cœur en paix veux tu.. », voilà ce qu’il me dit en me regardant les yeux amplis de larmes et de tristesse, Je soupire légèrement alors qu’il termine sa phrase. « ou achèves moi… tout de suite.. ». L’achever ? Ah çà non ! Il va m’être encore bien utile, comme si J’allais prendre le risque de lui faire du mal avant de me servir totalement de lui.
Je m’avance vers lui, Jouant nerveusement avec une mèche de cheveux, avant de plonger mon regard dans le sien . Que la comédie commence ! « Comment oses tu prétendre cela, crois-tu vraiment que J’aurais été capable de partir à cause d’un autre homme… ? ». Je ris intérieurement de le voir mordre à l’hameçon ainsi. Je me rapproche un peu plus de lui, le fixant dans les yeux, tentant d’être la plus douce possible et là c’est vraiment un effort surhumain pour moi. « Tout est de la faute de ma mère, tu la connais…Je…Je sais que J’aurais du me battre pour toi Henry, mais crois-moi, tout était si compliqué à cette époque… ». Je rentre totalement dans le rôle de la petite sotte, Je me concentre intérieurement, repensant à cette période qui m’a fait souffrir, pour tenter de trouver la force de paraître ému, luttant de toutes mes forces, Je sens mes yeux s’humidifier légèrement, quand Je vous disais que Je pouvais faire ce que Je voulais et manipuler qui Je voulais ?
« Je ne suis pas là pour te détruire Henry, si tu savais…c’est la dernière chose que Je souhaite, cela fait deux siècles que Je erre comme une âme perdu en perdition, parce que tu me manques, que Je regrette notre amour, le temps où tout semblait facile, rappelle toi ces moments à la cour… ». Je ne peux pas trop donner de détails, après tout Je n’observais ce spectacle que de l’extérieur. « Je suis revenue parce que Je t’ai vu lors d’une émission et J’ai tout de suite reconnu ses traits… ». Je m’approche caressant son visage, « Ces yeux qui m’ont fait chavirer… ». Je me retiens de cracher ma haine, et pourtant, Je ne peux pas me laisser aller, Je ne peux pas, Je dois continuer sur cette voix. « Tu te reconstruis, mais as tu oublié ton Aliénor ? M’as tu oublié moi, et tout ces moments, ampli d’amour et de grâce ?.. » Je m’approche un peu plus de lui, plongeant mon regard dans le sien, caressant sa nuque doucement, soufflant dans son cou avant de le fixer, après tout il n’est pas laid du tout cet homme la tâche pourrait même se révéler être agréable. « Ose me regarder et me dire que tu ne ressens rien actuellement, tu te mentirais à toi même… ». J’approche mes lèvres des siennes, les frôlant légèrement avant de me reculer, et de lui faire dos, souriant, fière de ce que Je viens d’accomplir, un moment de concentration et voilà des pseudos larmes qui refont surfaces Je me retourne vers lui. « Je veux sauver ton cœur… ». Baliverne ! Je veux te briser Henry, toi, mais surtout Alyssa, mais cela Je vais éviter de le dire.
Henry Fitzroy
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Dim 21 Nov - 21:20
Aliénor lâcha prise, son regard c’était radouci comme si elle n’était pas déterminée à me tuer ou à me faire souffrir une nouvelle fois. Mais c’est déjà trop tard pour la douleur, je souffre tellement que mon cœur me hurle d’abréger cette souffrance. Je fixe Aliénor lorsqu’elle se décide à me répondre. « Comment oses tu prétendre cela, crois-tu vraiment que J’aurais été capable de partir à cause d’un autre homme…» Elle m’avait donc finalement quitté par ma faute, mon attitude et ma soif de sang avait causé la fin de notre couple. Finalement je crois que d’apprendre qu’elle ai retrouvé quelqu’un m’aurait aidé, j’aurais pu remplacer cette peine par de la haine. Au lieu de ça je reprenais un coup de couteau dans le cœur. La belle brune poursuivit : « Tout est de la faute de ma mère, tu la connais…Je…Je sais que J’aurais du me battre pour toi Henry, mais crois-moi, tout était si compliqué à cette époque… » Je penchais la tête sur le côté en fronçant les sourcils. Qu’est ce qu’elle me chante la ? Sa mère ? Au moment ou elle m’a quitté cela faisait plus de deux siècles que nous avions fuit sa mère pour vivre en paix. Vivons heureux vivons cachés comme on dit. Pourquoi me parlait elle de sa mère ? Je me demandais si c’était une fausse excuse ou si quelque chose de plus sombre se cachais sous tout cela. Je reculais la tête arcquant un sourcil, trop surpris par cette réponse qui ne correspondait pas à cette partie de notre vie. Mais ces yeux humides me déconcentraient fortement, je n’arrivais plus à réfléchir. La belle s’approcha lentement de moi, je restais immobile, comme si mon corps figé était devenu une statu de pierre. Elle continua de me blesser en me rapellant les si beaux moments que nous avions vécus, son visage se rapprochais dangereusement du miens et sa main glissais sur mon visage. Je fermais les yeux un instant ne sachant distinguer si j’étais en plein rêve ou en plein cauchemard. Je venais de retrouver mon amour, mon double celui que j’avais tant désiré, mais était ce pour souffrir à nouveau ? J’avais bien du mal à me concentrer étant donné sa proximité et ces mots tendres. Je réouvrit les yeux : « Tu te reconstruis, mais as tu oublié ton Aliénor ? M’as tu oublié moi, et tout ces moments, ampli d’amour et de grâce ?.. »Eh bien non je ne l’ai pas oubliée, ça me ronge chaque jour, mais depuis peu je me trouvais en phase de guérison, grâce à Kristy. Mais la voila qui viens chambouler mon cœur une nouvelle fois. J’entrouvris la bouche laissant échapper un faible soupire lorsque sa main vint caresser ma nuque. « Ose me regarder et me dire que tu ne ressens rien actuellement, tu te mentirais à toi même… » cette phrase sonna comme une atroce torture, j’aurais bien aimé lui prouver qu’elle avait tord, mais je n’y serais pas parvenu. Pourquoi ? Eh bien il suffit de me regarder pour le comprendre. Henry le prétentieux complètement intimidé et hypersensible à la vue de cette femme. Et encore vous n’avez pas vu l’état de charpi dans lequel se trouve mon cœur ! Le bouquet final : Aliénor approche doucement son visage du miens, ces lèvres frôlent les miennes, mes paupières se ferment et ma bouche s’entrouvre pour accueillir ce doux baiser. Au lieu de ça, elle se détourne de moi. Je réouvre les paupières et la regarde me tourner le dos. Elle me rend dingue, comment fait elle pour faire de moi un simple pantin, après toutes ces années à lutter contre mon amour et ma peine ? Ces deux siècles d’acharnement pour ne faire d’elle qu’un simple souvenir du passé. Je pensais y être parvenu, je pensais être en voie de guérison mais en une minute elle venait d’anéantir tout mes efforts. Elle se retourna vers moi pour ajouter « Je veux sauver ton cœur… ». Je me pinçais les lèvres tentant de lutter contre cette irrésitible envie de me jeter sur ses lèvres. Je soupirais et fermais les yeux tentant de me concentrer. Je réouvris les paupières et fronçais les sourcils.
-Attends.. Attends … Tu es en train de me dire que tu es partie à cause de ta mère ? Ta mère que nous avions fuis plus de deux siècles auparavant ? Je ne comprends pas la !
Je m’avançais vers elle tentant d’afficher une démarche assurée. Mon ton de venais un peu agressif, la rancœur m’aidait à rester sur la défensive. -Tu as attend deux siècles pour me dire ça? Tu plaisantes j’espère ? Je croisais les bras avant de reprendre la parole.
-Tu pars, comme ça, me laissant une simple lettre et deux siècles après OHH Magiie ! tu réapparais en faisant les yeux doux et t’espères que je vais tout oublier ?
Je levais les bras et les yeux au ciel comme pour mimer la farce dont j’étais victime. Non mais vous m’avez bien vu ? moi affaibli et malheureux à cause d’elle ? Je ne voulais plus de ça ! Mais ses yeux humides ne m’aidaient en rien à faire le fort. L’amour m’a rendu faible et stupide, je crois qu’il n’a pas fini de faire des dégats. Je m’avançais vers elle et posais ma main sur sa joue. Avec mon pouce je sechais la larme qui glissait au coin de son œil.
-Ne pleures pas je t’en prie…
Ma voix c’était radoucie, mon visage était si proche du sien. Je l’approchais lentement et mes lèvres se scellèrent au siennes pour y déposer un doux baiser.
-Si tu m’aimes, encore… Tu souhaiteras mon bien.. Alors je te demande de sortir de ma vie… A jamais…
Je tournais la tête et ôtais ma main de son visage. M’arracher à ce rapprochement était une souffrance atroce, mai je n’avais pas le choix. Si je voulais me préserver je devais continuer à guérir mon mal sans sa présence. Un profond soupire s’échappa de mes lèvres pour tenter d’y trouver un quelquonque soulagement.
-Je ne veux plus souffrir.
Je lui tournais le dos et commençais à marcher dans la direction opposée. Contrairement à ce que je pensais mon cœur n’en était pas plus léger. Et elle n’allais pas m’aider à prendre le chemin de la raison. D’un bond elle apparu devant moi bloquant mon passage. Je la fixais droit dans les yeux et affichais un air suppliant en secouant la tête de gauche à droite, pour lui signaler de ne pas faire ça. Elle s’avançait vers moi provoquant une tension sur l’ensemble de mon corps. Comment pourrais je lui résister plus longtemps ? Je luttais contre son attraction mais j’étais bien plus faible que je ne le laissais paraître.
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Dim 21 Nov - 21:53
Ah les hommes ! Tous plus stupides les uns que les autres au final, Il n’y a qu’à voir ce Henry. Durant des années, J’ai entendu parler de cet homme, de la bouche de ma mère qui vantait ses qualités devant Aliénor, et de la bouche d’Aliénor qui ne Jugeait que par lui, et voilà qu’à présent il se retrouve devant moi et le pire dans tout cela, c’est que Je ne le voulais même pas, Je ne savais même pas à quoi il ressemblais, comme on dit le destin fait bien les choses. Après toutes ces années à me poser des centaines de questions sur cette personne, sur ce qui était advenu de ma sœur, et à présent les portes de la vengeance s’ouvraient à moi, et Je n’étais pas prête à reculer, pas maintenant ! Mon Numéro marchait comme sur des roulettes, cet Henry était persuadé que J’étais Aliénor son amour perdu, celle qu’il recherchait et qu’il n’avait Jamais retrouvé à l’entendre. Je devais continuer ce double Jeu, Je devais continuer à lui faire croire que J’étais Aliénor, que mon retour n’était que pour lui et qu’il était le seul qui comptait réellement pour moi. J’imagine quelques secondes la fierté de ma mère quand elle saura ce que Je suis entrain de faire.
Après m’être retournée, Je le fixe, les larmes aux yeux, des larmes de rien du tout oui ! c’est fou ce que j’arrive bien à Jouer la comédie au fond ! J’apprécie ce talent, et Je crois que c’est exactement ce qu’il me fallait actuellement. Je me fixe après mon discours de petite fille totalement fleurs bleue, à croire qu’il aime cela, pour moi c’est tout nouveau, Je déteste l’amour, les sentiments, Je déteste les histoires de couples bien trop compliquée, le sexe, la luxure tout au plus mais de l’amour ? Laissez moi rire, J’ai une tête à aimer de toute manière ? Il me regarde alors, Je reste proche de lui « Attends.. Attends … Tu es en train de me dire que tu es partie à cause de ta mère ? Ta mère que nous avions fuis plus de deux siècles auparavant ? Je ne comprends pas la ! ». Bon petite erreur de ma part mais moi Je connais pas tout ce qui s’est passé entre lui et Aliénor, Je ne me laisse pas démonter alors qu’il s’approche un peu plus de moi, Je ne dis rien, Je reste silencieuse face à lui, avalant ma salive avec un peu de difficulté, si il voit clair dans mon Jeu maintenant tout sera fichu. « Tu as attend deux siècles pour me dire ça? Tu plaisantes j’espère ? ». Mais c’est qu’il commence à m’énerver avec ses grands aires ! Pour qui il se prend de me parler de la sorte ? Je me retiens intérieurement alors qu’il croise ses bras sur son torse, Je soupire passant mes deux mains dans mes cheveux. J’entrouvre la bouche prête à parler mais c’est sans compter sur cet imbécile qui reprend la parole. « Tu pars, comme ça, me laissant une simple lettre et deux siècles après OHH Magiie ! tu réapparais en faisant les yeux doux et t’espères que je vais tout oublier ? ».
Je le regarde me forcent à pleurer, me forçant à verser des larmes qui n’ont pas envie de sortir, avant de le regarder m’approchant très légèrement le regardant dans les yeux. « Tu ne sais pas de quoi elle est capable, crois moi si Je te dis que c’est de sa faute, c’est la vérité, elle a voulu se venger, parce que Je me suis libérée de son autorité pour toi, parce que pour moi notre amour était plus fort que tout, et elle m’a retrouvé, me menaçant de s’en prendre à toi, J’ai préféré tout arrêté plutôt que de te voir souffrir à cause d’elle… ». Bon espérons que çà passe, puis le coté Je me sacrifie pour toi mon amour fera peut-être son effet, Je fais mine de craquer, de pleurer devant lui, ne supportant plus cette tension, il finit par s’approche de moi, glissant son pouce sur ma Joue, me suppliant de ne pas pleurer, Je ferme les yeux, surpris par ce geste de douceur, que Je me met finalement à apprécier, Je reste ainsi avant de rouvrir les yeux et de le regarder dans les yeux. Il se rapproche alors un peu plus de moi, nos visage n’étant plus à quelque centimètre l’un de l’autre, Je respire un peu plus rapidement alors qu’il vient sceller ses lèvres aux miennes, Je me laisse faire sans broncher, me laissant même aller à passer une main dans sa nuque, la remontant légèrement dans sa nuque. Il finit par s’écarter en me regardant. « Si tu m’aimes, encore… Tu souhaiteras mon bien.. Alors je te demande de sortir de ma vie… A jamais… ». Pardon ? Ah non non ! Je ne partirais pas ! Tu ne sais pas qui Je suis et maintenant que Je l’ai enfin sous la main hors de question pour moi de le laisser filer. Ses mains quittent alors mon visage, il laisse échapper un soupire, Je le regarde me faire dos alors qu’il m’annonce qu’il ne veut plus souffrir, Je ne dis rien, il commence à partir ! Fais donc ! Je déteste courir après les gens sauf que là Je n’ai pas le choix, Je ferme les yeux, soufflant de colère et de rage avant de filer à une vitesse considérable vers lui, me posant devant lui. Je m’approche de lui le regard brillant posant mes deux mains sur son torse le fixant intensément. « Non henry ! Je ne peux pas, Je ne peux pas te laisser, Je me refuse à sortir de ta vie une seconde fois. ». Manquerait plus que la violoniste pour jouer la sérénade à nos cotés et ce serait parfait ! Je rigole intérieurement en me voyant Jouer la parfaite petite fille amoureuse, Je dégueule sur les sentiments, si vous saviez à quel point. Je me force à rendre mon regard plus brillant, Je pose mes deux mains sur ses Joues, me mettant sur la pointe des pieds, me rapprochant un peu plus de lui, collant doucement mon front au sien. « Henry, Je te promets de ne pas vouloir te nuir, mais Je ne peux vivre sans toi, une vie de errance voilà ce qui m’attends sans toi… ». Je dépose mes lèvres aux creux de son cou avant de le fixer dans les yeux caressant tendrement sa Joue. « Ose me regarder dans les yeux et me dire que tu ne veux pas de moi, ose le faire, ose le dire haut et fort et Je partirais… ». Je suis pas dans la mouise s’il le fait ! Espérons que l’amour pour ma stupide sœur soit plus fort que le reste.
Une larme coulant Je me rapproche de lui, me blottissant contre lui. « J’ai besoin de toi Henry… » Bon si çà marche pas là ! Je vais pas me mettre à genoux quand même. Me hissant à sa hauteur Je dépose tendrement mes lèvres sur les siennes, glissant légèrement le bout de ma langue sur les siennes, collant totalement mon corps au sien. Plutôt doué le garçon !
Henry Fitzroy
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Dim 28 Nov - 21:00
Tant d’années de souffrance et d’incompréhensions, pour savoir ça ? Sa mère serait elle l’unique responsable de notre rupture ? Sa mère qui semblait au départ ravie de nous voir ensemble avait elle cherché à me nuire ? J’étais perdu et le mot est faible, j’étais plutôt déboussolé, incapable de remettre mes idées en place. Ce que je venais d’apprendre m’avait perturbé, si bien que j’en perdais mes moyens. Aliénor m’aimait tellement qu’elle était partie pour mon bien. Comment ne pas lui pardonner un tel acte d’amour ? Les pensées et les interrogations se bousculaient dans ma tête, j’en vins à penser à Kristy, ce petit ange dont j’étais incapable de me séparer pourquoi ne l’avais je pas laissé s’envoler pour son bien ? Pourquoi ne faisais je pas comme Aliénor ? J’avais besoin d’air, je frôlais l’asphyxie. Je devais me retrouver moi-même avant de prendre une décision. Alors je demandais à Aliénor de me prouver son amour pour moi en me laissant. Peu importe ma décision si elle m’aimait elle comprendrait. Je fis volte face et entamais une marche lente dans la direction opposée mais la belle brune ne mit pas longtemps à me barrer le passage. Elle n’avait pas l’intention de me laisser partir. Ce n’est pas ce soir que mon pauvre cœur serait épargné.
« Non henry ! Je ne peux pas, Je ne peux pas te laisser, Je me refuse à sortir de ta vie une seconde fois. » Je plissais les yeux et secouais la tête de gauche à droite, comme une supplication, comme pour lui dire de s’arrêter, comme pour préserver mon cœur au bord de l’explosion. Elle encercla mon visage avec ses mains pour tenter de me faire plier, elle s’aida de paroles convainquantes : « Henry, Je te promets de ne pas vouloir te nuir, mais Je ne peux vivre sans toi, une vie de errance voilà ce qui m’attends sans toi… » Je laissais échapper un filet d’air entre mes lèvres, mon corps semblait si lourd et comparable à de la guimauve, étais je en train de sombrer ? Allais je me retrouver sur le sol ? Tout ça c’était bien trop pour que je ne puisse le supporter. Elle accentua mon malaise en déposant ses lèvres humides dans mon cou, son souffle chaud s’écrasa dans celui-ci lorsqu’elle parla de nouveau : « Ose me regarder dans les yeux et me dire que tu ne veux pas de moi, ose le faire, ose le dire haut et fort et Je partirais… »Bien joué, elle me connaissait bien trop pour savoir que j'en était incapable! La douleur ne faisait qu’augmenter, je me demandais comment je trouvais encore les capacités à supporter cela. Et je crois qu’elle m’acheva par sa dernière phrase : « J’ai besoin de toi Henry… » Elle déposa un baiser sur mes lèvres avant de faire glisser sensuellement sa langue sur celles-ci. Mes doigts se crispèrent serrant le tissu de son haut, je collais mon corps au sien tentant de happer le peur d’air que je pouvais. Je détachais un instant mes lèvres des siennes pour murmurer :
-Depuis le temps que j’attendais ça..
Mes mains se plaquèrent sur ses flancs et je me jetais sur sur lèvres, le souffle court je ne parvenais pas à cesser l’intensité de ces baisers. Une de mains mains remonta le long de son dos pour finir sa course sur sa nuque. Je lâchais ses lèvres pour me délécter de son cou. Entre deux baisers je murmurais.
-Je t’aime…
Mes mains glissèrent sur son corps alors que je capturais à nouveau ses lèvres avec fougue. Je remontais mes mains sous ses cuisses afin qu’elle se retrouve dans mes bras, je plaquais son dos au mur pour libérer une de mes mains qui s’empressa de glisser sous son tee shirt. J’avais besoin de retrouver sa peau si douce. L’effet était immédiat, une vague de frissons me secoua lorsque je sentis les ongles de ma belle s’enfoncer dans la peau de mon dos. Je ne pensais qu’a une chose : rattraper le temps perdu et ne faire plus qu’un avec ma moitié. Je glissais mes mains sur son ventre et le long de ses flancs lorsque l’envie de m’enivrer de son odeur me survint. Je plongeais ma tête dans son cou avec gourmandise ma langue glissa sur sa peau et je fermais les yeux. Je pris alors une profonde inspiration pour retrouver cette image de soirée d’été dans un champs de fleur. Etrangement je ne la retrouvais pas, j’ouvrais les yeux cessant mes caresses, fortement perturbé par l’odeur d’Aliénor, elle était plus fruitée et sucrée qu’avant. Comment cela était il possible ? Je reniflais son cou avec insistance et finis par la dévisager avec inquiétude.
-Je n’aurais pourtant pas pu oublier ce parfum enivrant… comment est ce..
Les sourcils froncés je m’écartais de la jeune femme et tentais d’apaiser mon trouble. Je glissais une main nerveuse dans ma nuque et me pinçais les lèvres. Je détaillais la jeune femme fortement perturbé par l’odeur qu’elle dégageais, agréable certes mais il ne s’agissait pas de son odeur. Je ne parvenais pas à comprendre la cause. Etait elle impregnée de l’odeur de quelqu’un d’autre ?
-Je …euh… excuses moi mais quelque chose me derange.
Je soupirais et détaillais son visage en fronçant les sourcils. Je glissais lentement mes doigts dans sa chevelure lisse et soyeuse.
-ça te vas bien aussi les cheveux lisses.
Un petit sourire étira mes lèvres, je scannais son corps de la tête au pieds pour plonger mon regard interrogatif dans le sien. Je n’osais pas lui poser la question et pourtant elle me brulait les lèvres. Je croisa que j’étais un peu trop perturbé par tout cela pour avoir les idées claires. La paume de ma main se posa sur sa joue et je caressais celle-ci avec mon pouce. Un profond soupire s’échappa de mes lèvres entrouvertes et j’ôtais ma main de sa joue.
-Accordes moi un peu de temps, j’ai bien du mal à réfléchir avec toutes ces émotions. Et puis… ce n’est plus comme avant, ma vie à changé à présent, j’ai changé tu sais..ET.
Je m’arrêtais un court instant pour contempler sa beauté hypnotique. Avant de reprendre d’une voix douce contenant un pointe de tristesse et de nostalgie.
-Et toi aussi...
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Sam 4 Déc - 3:10
Mon plan ne devait pas échouer, c’était impossible, Je ne pouvais pas encore subir un échec surtout avec cet homme, ce Henry que ma sœur avait pu tant aimer, cet homme qui avait fait au fond que ma mère me délaisse préférant s’occuper de ma sœur et des desseins et espoirs qu’elle entretenait pour elle. J’avais enfin retrouvé cet homme qui me fascinait en quelque sortes, c’est vrai après tout Je ne connaissais rien de lui, si ce n’était son statut, et maintenant me retrouver en face de lui, déclenchait quelque chose d’étrange et d’inexplicable, un sentiment de colère, de rage même d’avoir cette vengeance à portée de main et de pouvoir imaginer une seconde, que mon plan échouerait et un autre sentiment, indescriptible cette fois-ci. Je joue la carte de la pitié, mais aussi Je le teste, et Je sais qu’au fond de lui il doit toujours être amoureux de cette stupide Aliénor, sinon, il ne serait plus là devant moi, Je Joue toutes les cartes du Jeu ce soir, pour pouvoir l’attirer dans les filets et mettre mon plan à exécution. Au bord des larmes, telle la plus grande héroïne de tragédie Je le fixe, soupirant que J’ai besoin de lui. Je me déteste à pleurer de la sorte, c’est tellement faible de se laisser aller aux larmes, J’ai bien assez pleuré l’éloignement de ma mère et l’exclusion dont Je subissais le sort. Je le fixe alors, après avoir déposée lentement les lèvres contre les siennes. Il ne dit rien, et ce silence a le don de me faire m’impatienter, et Je déteste cela, Je maîtrise la colère naissante qui me parcours. Je finis par reculer d’un léger pas, tout en le regardant.
Henry finit alors par poser ses mains sur mes flancs, Je ne dis rien savourant ce moment, le fixant dans les yeux, savourant intérieurement cette victoire qui commence à me consumer l’esprit. Il scelle ses lèvres contre les miennes dans un baiser aussi fougueux que passionné, m’arrachant un léger soupire, c’est qu’il embrasse bien, Je comprends maintenant un peu mieux la dépendance de ma sotte de sœur pour ce vampire. Ses mains glisse dans mon dos avant de remonter dans ma nuque et comme si cela ne suffisait pas sa bouche prend le chemin de mon cou, Je souris en coin, caressant ses cheveux alors qu’il en vient à murmurer ces trois mots, trois mots que Je n’ai Jamais dis à personne hormis ma mère…Dans un souffle cours, Je lui dis que moi aussi, Baliverne me dirais-vous mais si c’est ce qu’il faut pour que je puisse aller au bout de mon plan, Je continuerais à le faire.
Les mains du vampire continuent de glisser sur mon corps alors qu’il capture à nouveau mes lèvres, Je me laisse totalement faire me délectant de ce moment, me collant un peu plus à lui encore, alors que ses mains plutôt expertes Je dois dire, doucement il me plaque contre le mur du grand bâtiment, Je ne rechigne pas au contraire, Je serais sotte de le faire, et quoi de mieux pour se venger de sa sœur, que d’utiliser le seul homme qu’elle a du aimer. Je dois dire que ce moment est loin d’être désagréable bien au contraire. Sentant une vague de frissons me parcourir sous l’effet de ses caresses, Je plante légèrement mes ongles dans la peau de son dos en souriant largement, dévorant sa nuque de baisers ardents. Ses mains se frayent un chemin jusqu’à mon ventre, qui se contracte légèrement sous le poids de ses caresses, Je le fixe alors qu’il replonge sa tête au creux de mon cou, sa langue glissant contre ma peau, un léger grognement sort de ma bouche, Je finis par prendre son visage entre mes mains en l’embrassant alors que son regard se fait plus mystérieux, comme s’il détaillait mon visage, ce qui me fait douter quelques instants…Et si il avait tout compris ? Je reste de marbre, ne montrant pas mes craintes, Je n’ai pas le droit de faiblir.
Il reprend alors la parole, alors que J’avale difficilement ma salive. « Je n’aurais pourtant pas pu oublier ce parfum enivrant… comment est ce…. ». Mon odeur, satanée odeur, de toute manière, c’est le genre de chose qui peut évoluer non ? Il s’écarte de moi, et la colère commence à gronder en moi, mais pourquoi se prend t-il avec ses remarques et son aisance à le faire. Il passe alors une main dans sa nuque tout en continuant à me détailler, ce qui a le don de me mettre dans un état de stress. Je le regarde, faisant mine de garder mon calme, adossée au mur la tête penchant sur le coté. Il reprend alors la parole. « Je …euh… excuse-moi mais quelque chose me dérange. ». Je soupire exaspérée, avant de m’avancer d’un pas vers lui. « Henry…Les années sont passées, et si tu as peur que Je me sois imprégnée de l’odeur d’un autre, détrompes toi, Je n’ai eu que toi, et tu es la seul dont Je me suis imprégnée… ». Un mensonge de plus, un.
Il finit alors par se rapprocher de moi, glissant ses mains dans mes cheveux, Je ferme les yeux, quelque peu apaisée par sa douceur. « ça te vas bien aussi les cheveux lisses. ». Je souris en coin, ma sœur ne se lissait jamais les cheveux, elle arborait toujours une belle coiffure, tirée à quatre épingles pour plaire aux membres de la cour, des boucles retombant souvent sur ses fines épaules. Henry me sourit, alors qu’il continue de me regarder comme pour découvrir quelque chose. Si Je m’écoutais, Je le plaquerais au mur et lui apprendrait qu’on ne me regarde pas de la sorte mais Je dois me contenir. Il caresse alors tendrement ma Joue avec sa main, puis ses pouces, Je ferme les yeux quelques minutes lorsqu’il me demande de lui accorder du temps, ayant besoin de réfléchir avec toutes les émotions engendrées, Je ne dis rien continuant à l’écouter, lorsqu’il me dit que plus rien n’est comme avant, qu’il a changé…il marque une hésitation avant de souligner que moi aussi. Je m’écarte alors de lui, ne le regardant pas, Ne voulant pas le faire, risquant de craquer et de m’énerver, hors Je dois me retenir et continuer à jouer de la sorte.
« Bien sûr que les choses ont changé, Henry. Des années à errer loin de toi, loin de mon unique amour et rien n’a été facile crois-moi, mais à présent, Je suis là, et peut être différemment mais Je ne veux plus passer à coté de mon bonheur, et tout cela se résume à toi… ». Je me retourne alors plongeant mon regard dans le sien, m’approchant de lui et effleurant sa Joue. « Je suis au fond toujours la même, Aliénor, la fille que tu as tant aimé, et…tu sais…si il te faut du temps…Je le comprendrais, mais…Je ne veux pas renoncer à l’espoir de ce bonheur retrouvé… ». C’est fou comme cette aisance au mensonge, m’habite totalement. Mes lèvres se déposant tendrement sur les siennes, Je caresse sa nuque du bout des doigts. Mon regard se retrouve dans le sien et Je me blottis contre lui tendrement, avant de le regarder. " Je ne veux pas dormir seule ce soir Henry...offre moi au moins cela...". Le rendre accro un peu plus voilà ce que Je compte faire et Je sais que j'y arriverais.
Henry Fitzroy
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry. Sam 11 Déc - 17:14
Alors que je m’interrogeai sur l’identité étrange d’Alienor, celle si me fixait comme si cela l’agaçait ou je ne sais quoi d’autre. Etait-elle nerveuse ? Que me cachait elle ? Je doutais que le temps ai pu altérer mes souvenirs olfactifs donc je devais en comprendre la raison. C’est après avoir soupiré qu’Aliénor s’approcha de moi afin de se justifier : « Henry…Les années sont passées, et si tu as peur que Je me sois imprégnée de l’odeur d’un autre, détrompes toi, Je n’ai eu que toi, et tu es la seul dont Je me suis imprégnée… ». Je penchais la tête sur le côté en fronçant les sourcils. Pourquoi me disait-elle cela ? Je ne lui avais même pas posé la question et puis en plus de deux siècles elle aurait très bien pu se trouver un autre compagnon. En parlant de ça tiens…j’en avais oublié ma propre vie ! Le visage de Kristy m’apparut, son sourire timide et ses cheveux volant au grés du vent, je me rappelait de ce moment près du lac. Je n’avais pas le droit de renouer avec le passé sachant que mon présent était bien meilleur, pourtant Kristy semblait m’avoir rejeté comment devais je agir ? J’étais sous le choc, perdu et tiraillé entre mes sentiments : l’amour du passé et celui du présent.
Je me laissais attirer par ma belle du passé, sans prendre conscience des conséquences dévastatrices que cela pouvait causer sur mon être tout entier. Pourtant plus je regadais Aliénor plus je la trouvait différente, était ce la nature de mes sentiments envers elle qui avaient évolués ? etais je irrémédiablement amoureux de Kristy au point que ma Aliénor, mon premier amour ne soit plus la belle rose que j’ai connue par le passé ? La belle parla une nouvelle fois « Bien sûr que les choses ont changé, Henry. Des années à errer loin de toi, loin de mon unique amour et rien n’a été facile crois-moi, mais à présent, Je suis là, et peut être différemment mais Je ne veux plus passer à coté de mon bonheur, et tout cela se résume à toi… ». Comment rester insensible à tout cela ? Surtout que j’ai rêvé de ce moment durant deux siècles et la je fais mon difficile. Elle ne m’aide pas à réfléchir, elle s’approche de moi et fait glisser sa main sur ma joue. Je ferme les yeux me déléctant de cette douce caresse, un sourire étire mes lèvres et un soupire de plaisir s’échappe de ma gorge nouée. Lorsqu’elle reprit la parole je réouvrit les paupières et la fixait droit dans les yeux. « Je suis au fond toujours la même, Aliénor, la fille que tu as tant aimé, et…tu sais…si il te faut du temps…Je le comprendrais, mais…Je ne veux pas renoncer à l’espoir de ce bonheur retrouvé… ». Du temps ? euh oui, je crois qu’il faudrait me laisser digérer tout cela, pour le moment je suis trop perdu pour faire queque chose de réfléchi et de censé. A ce jeu la je risque de perdre Aliénor et Kristy. Entre les deux mon cœur balance. Je pensait pourtant que tout était clair mais le retour d’Aliénor à fait ressortir des sentiments profond et encrés au fond de mon être.
Ma douce et tendre moitiée se blotissait contre mon corps et une douleur serra mon cœur. Je pensais à Kristy, peut être devrais je abandonner l’idée, peut être qu’un vampire et une humaine n’était pas compatible ? Meurtri par ses pensées je serrais le corps d’Aliénor contre moi posant ma joue sur le haut de sa tête. Un soupire s’échappa de mes lèvres, une vaine tentative pour faire passer la douleur qui serrait ma gorge. Pourquoi n’arrivais je donc pas à me faire à l’idée que Kristy n’était pas une femme pour moi ? Nous étions tellement différents, pas seulement par nos races mais aussi par notre façon de penser. Alors qu’Aliénor et moi étions complémentaires, pourquoi ne pas retrouver le fruit perdu de mes désirs et revivre dans une bulle de bonheur ? Eh bien surement parce qu’un grosse part de moi préférait la difficulté, ou pire une grosse part de moi était totalement accro a mademoiselle Nelson. La voix presque suppliante d’Aliénor m’extirpa de mes tourments." Je ne veux pas dormir seule ce soir Henry...offre moi au moins cela..." J’avalais difficilement ma salive. Aliénor ne pouvait même pas imaginer la difficulté de cette demande. Je resserais un peu plus mon étreinte et déposais un baiser sur ses cheveux avant de m’écarter. J’encadrais ses épaules avec les paumes de mes mains, les bras tendu je prenais de la distance avec la belle.
-J’ai besoin d’un peu de temps…je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée. Comme je te l’ai déjà dit, j’ai changé et ma vie est bien plus complexe que tu ne peux l’imaginer. Il faut que tu prennes en compte que je suis différent maintenant, je ne suis plus le Henry d’autrefois.
Je soupirais et baissait la tête avant de plonger une nouvelle fois mon regard dans le sien. je me pinçais les lèvres et décidais de lui avouer. Après tout je lui devais la vérité.
-Ecoutes…euh.. j’ai rencontré quelqu’un et euh… tu ne peux pas refaire surface dans ma vie deux siècles plus tard et tout chambouler alors que je commence tout juste à me reconstruire.
Je baissais la tête et en un soupire j’ajoutais.
-Je suis désolé..
Je relevais mes yeux humides et contemplait le visage d’Aliénor avec tristesse. Je lâchais ses épaules et reculais de deux pas.
-Je n’ai plus la force de souffrir à nouveau, j’ai encore moins envie de faire souffrir les personnes qui me sont chères…Je suis perdu Aliénor, j’ai besoin de temps.
Je finisssais ma phrase en secouant la tête de gauche à droite, comme si les mots que je venais de prononcer étaient d’une violence insurmontable.
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Sujet: Re: Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry.
Do You want A bitch ? i'm Here Baby || Henry.
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