......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: I'm not afraid of you (pv) Ven 7 Jan - 1:51
Les obligations, satanées obligations! Si nous avions été 17 ans plus tôt j’aurais décapité et vidé de leur sang ces abrutis de riches humains qui semblaient avoir les pleins pouvoirs ! Mais je n’avais pas envie de fuir comme un vulgaire fugitif en cavale alors accepter une communauté c’est accepter les règles et lorsqu’on est une rock star la vie n’est pas toujours rose ! De nos jours signer un contrat de promo pour du marchandising ressemblait plutôt à une excuse pour ces riches débauchés de boire et se taper des filles. Tout ces pères de famille ou ces jeunes hommes d’affaires en pleine croissance ne rêvaient que d’une chose, jouir de tout les vices durant une soirée, les contrats n’étaient qu’une excuse ! Etrangement Lindsay ne participait pas à ces soirées elle nous poussait plutôt dans les bras de ces tyrans en feintant l’agréable soirée entre mecs ! Foutaises ! Elle était bien trop coincée pour participer à cela et nous laissait le soin de le faire. Il fut un temps ou je trouvais cela amusant, mais à présent je suis las de tout ça, en réalité je suis las de tout. Ma vie amusant de rock star semblait en train de se fâner depuis que Kristy était partie. Nous dinâmes dans un restaurant haut de gamme, de la cuisine raffinée et haute gastronomie semble t il, ouais enfin ces abrutis semblaient de casser le ventre sur le dos de leur entreprise oubliant presque que j’étais un vampire ! Enfin leur visage gêné apparu lorsque l’on me servit des verres de Sap. Lorsque l’interminable diner toucha à sa fin je croyais être libéré mais le contrat ne fit pas son apparition sur la table lorsqu’on amena le café, il semblerait que la soirée dans un club de striptease ou en boite soit obligatoire.
Eh bien cela ne manqua pas de se produire, la limousine nous conduisit dans la boite la plus branchée de Chicago, tout droit le carré VIP, dont je connaissais le moindre milimètre par cœur. Fort heureusement j’étais bon comédien et sous mes rires et sourires hypocrites aucun de ces hommes ne prit décelé mon ennui profond. Sur les canapés du carré VIP le champagne coulait à flot, sur ce coup la je participais à l’activité, je crois que j’étais devenu accro à l’alcool ces derniers temps. Une fois que les hommes étaient suffisement emêchés ils réclamèrent des filles, comme ci ces demoiselles étaient un nouvel objet de distraction ils envoyaient les petits stagiaires chercher les plus jolies filles de la boite. Des filles prêtent à tout pour assouvir leurs fantasmes ou profiter d’une soirée gratuite en échange de son corps pour une soirée. Je priais pour ne pas récolter d’un lot de fans des Mystic Dolls, car je n’avais aucunement l’envie de supporter des jeunes femmes qui gloussent et tente de jouer la groupie femme fatale. Il fallu presque une demi heure pour que l’on nous ramène un large choix de femmes sans aucune pudeur ni respect pour leur propre personne. Je laissais les mecs choisir leurs proies et agrippai ma coupe de champagne tentant de passer au travers des mailles du filet. Mais à croire que la poisse je l’avais jusqu’au bout, le directeur commercial semblait avoir remarqué mon retrait et s’exclama. « Hey Henry tu ne vas pas la jouer grande timide tout à coup! » Je fronçais les sourcils, mais quel connard ce mec de quoi je me mêle ! Je souriais, un large sourire bien hypocrite et me resservi une petite coupe. -J’aime prendre mon temps ne t’en fais pas pour ça ! Je ponctuais le tout par un petite rire. Puis je me mis à soupirer en marmonnant entre mes dents. -Vas t’faire voir du con!
Seulement une jeune blonde apparu comme par magie juste à mes côté, comment était elle arrivée si vite ? Je la fixais attentivement et respirais son parfum délicieux. Je ne sentais pas cette odeur humaine alors je tentais de faire abstraction de la musique pour mieux écouter son corps. Sa respiration était forte et sacadée. Mais je ne percevais aucun battement de cœur. Un léger rire s’échappa de mes lèvres je servit une coupe à la vampirette et lui tendit. -Goutez ! c’est pas pire que le SAP! Je n’eus pas le temps de trinquer avec elle que son corps était beaucoup plus proche du miens. Je haussais les sourcils en écarquillant les yeux. Comment cela se faisait il que je n’avais pas perçu sa rapidité ? Je n’avais pourtant pas bu tant que cela. Je penchais la tête sur le côté affichant un sourire en coin. -Vous êtes une rapide ! Mademoiselle ? J’étais étonné par ces mouvements fluides, sa rapidité déconcertante et son attraction hypnotique, jamais je n’avais rencontré un vampire qui m’intimidait. Comment cela s’expliquait il ? Mais ce n’était pas l’unique raison de ma surprise, une question me brulait les lèvres. Comment pouvait-elle accepter de se faire traiter comme un vulgaire morceau de viande par des humains ? Avait-elle un plan en tête ? Un festin de fin de soirée ? Très peu pour moi le sang bourré d’alcool est indigeste.
Dernière édition par Henry Fitzroy le Ven 7 Jan - 19:07, édité 1 fois
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Ven 7 Jan - 13:22
Encore une soirée à tuer... Si seulement il y avait eu autre chose dans ce genre là. Un homme par exemple... Deux, trois... De quoi manger en sommes ! Mais non, j'étais privée de la meilleure chose qu'il me restait après mon frère. Lui aussi d'ailleurs, n'était pas dans les parages ce soir et je m'en sentais tellement frustrée ! Sa présence m'apaisait dans mes moments de solitude et de déprime passagère. Car oui, cela m'arrivait... Après tout ce temps passé auprès des hommes, on en devient facilement irritable. On se lasse d'eux aussi. Ils sont tellement prévisible et d'un ennui innommable. La nuit allait être longue ! Trop longue ! Il fallait à tout pris que je sorte de mon appartement. J'avais besoin d'air et j'étais d'humeur joueuse. C'est bien simple, plus je m'ennuyais et plus j'avais envie de provoquer un scandale afin d'animer mon existence. Ni vu, ni connu, j'aurais volontiers croqué dans le cou frais d'un jeune étudiant de Chicago, sportif de préférence pour leur goût sucré, mais je n'en avais malheureusement pas le droit. J'avais besoin d'un corps contre le miens... Et voilà ! J'étais excitée comme jamais ! Mes sens étaient en éveil et mes crocs commençaient à me titiller. C'était décidé, ce soir je sortais ! Qu'importe si je prenais le risque de craquer et de me mettre en effraction aux yeux de cette nouvelle et stupide loi. Est-ce que nous, vampires, on empêchait ces idiots de bouffer un steack tartare ? Non... Pourtant ces pauvres animaux étaient élevés dans le seul but de se faire dévorer par les hommes. Et le respect de ces êtres vivants, où était-il passé ? Ils faisaient bien comme ça les arrangeaient ! Moi, on m'interdisait le plaisir de quelques larmes de sang au fond de mon gosier desséché, aussi aride qu'un désert. Leur boisson infecte me donnait l'impression d'être aussi bon qu'une pelletée de sable !
J'arrivais dans une boite de nuit branché, un club dont j'avais entendu parlé la veille en allant faire un tour dans les rues de Chicago. Jusque là, rien d'anormal. J'avais fait le trajet à pieds, très rapidement, sans la moindre embrouille. Peu de gens avaient croisé mon chemin, je n'avais donc fait aucune pause casse-croûte ! La foule qui patientait devant la porte me fit sourire. Il y avait un sacré paquet de nuque à briser. Quel gâchis ! M'avançant près du videur, je n'eus aucune requête à formuler pour qu'il me laisse naturellement passer. Ce que ça avait du bon d'être un vampire. Un vampire bien plus expérimenté que les autres. Je n'avais de cesse de m'en amuser et d'apprécier cette influence, ce pouvoir. Me frayant un chemin jusqu'au bar, je me commandais un verre. La soirée était déjà bien entamée ! A peine m'a-t-on servi ce martini -toujours sans l'olive- qu'un homme vint à ma rencontre. Allait-il tout naturellement m'offrir ce verre en payant l'addition à ma place ? Encore mieux ! Voilà qu'il me proposait de le suivre dans le carré VIP, situé à l'étage au-dessus. Ô joie, j'allais m'amuser comme une petite folle ! Acceptant volontiers, je me retrouvais à le suivre, d'un air faussement étonné et sage. Un vrai démon possédait mon petit corps ce soir, je le sentais ! Je faisais en sorte de canaliser toutes ces pulsions, cette frustration, ce désir. Une fois en haut, je jetais rapidement un coup d'oeil aux hommes qui m'entouraient, à présent accompagné de petites nanas choisis dans la foule, comme moi. Il n'y avait pas grand chose à ce mettre sous la dent... Jusqu'à ce que je décèle la présence d'un individu qui me semblait nettement différent. M'approchant d'un pas rapide, je me retrouvai derrière lui, le visage penché au-dessus de son épaule. Je restais silencieuse, tentant d'en apprendre un maximum sur lui en me fiant simplement à ce que je voyais, à ce que je sentais. Il me disait quelque chose, mais à vrai dire, ça n'était pas tellement son identité qui m'intéressait pour le coup. Il me servit une coupe de champagne m'assurant que ça n'était pas plus mauvais que du SAP. En même temps, ça n'était pas bien difficile ! M'emparant de la coupe à une vitesse affolante, je m'empressai de le plaquer contre le divan et de venir tout prêt de lui. « Ça, je sais. » Me contentais-je de répondre à sa première réplique alors qu'il me faisait à présent remarquer que j'étais rapide. « Ça aussi... » -complétais-je avec un sourire en coin, presque carnassier. Mais je n'ajoutais rien d'autre, ne répondant pas à sa question concernant mon identité. Bien que concrètement mort, ce corps me donnait faim. Non pas de sang, mais de plaisir. Me décidant à passer une de mes jambes par-dessus les siennes, le chevauchant à ma manière, je bu une gorgée de champagne. Ces petites bulles me chatouillait la langue. Ma main libre se glissa sans ses cheveux, le forçant avec douceur à basculer la tête en arrière afin de m'offrir un libre accès à son cou. Mes lèvres se posèrent sur ce dernier, dans un baiser sensuel. Je donnais la première note de cette soirée, qui me paraissait des plus intéressante.
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté
......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Ven 7 Jan - 15:28
«Ça je sais.. ça aussi » Furent les seules paroles de la jeune femme, pas très bavarde et surtout très étrange. Elle se jetais sr moi comme si j’étais un vulgaire morceau de viande. Si c’était une humaine, une fan ou une espèce de nympho j’aurais pu comprendre. Mais qu’est ce qu’une vampire pouvait me trouver d’aussi irrésistible au point de s’exposer en publique comme une vulgaire s*lope qui n’avais aucun respect pour elle-même. Qu’est ce qui tournait par rond chez elle ? Assise à califourchon la voila sui s’attaquait à mon coup, ouh la le point sensible voila qu’un sourire accompagné d’un rire nerveux s’arracha de mes lèvres à demi ouvertes. Mes mains se posèrent sur ses cuisses et mes doigts se serraient contre sa chair tandis que je laissais échapper un soupire de plaisir. Non mais qu’est ce qu’il m’arrivait la ? Comment pouvait elle m’avoir si facilement ? Depuis que Kristy m’avait laissé je n’avais laissé personne m’approcher ainsi et la elle , elle croyait quoi ? Qu’elle avait tout les droits sur moi ? Je n’étais pas aussi faible qu’un humain ! Quoi que, elle semblait avoir une aura et une force tellement puissante ! Je glissais mes mains le long de ses flanc et les remontait jusqu'à son cou, afin de dégager son visage de ce point sensible. Je le fixais droit dans les yeux et la dévisageais avec interrogation.
-Dites, avec moi vous n’êtes pas obligée de faire ça!
Elle me donnait l’impression d’être sous l’emprise d’une puissante drogue et de ne pas écouter ce que je lui disais. Je fronçais les sourcils et secouait la tête de gauche à droite. Etait elle folle ? Avait elle un plan derrière la tête ? Je n’avais pas peur mais j’étais pour le moins paralysé par l’étonnement quand à son comportement étrange. Car même si nous étions contraint à agir en surface comme les humains nous avions des dons qui nous étaient bien utile pour ne pas nous fourrer dans des situations désagréables. J’avais pourtant bien du mal à soutenir son regard sans être attiré par son charme. Comme si c’était moi l’humain et elle la vampire, comme si elle usait de ce don sur moi. Comment cela était il possible.
-On ne pourrait pas d’abord faire connaissance ? Danser ? Faire des choses normales si je puis dire ? Veuillez m’excuser mais je ne saisis pas vraiment ou vous voulez en venir… Vous savez je ne vais pas vous virez de la si vous arrêter de me pelotter ! Je ne dirais à personne que vous êtes..euh.. comme moi !
Je laissais échapper un petit rire et penchait la tête sur le côté en lui adressant un clin d’œil. Ce n’était pas la peine de la vexer je ne voulais ni scandale ni drame. On ne sais jamais il y a aussi des désiquilibrés chez les vampires. Son visage se durci et son regard était beaucoup moins tendre. Je plissais les yeux et tordais ma bouche en grimaçant. Que comptait elle me faire subir ? Je n’avais pas agit comme un goujat pourtant ? Bien au contraire je l’avais différencié de tout ces tas de viande de la salle. Je glissais le bout de mes doigts sur son visage afin de dégager ses yeux de sa chevelure dorée.
-Vous êtes très jolie ce n’est pas le problème ! Excusez moi de ne pas être un animal mademoiselle !
Je glissais ma main sous sa cuisse pour la faire s’assoir à mes côtés. Je servit deux coupes et tendit ma coupe vers elle mais elle avait disparu. J’écarquillais les yeux, comment ne l’avais je pas vue partir ? Et la elle se retrouva dans sa position initiale à califourchon sur moi, ma main levée tenais une coupe de champagne invisible car la jolie blonde était en train de la siroter, me fixant avec un regard amusé. Je fronçais les sourcils et lui dit d’une voix à peine audible tellement j’avais le souffle coupé.
-Comment est ce que.. ?
Je glissais une main nerveuse sur ma nuque, tentant de ne pas perdre pied et de lui montrer mon assurance, d’un ton à la fois surpris et agacé je renchéri.
-NON MAIS à quoi vous jouer la?
Je prenais conscience de mon affront, si je la vexait qui sait ce qu'elle pourrait faire, car cette femme semblait bien plus forte et agile que moi. Serait elle bien plus ancienne? J'avais bien du mal a comprendre l'ampleur de sa force.
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Ven 7 Jan - 18:12
Quand j'étais dans un tel état, avec les nerfs à fleur de peau, les sens éveillés et la soif au bord des lèvres, je ne cherchais plus vraiment à raisonner et à réfléchir aux conséquences de mes actes. Je me laissais aller, savourant l'instant présent sans me soucier du reste. J'avais l'éternité pour penser à ce que j'avais bien pu faire, c'était idiot de gâcher l'instant même où je pouvais me montrer insouciante et séductrice. Bien que vampire, je devais reconnaître que cet homme avait un physique des plus avantageux, distrayant à souhait. Je ne me privais donc pas de tâter la marchandise en prenant place à califourchon au-dessus de lui. Champagne et ambiance des plus chaudes étaient au rendez-vous pour moi, j'allais m'amuser comme une petite folle. Je n'y allais pas par quatre chemin, laissant le papotage de côté pour m'attaquer directement à la dégustation de son corps, commençant bien évidemment par son cou. La partie du corps que je préférais, pour sa sensibilité et sa douceur. Je lui avais tirer la tête en arrière, délicatement, pour pouvoir glisser mes lèvres sur sa peau. Je l'entendais soupirer, sentant ses mains se saisir de mes cuisses et je m'en délectais. Je ne le laissais pas indifférent, en voilà un qui ne faisait pas encore exception à la règle. Du moins, c'est que je croyais, jusqu'à ce qu'il me repousse légèrement. Il allait me résister ? Pauvre sot ! « Je sais que je n'y suis pas obligée... J'en ai juste envie. » -répliquais-je simplement en tentant de reprendre où il m'avait stoppé. Il n'en avait visiblement pas envie. Je le sentais qui luttait pour me faire face et ne pas céder à ses pulsions. Je faisais pourtant tout pour l'y encourager, baladant mes mains sur son torse. Les autres types ? Je n'en avais rien à faire. Je pouvais leur briser la nuque comme une craque une allumette.
Ce qui suivit manqua de me faire littéralement exploser de rire. Parler ? Danser ? Il voulait peut-être faire un scrabble aussi pendant qu'on y était ! Selon moi il n'y avait rien de plus normal et naturel qu'un homme et une femme usent et abusent de leurs corps. Après tout, ça avait toujours été ainsi. S'offrir mutuellement du plaisir avait toujours fait partie l'être humain, aussi bien chez l'homme que chez la femme. Ce soir, je le voulais lui. Il n'allait pas en plus faire le difficile. Surtout qu'avec moi, on ne pouvait pas se comporter ainsi. Il fallait non seulement être honnête en me regardant bien, puis je pouvais aisément me mettre en colère. Posant ma main devant ma bouche, je faisais mon possible pour ne pas lui rire au nez. Balancer à tout le monde que j'étais un vampire ? Il pouvait le faire, je m'en moquais ! Je pouvais par moi-même montrer mes jolis crocs à qui souhaitait les voir de plus près. Il ne plaisantait vraiment pas, et il en venait même à rire de ce qu'il disait. Je n'avais pas envie de plaisanter, mais de me faire plaisir. Si bien que mes traits devinrent plus sévères, comme pour le dissuader de poursuivre cette petite comédie qui ne me plaisait guère. Il s'excusait de ne pas avoir eu cet instinct animal en venant me plaquer contre le sofa pour me faire sauvagement l'amour. Et bien c'était dommage, car j'en avais drôlement envie ! J'étais jolie ? Mais ça je le savais ! Il ne m'apprenait rien le gamin ! Il tenta de me repousser à nouveau, me forçant à m'asseoir à côté de lui. Sauf qu'il ne me connaissait pas, et ne savait donc pas encore qu'on ne me dictait en aucun cas ma conduite. Je faisais ce que bon me semblait, quand je le souhaitais. J'étais une vraie capricieuse, et mon joujou pour la soirée allait vite le comprendre.
En un claquement de doigts, je m'éclipsai et retrouvai ma place initiale. Assise au-dessus de lui, je le dominait, ayant piquer au passage sa coupe de champagne. Il était des plus étonnés, et rien qu'à observer son regard et les traits de son visage à cet instant précis j'aurais pu prendre mon pied. « Chuuuuut... » -soufflai-je en posant mon index sur ses lèvres. Il faisait encore preuve d'assurance, ce qui annonçait un caractère bien trempé. Mmmh... Un homme, un vrai ! « Jouer ?! Mais je ne joue pas... -Je me rapprochais de son si doux visage et m'enivrais de ce parfum si viril. Oh il me faisait un de ces effets ! -Du moins je ne veux pas jouer toute seule... » Du bout de la langue je vins caresser ses lèvres, l'invitant alors à m'embrasser avec plus de conviction. La coupe vide de champagne termina sa course au sol, alors que mes mains venaient se poser avec conviction et assurance sur ce torse que je rêvais de goûter.
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté
......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Ven 7 Jan - 19:03
Cette femme est tarée à coup sur ! Ou peut être euh…une bonne nymphomane. Ce n’est pas elle qui m’effraie mais plutôt son comportement et son aisance à ce jouer de moi comme elle le souhaite. Ses réponses sont brèves et évasives, elle ne me montre qu’une chose : sa détermination à faire de moi son jouet. Bon peut être qu’elle à que ça en tête, après tout certaines personnes sont étranges. Je fronçais les sourcils lorsqu’elle me fit taire, son regard encré dans le mien elle faisait de moi son pantin. Puis son visage s’approcha doucement du miens, le serpent était en train de m’étouffer et de m’hypnotiser, son venin glissait sur mes lèvres. Je ne pouvais que de me délecter de la douceur et de la sensualité de ce geste, ma bouche s’entrouvrit naturellement pour accueillir un peu plus de ce venin dont elle me rendait accro. Nos langues et nos lèvres entrèrent dans une danse infernale, je perdais pied, comme étourdit par son attraction irrésistible, le verre qui venait de se briser au sol, fut la sonnette d’alarme qui déclencha mon animalité. Ma respiration s’accéléra tandis que je glissais mes doigts dans sa chevelure avec fougue. Puis elles vagabondaient sans gêne sur son corps jusqu'à glisser sous ses fesses pour la rapprocher encore plus de mon corps. Mon cœur était un brasier ardent que la jeune femme attisait sans mal. Comment avais je pu céder si facilement ? C’était impossible ! Etais je redevenu un simple humain prit au piège par le charme vampirique ? Mes mains glissaient sous son top pour se délecter de sa peau si douce, sans aucune imperfection, ce vampire semblait être la beauté, le charme et la perfection sans aucune fausse note, comment cela était il possible ? Mais tout à coup une voix m’extirpa de cette ivresse.
« Hey Henry… je vois que tu passes une bonne soirée ! J’te l’avais dis qu’on s’amusait avec nous ! Si tu veux on peut faire l’After au Blackstone ! J’ai réservé trois suites ! »
Je m’écartais du visage de la jeune femme et adressais au directeur commercial un hochement de tête et un sourire gêné. Il ajouta que nous partirions dans une heure. Ces mecs m’écoeuraient, ils n’assumaient même pas leurs actes, ils avaient attendu ce moment depuis le début de la soirée et voulaient s’isoler pour que personne ne voit le vice et le manque de respect qu’ils avaient pour eux même. C’est alors que je me rendis compte de l’influence qu’avait eu la jolie blonde sur moi, elle venait de me manipuler comme un pantin sans que j’en prenne conscience. Cela me mis dans une colère noire, comment pouvais je être plus faible que cella la ! Mis à part Aliénor jamais je n’avais rencontré de vampire plus âgé que moi et surtout beaucoup plus fort et influent. Qui était elle ? Le bleu de mes yeux se teinta d’une encre noire tandis que mes gencives me démangeaient laissant apparaître mes crocs. J’étais bien trop fier pour me laisser manipuler ainsi, pour avouer que j’étais plus faible qu’elle. Jamais je n’avais ressentit ce sentiment d’infériorité et cela m’agaçait au plus haut point. Je rapprochais mon visage du siens ma respiration sifflait de rage. Je lui murmurais.
-Tu te prends pour qui ? Qu’est ce que tu me fais la ? Tu veux pas te trouver un humain pour faire joujou ?
Je lisais sur son visage que la jeune femme n’avait pas du tout apprecié mes paroles et pourtant je ne pouvais m’empêcher de lui lancer un nouvel affront. En plaquant ma main sur son cou, mes doigts serraient son cou et tandis que j’ajoutais.
-Tu veux aller la bas ? Tu veux que je te b**se comme toute ces s***pes ?! C’est ça que tu veux hein ? T’as aucun respect pour toi-même sale trainée !
Je levais les yeux au ciel et secouait la tête de gauche à droite. Mon affront allait me porter préjudice et je ne tardais pas à comprendre que mon adversaire était bien plus fort que moi. J’aurais mieux fait de me laisser faire et de me taire, elle m’aurait surement foutu la paix après, mais sur ce coup la ma prétention allait causer à ma perte. Ses doigts serraient mon poignet alors je relâchais son cou étonné par sa puissance. C’est alors qu’un violent coup de jus explosa dans mon poignet, j’entendis mes os craquer violement, je serrais les dents pour étouffer un cri de douleur. Et sur son visage à elle, au démon, trônais un sourire sadique. Je plissais les yeux sous la douleur qu’elle m’infligeait. Pour la première fois de ma vie de vampire, je regrettais d’avoir voulu montrer ma puissance, je regrettais d’avoir usé de rebellion et de méchanceté, je regrettais d’avoir prononcé ces paroles ! D’une voix suppliante et déraillante sous l'assaut de la douleur je soupirais.
-Lâche moi…
Il m’était impossible de dégager mon poignet en miettes, la douleur était si forte et sa force semblait être cent fois supérieure à la mienne. J’avais peur, peur de ce qu’il se trouvait face à moi, comment pouvait-elle être aussi forte ? Qui se trouvait face à moi ? Le fait de ne pas connaître l’identité de cette femme me faisait frissonner car je ne savais pas la colère de qui je venais de provoquer, je ne savais pas à quoi m’attendre. Nous étions en publique je ne risquais pas grand-chose de plus mais je craignais la suite des évènements. Venais je de signer mon arrêt de mort ? cette créature était un monstre dans une enveloppe d'ange, bien pire que moi, je devais avouer que moi à côté d'elle j'étais...rien...juste une pauvre chose insignifiante.
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Sam 8 Jan - 1:27
Le baiser fut délicieux. Je réveillais doucement l'animal qui était en lui, le rendant plus sauvage et impulsif. Je taquinais ses sens du bout de ma langue, du bout de mes doigts, par le biais de mon parfum sucré et du bruit de mes vêtements qui se froissaient alors que je me rapprochais encore plus de lui, l'invitant à balader ses mains sur mon corps. Je me montrais sensuelle à souhait, diablement attirante. J'avais toujours eu un faible pour ce genre de jeux et si la proie se voulait plus difficile à saisir, je m'en amusais davantage. Je semblais être bien tombé, puisqu'il résistait et se faisait désirer. Peu à peu il finissait par baisser les armes et me rendait ce délicieux baiser, avec fougue et passion. Je sentais mon corps se détendre sous le plaisir que cet échange me procurait. J'en oubliais presque ma soif tant la température montait entre nos deux corps de vampire. J'étais toute excitée rien qu'à l'idée de connaître la suite. Ses mains si fermes posées sur ma peau à découvert, j'en frissonnais de plaisir. Un peu plus et j'aurais été capable d'imaginer qu'elle appartenait à mon jumeau. Mais non, ce soir j'avais envie d'un beau brun, et comme mon double n'était pas d'humeur à m'accorder un peu de temps, j'allais en profiter pleinement ! Imaginer la tête qu'il allait faire en apprenant que je m'étais envoyée en l'air avec un parfait inconnu me faisait doublement plaisir. Enfin si cet idiot voulait bien céder une bonne fois pour toute et arrêter de me stopper dans mon élan. Aidé par ces amis complètement demeurés et imbuvables -aussi bien au sens figuré que propre. Visiblement, il ne savait pas à qui il avait à faire le petit. Je le laissais d'en l'ignorance, savourant par avance le plaisir que j'aurais de le rabaisser plus bas que terre. Il allait creuser lui-même sa tombe !
Je ne manquai pas de remarquer l'ombre qui avait voilé son regard bleu, ainsi que ses canines. Il était encore plus sexy ainsi, en jouant à l'homme dangereux et en colère. Qu'il me donne la fessée, je n'attendais que ça ! Il alla cependant à mon encontre, me demandant ce que je fabriquais. Je ne faisais que prendre ce qui me faisait envie, comme j'en avais toujours eu l'habitude. Je ne voyais absolument pas ce qu'il y avait de mal à ça et je prenais donc un air angélique et innocent. « Moi ? Mais je ne fais rien de mal... Je ne fais que du bien ! -lançais-je en faisant claquer la fin de ma phrase sur le bout de ma langue. Il devait probablement avoir envie de me gifler à cet instant précis. S'il osait lever la main sur moi, je ne donnais pas cher de sa peau. Mais malheureusement, et je m'y étais attendu, il préféra jouer à monsieur muscles en tentant de me remettre à ma place. Pauvre petite chose bien naïve... Sa main s'était refermée autour de mon pauvre et si joli cou, alors qu'il me crachait au visage des horreurs. Il voulait vraiment me provoquer ? Jouer au malin ? Très bien ! J'allais lui rendre la monnaie de pièce ! « Pour commencer, tu vas baisser d'un ton avec moi ! » Ma main se posa sur son poignet, d'un mouvement sec et net pour qu'il me lâche. Moi, je fis tout l'inverse, resserrant mes doigts jusqu'à lui briser les os et le voir grimacer de douleur. Il avait mal et moi je le fixais avec un sourire démoniaque et sadique. Il me supplia de le relâcher et je fis non de la tête, tranquillement, comme il me l'avait fait depuis le début. « Toujours envie de m'étrangler ? » Je le défiais du regard, avant de le contraindre à se rapprocher pour déposer un baiser à la commissure de ses lèvres. Je le provoquais un peu plus, mêlant peut-être un brin de plaisir à cette horrible souffrance. Le repoussant contre le sofa du carré VIP, j'adressais un sourire à ses collègues, l'air de rien, et reportais toute mon attention sur ma nouvelle petite proie. « Tu apprendras de ta bêtise qu'on ne refuse rien à une femme... ».
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté
......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Sam 8 Jan - 2:31
Elle était tellement sur d’elle, son petit air narquois et innocent la rendait totalement méprisable, finalement j’étais tombé sur pire que moi ! Ses réponses évasives et sa manière de les formuler m’agaçait au plus au point ! C’est pour cela qu’immédiatement après avoir échappé à son emprise je ne pus m’empêcher de la salir par mes paroles et de tenter un cou de pression en serrant son cou. Chose que j’aurais du éviter, si je m’étais abstenu je n’aurais pas eu le poignet brisé. « Pour commencer, tu vas baisser d'un ton avec moi ! » dit-elle juste avant d’écraser mon poignet comme une vulgaire biscotte. Evidemment elle n’accepta pas mes supplications, elle n’en avait pas finit avec moi. Je la fixais avec mépris sans pour autant pouvoir camoufler ma grimace de douleur alors que celle-ci poursuivait « Toujours envie de m'étrangler ? » je plissais les yeux laissant échapper un soupire. La jolie blonde rapprochait son visage du miens, je n’avais qu’une envie lui arracher la langue avec mes dents, celle-ci déposa un baiser au coin de mes lèvres de manière provocatrice. Avant de me pousser violement au fond du sofa pour sourire à mes « collègues ». Je me retrouvais avachi dans l’angle du sofa avec une nympho violente sur les genoux et me demandais comment j’allais pouvoir me sortir de cette situation. La jeune femme au visage angélique me lança comme une leçon de morale : « Tu apprendras de ta bêtise qu'on ne refuse rien à une femme... ». Je crachais de l’air entre mes dents en sifflant avec mépris. Ouais ouais c’est ça une femme !
-une femme ? ou ça ? je ne vois qu’un tas de viande !
Je laissais échapper un petit rire amusé, on ne provoque pas Henry Fitzroy ! Elle m’avait eue par surprise mais sur ce coup la je jouais au plus malin. Enfin tant que l’on restait ici je n’étais pas en danger, mais d’ici peu je risquais bien plus. Je posais mon index sur ses lèvres et arcquait un sourcil.
-tut tut tut! Brises moi autre chose et je hurle si fort qu’un troupeau de garde du corps et de flics débarque pour t’enfermer! Ecoutes moi bien ma belle, je vais te donner ce que tu veux mais je ne veux plus jamais revoir ton petit cul de p*t*sse mal b**sée roder autour de moi ! C’est clair ?
Un sourire triomphant s’affichait sur mon visage devant l’air outré de la jeune femme, elle rageait intérieurement mais savais qu’ici elle ne pouvait pas me blesser plus que ça. Il y avait trop de monde, des caméras et j’étais bien trop connu pour que la surveillance ne soit pas renforcée. J’approchais mon visage du siens et fit glisser ma langue sur ses lèvres avant de murmurer.
-Boudes pas blondie… les rides ne te vont pas du tout !
Je posais ma main sur mon poignet et le fit tourner doucement en grimaçant. Je levais un regard provocateur vers la jeune femme pour ajouter.
-raawwr quelle poigne de fer tigresse. Si tu veux hurler de plaisir tu vas devoir patienter que je me trouve du sang frais à me coller sous la dent pour réparer ton erreur !
Je risquais de regretter mon attitude désinvolte et ma provocation, mais c’était plus fort que moi, il fallait que ce soi moi le méchant, moi le maitre du jeu, moi le meilleur moi le dominant. Stupidité de mâle dominant ! Stupidité qui allait surement causer ma perte un jour. Mais bon enervez moi et vexez moi et je deviens irritable à souhait. Il n’y à qu’a voir la tête de la blonde sur mes genoux pour savoir à quel point je suis un goujat ! Je levais la main faisant signe à mon collègue de s’approcher.
-Tu veux bien prendre soin de la demoiselle pendant que je vais aux toilettes ? Je ne veux pas qu’on l’ennuie, elle est si charmante !
Dis je en glissant ma main dans sa chevelure blonde et lui adressant un clin d’œil provocateur. Je me penchais à son cou et y déposais un baiser sensuel pour lui murmurer d’une voix inaudible pour les humains.
-J’ai soif et je ne partage pas désolé ma belle !
Je me levais et avançais lentement dans la salle, attrapant la main d’une petite brunette au passage. Je n’eus pas de mal à la faire m’accompagner aux toilettes. Je savais que je n’avais d’autre choix que consommer du sang frais pour réparer plus vite mon poignet. Une dizaine de minutes me semblait bien trop long à endurer cette douleur et une dizaine de minutes avec un poignet fracturé et une cinglée caractérielle n’étais pas à mon avantage. Je n’avais donc pas d’autre choix que de sacrifier cette jeune femme pour ma propre survie. La jeune femme ivre se laissait faire, je fis glisser ma langue sur son cou m’apprêtant à planter mes crocs dans sa chair si tendre mais la porte des toilettes claqua et je levais les yeux. Face à moi se trouvais la tarée, je penchais la tête sur le côté soupirant et claquant mon talon par terre. Je pris une voix d’ado qui faisait une crise.
-ROH NAN c’est pas possibleeuuu ! Toujours la pour gâcher la fête!
Je saisis le menton de la petite humaine et levais son regard vers le miens. Je lui murmurais.
-Pas ce soir mon chou ma copine est collante et jalouse désolée. Allez file !
Je fis tourner la petite humaine et lui attribuait une claque sur les fesses en espérant que la cinglée allait la laisser sortir de la pièce.
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Sam 8 Jan - 20:18
« Une femme ? Où ça ? Je ne vois qu’un tas de viande ! » Mais c'est qu'il commençait sérieusement à me chauffer. Il n'avait pas encore compris que du moment où il se retrouverait seul je pourrais lui arracher la tête comme je le désirais ; en un claquement de doigts si cela était possible. Quel crétin ! Il avait beau être canon, il n'avait visiblement pas la lumière à tous les étages. Les 3 brins de jugeotes qu'il avait peut-être encore en réserve étaient restés à la maison ce soir, ou bien s'étaient noyés dans sa coupe de champagne ! Je pensais pourtant avoir été claire. Lui briser le poignet ne suffisait donc pas ? Il fallait que ce petit arrogant, bien trop sûr de lui, ouvre encore sa petite bouche et n'en fasse qu'à sa tête ? Il me titillait et cela commençait à ne plus vraiment me faire rire. Au contraire, il en arrivait à m'agacer comme personne, me donnant davantage l'envie de lui régler son compte plutôt que de l'entrainer dans un lit. Mais comme ce soir je n'étais pas sortie pour ça, il avait de la chance. « Mais serais-tu entrain de me faire du chantage ? C'est très vilain... Il y a une éducation à refaire à ce que je vois. Ta maman ne t'a pas appris qu'on ne répondait pas ? »-lançais-je en écartant sa main de devant mon visage, pour ensuite poursuivre sur le reste de sa réplique, dont les termes me dérangeait beaucoup. « Emploie un autre vocabulaire, car la p*t*sse mal b**sée va devenir un tantinet irritable. » Mon regard en disait bien plus que mes mots. S'il continuait comme ça, il allait le regretter. Une vulgaire pression sur son poignet broyé allait peut-être suffire à calmer ses ardeurs de petit rebelle du dimanche ! De quoi lui faire ravaler son horrible sourire. De quoi était-il ainsi fier ? De sa connerie ? Il rapprocha son visage, toujours avec cette pointe de provocation. Ma petite torture ne lui suffisait. Je commençais à me demander si je n'étais pas tombée sur un masochiste de première catégorie. Sa langue glissa sur mes lèvres, me rendant encore plus folle. Comment voulait-il obtenir la paix s'il m'excitait de cette manière ? Il se dégagea de mon emprise, prétextant avoir besoin d'un collation bien fraiche pour réparer ma bêtise. Soit, qu'il le fasse. Il allait avoir besoin de ses deux mains. Je n'aimais pas avoir des jouets cassés, qu'elle douce attention de sa part !
« Les surnoms, tu oublies ! » -lançais-je en laissant tout de même s'en aller. A présent seule, trop seule d'ailleurs, sur ce sofa, je m'ennuyais. Quand on a comme moi une éternité derrière soit, et tout autant pour l'avenir, l'ennui arrivait très vite ! Autour de moi, on s'amusait bien visiblement, ce qui me frustrait davantage. J'étais une petite capricieuse qui ne supportait pas l'attente. Si je n'avais pas tout de suite ce que je désirais, je partais en vrille. Et puis il m'avait collé un de ces boulets en partant ! J'avais une raison de plus de vouloir sa peau. Cet homme était d'un ennui mortel. Une chance pour moi j'étais déjà morte ! Mais quel ringard. « Bah alors ma jolie... Fitzroy t'as abandonné ? » Tiens, ce nom me disait quelque chose... Cherchant rapidement dans ma mémoire, je ne mis que quelques secondes pour me souvenir de la première page de magazine où j'avais vu ce joli minois. J'aurais dû m'en douter vu le caractère de m*rde... Hochant la tête, j'acquiesçai. Et lui, cette brute puant l'alcool, tenta de me consoler en passant son bras sur mes épaules. Je m'en dégageais, sans un mot. « T'avais pas l'air farouche quand ta langue était dans la bouche d'Henry ! » Je le regardais, fronçant les sourcils. « Allez ma belle... » Il tenta à nouveau, se montrant plus ferme. Ni une, ni deux, je lui tordis le bras pour qu'il me lâche. Il me regarda avec des grands yeux, surpris et apeuré par ma force. « Je ne mets pas ma langue dans la bouche de n'importe qui... » Mensonge ? Non, puisque je savais désormais que ma proie était une rock star. D'ailleurs, il en mettait du temps... Il fallait que je retrouve cet idiot.
J'allais directement jusqu'aux toilettes, lieu qu'il avait indiqué avant de partir. Je fis claquer la porte, bien évidemment et fut contente de le trouver là, en charmante compagnie. Sympa le casse-croûte, bien qu'habillée comme une trainée. Je le fixais, alors qu'il râlait comme un gosse, finissant par indiquer à son encas qu'il allait se passer de ses services ce soir. Sauf que je n'étais pas de cet avis. Faisant un pas sur le côté, je ne pu que barrer le passage à cette fille, avant de lui ordonner de rester ici, sans bouger, qu'importe ce que pouvait lui dire l'autre demeuré. Passant derrière elle, relevant ses cheveux pour ainsi dégager son cou, je finis par poser mes mains sur ses hanches et la pousser jusqu'à Henry. Puis, une fois à sa hauteur, ma main glissa dans sa chevelure brune, pour lui faire pencher la tête sur le côté. Fixant Fitzroy, j'ordonnai, d'une voix glaciale : « Croque... Maintenant ! ...Sinon je lui casse toutes les phalanges... Une par une... » Ma voix traduisait ma détermination. Non, je ne jouerais pas avec un mec cassé, c'est compris ?!
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté
......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Sam 8 Jan - 21:28
J’avais eu une once de générosité en laissant la jeune fille filer, non pas que je sois sensible et attentionné mais avec l’autre barge de retour qui sais ce qu’elle lui aurait fait ! La blondinette s’empara de la pauvre humaine apeurée et l’amena à moi, elle découvrit son cou et me tendit mon diner. En m’ordonnant d’une voix glaciale. « Croque... Maintenant ! ...Sinon je lui casse toutes les phalanges... Une par une... » J’écarquillais les yeux trouvant son acte un peu étrange, pourquoi voulait elle être gentille tout à coup ? Je gagnais alors en assurance, je levais mon indexe en l’air et dis d’une voix amusée.
-Si je peux me permettre une suggestion, il faudr….
Un craquement retentit et mon regard se posais sur le visage de la jeune fille, la femme blonde venais de mettre sa main devant sa bouche pour étouffer son cri de douleur. La pauvre petite humaine me regardait d’un air suppliant avec des yeux larmoyants. Ma bouche plissé se tordit sur le côté faisant afficher une faussette et une légère grimace. Je serrais les poings et croisais les bras en trépignant comme un gamin. D’une voix enfantine je lançais.
-OH NOOON ! On ne joue pas avec la nourriture c’est pas vrai ça!
Je haussais les sourcils penchant la tête sur le côté et gratifiait la jolie blonde d’un large sourire hypocrite. J’attrapais le poignet de la jeune humaine en la regardant droit dans les yeux.
-chuuut….hmmm tu sens bon tu sais ça ?
Un autre craquement retentit, la blondinette avait l’air de s’impatienter et de ne pas apprécier mon petit jeu. Elle était vraiment pas drôle celle la. Je repris ma voix innocente pour lui parler de nouveau.
-rooh mais tu veux bien te calmer ? Tu me refroidis.
Je laissais échapper un rire amusé et mon visage se déforma, mes crocs se plantaient dans sa chair si tendre et le liquide chaud se mit à faire danser mes papilles. Je laissais échapper des soupirs de plaisirs alors que le liquide emplissait ma gorge. C’est alors que j’entendis la respiration de la jolie blonde s’accélérer. J’ouvris les yeux et levais le regard vers la vampire ses yeux semblaient scintiller sa bouche à demi ouvert exprimait l’extase. Mais…qu’est ce que…elle à un grain celle la ! J’arrachais ma bouche du poignet de la jeune humaine et fixais la vampirette avec interrogation. Mes sourcils se fronçaient et j’affichais un air ébahi, avant de secouer la tête de gauche à droite en soupirant. Qu’est ce qui tourne pas rond chez elle ? Mais je n’eus pas le temps de savourer ce que j’avais ingéré son attitude étrange m’avais coupé l’appétit et par la même occasion gâché mon plaisir. La blondinette fit tourner la tête de la petite humaine d’un mouvement sec, elle venait de lui briser la nuque. Bien ! On fait quoi maintenant ?
-Simple et efficace...mais tu oublies mes empreintes !
Lançais je à la blondinette qui s’approchais de moi avec un regard tout aussi exitant qu’effrayant, si elle avait pu me dévorer elle l’aurait fait. Je reculais d’un pas et agitais ma main, mon poignet était à présent réparé. J’attrapais la main de la petite brune et d’un coup de dent arrachais de la peau afin de camoufler mes empreintes, je fis glisser sa main sur le mur pour y mettre du sang. Tandis que la blonde cogna la tête du cadavre sur le lavabo avant de le lâcher vulgairement sur le sol, tout en continuant de me regarder avec ce regard intense. Elle m’en collait des frissons ! J’avalais difficilement ma salive et affichais un sourire gêné. J’étais nerveux, je continuais de reculer vers le fond de la pièce tandis que la jeune femme avançais doucement vers moi en souriant.
-voila..voila…c’est bien sympathique mais maintenant on ferait mieux de dé…
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que je me retrouvais plaqué au mur, la bouche de la blondinette violant l’entrée de la mienne, ses jambes enroulées autour de ma taille et ses doigts se mêlant à mes cheveux. Je manquais d’air, je perdais pied sous l’assaut de ces baisers brulants, comme si il m’était impossible de résister, c’était bien pire encore. Cette femme me rendait dingue, comme si elle m’avait empoisonné et hypnotisé avec je ne sais quelle elixir. Une de mes mains glissa sur sa nuque pour agripper ses cheveux, l’autre glissais sous son tee shirt. D’un mouvement vif nous nous retrouvâmes sur le sol, moi à califourchon sur elle dévorant son cou et glissant mes mains sous son tee shirt. Finalement elle n’était pas si forte que ça ! Enfin si je savais….J’étais redevenu un animal, elle semblait s’en amuser. Un petit rire m’interpella, quoi ? Elle se moquait de moi ? Je m’arrêtais brusquement et la fixais avec interrogation, en un instant je me retrouvais sur le dos les mains prisonnières avec la blondinette sur moi. J’entrouvris la bouche et murmurais.
-hmm..pas mal..
Je me mordais la lèvre inférieure, avais je perdu la raison? Il y avait un cadavre à côté de nous, on pouvait nous surprendre à tout moment et moi j’étais la complètement dingue de cette cinglé, accro qui en redemandais encore et encore. Oui je crois que j’avais bel et bien perdu la raison.
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Ven 14 Jan - 20:50
Je n'avais pas la moindre envie de négocier, encore moins d'attendre. Ses suggestions, il pouvait se les garder, je m'en fichais royalement ! Depuis des siècles et des siècles les choses avaient toujours tourner comme je l'entendais et je me foutais bien de savoir si un petit vampire de son gabarit approuvait ou non mes manières. Il allait réparer ce foutu poignet et j'allais obtenir ce que je voulais. Ni plus, ni moins. Pour cela il fallait qu'il mange, et vite ! Il avait beau vouloir retarder l'instant fatidique où ses crocs allaient se planter dans la chaire tendre de cette fille, je m'en fichais et je le faisais savoir en lui craquant deux phalanges. Ça n'était qu'un aperçu, un avant goût... Et elle semblait avoir bien mal. Alors... Tic... Tac... Tic... Tac... Ce qu'il était lent ! Et il trouvait le moyen de faire de vieux jeux de mots face à cette pauvre petite qui souffrait et n'attendait qu'une chose, qu'il daigne la croquer ! Elle sentait bon, super, j'en étais ravie ! Certes il était important de savoir si elle se lavait -question d'hygiène-, si elle était encore comestible et si le repas serait bon, mais m*rde, moi aussi j'avais les crocs ! J'étais en manque et il me faisait perdre patience. Peut-être qu'il ne jouait pas avec la nourriture mais on ne se jouait pas de moi ! Il m'agaçait autant qu'il m'attirait ! « C'est toi qui me refroidis... » -lançais-je avec plein de sous-entendus, loin de passer inaperçus. Il céda, mordant dans le poignet de la demoiselle, à mon plus grand plaisir et soulagement.
Assister à de pareilles scènes me mettait toujours dans un drôle d'état. Il n'y avait rien de plus excitant que du sang pour un vampire et le voir s'en abreuver commençait à titiller mon instinct animal. Je me réveillais et ne pouvais pas m'empêcher de me laisser aller, portée par mon excitation et ma soif. Entre ouvrant légèrement la bouche, mes crocs me chatouillaient. Ma respiration était un brin plus rapide que la normale. J'avais envie de lui, et voir cette couleur carmin teinter ses lèvres avait eu raison du peu de bon sens qu'il me restant après ces milliers d'années de vie... Je me retenais pour ne pas envoyer la jeune femme un peu plus loin et me jeter sur lui. Il sembla remarqué mon changement d'attitude, et me lança un regard. Mauvais idée, il ne faisait qu'attiser mes envies. Il se détacha d'elle et sentant l'humaine tourner de l'oeil, je ne perdis pas de temps pour lui briser la nuque. Ses empreintes ? Il était demeuré ou il le faisait exprès ? Je le fixais, me rapprochant doucement et je compris alors qu'il était simplement long à la détente en le voyant effacer les traces de son passage. Étaler ce sang sous mes yeux me rendait dingue. Mais il me fallait finir le travail, et c'est en cognant la tête du cadavre contre les lavabos que je pu m'en débarrasser. J'allais avoir tout le loisir de me délecter de ses lèvres désormais. Je le dévorais littéralement des yeux. On aurait pu me demander n'importe quoi je n'aurais rien répondu. Je n'y aurais même pas fait attention tant j'étais concentrée sur ma nouvelle proie.
Henry reprit la parole, me faisant lever les yeux au ciel. Mais jamais il ne se taisait celui-là ? C'était incroyable ! Il n'était pas capable d'agir en tant que pur mâle, qui assouvit ses besoins avant tout le reste ?! Je n'en demandais pas beaucoup ! La causette, je la réservais à des gens un peu moins bornés et plus intéressant que son personnage de rock star à l'égo sur-dimensionné. Fonçant droit sur lui, je vins plaquer mes lèvres contre sa bouche, l'obligeant à se taire. Ma langue caressa ses lèvres au goût de sang frais, alors que je l'invitais à partager un baiser passionné. Et chez moi, une invitation ne se refuse pas ! J'avais enroulé mes jambes autour de sa taille, emprisonnant son bassin entre mes fines cuisses. Je sentis ses mains sur ma nuque, se faufilant de même sous mon t-shirt. Je le poussait à se montrer plus franc, plus brutal, afin de le rendre plus bestial. J'avais besoin de cette puissance pour être totalement satisfaite. A force de provocations, il finit par s'emporter, me faisant tomber au sol. Je me laissais faire, appréciant la pression de ses mains sur ma peau, de sa bouche sur mon cou. Je ne pu qu'en rire, m'amusant de l'état dans lequel je le mettais. J'arrivais toujours à mes fins et j'en jubilais. Il se stoppa, sans doute interloqué par ma réaction, ce qui me laissa alors le temps pour un renversement de situation, au sens propre comme au figuré. Je le fis basculer et me retrouvai à califourchon sur lui. Cela semblait lui plaire et j'en étais ravie. Lui maintenant les mains, je revins à l'assaut de ses lèvres, libérant alors tous mes désirs refoulés, la frustration que j'avais accumulé ces derniers jours. Mais ayant conscience que le lieu n'était pas des plus appropriés et jugeant que je méritais bien mieux que ça (un peu de classe voyons !) je me penchais, pressant ma poitrine contre son torse, et lui murmurai à l'oreille : « Me payer une chambre d'hôtel ne fera pas de trou au porte-feuille d'un type comme toi... »
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté
......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Ven 14 Jan - 22:00
Un vertige inexplicable prenait possession de mon corps tout entier, la jolie blonde à califourchon sur moi me faisait perdre tout contrôle. Tout le travail sur moi-même durant un siècle, pour contrôler mes pulsions meurtrières, pour contrôler cet instinct dévastateur qui rêgnait en chaque membre de mon espèce venait d’être anéanti. La créature me tenais comme une marionnette et elle jouissait de chaque ficelle qu’elle tirait. Elle finit par lâcher mes lèvres pour me dire. « Me payer une chambre d'hôtel ne fera pas de trou au porte-feuille d'un type comme toi... » Je fronçais les sourcils et la repoussais violemment pour me retrouver à nouveau en position dominatrice, je faisais claquer violemment sa tête sur le sol avec un sourire sadique, mes doigts effectuaient des pressions violentes et sensuelles sur son corps si doux alors que mes dents vinrent agripper sa lèvre inférieure. Après un soupire de plaisir, animal, je me décidais à lui répondre.
-Viens..
Je me relevais d’un bon saisissant son poignet au passage, un sourire en coin dessiné sur mon visage lorsqu’elle se retrouva face à moi sur ses deux jambes. Je glissais une main dans son dos pour lui indiquer le chemin de la sortie. Je lui emboutais le pas mais au moment ou elle posa sa main sur la poignée de la porte pour l’ouvrir je me collais à elle, elle continua de m’ignorer en ouvrant la porte, je passais mon bras sous le siens et fermais violement la porte, mon autre main elle venait d’agriper ses cheveux, son front cogna violement la porte, d’une pression légère je collais mon corps au sien en soupirant de plaisir. Je glissais ma langue dans son cou pour lui murmurer.
-Tu veux pas une limousine non plus ?
Un petit rire amusé s’échappa de mes lèvres à demi ouvertes pendant que je glissais mon bras autour de son cou. Je ramenais sa tête en arrière, pour la poser sur mon torse. Tandis que mon autre main glissait sous son tee shirt pour caresser son ventre.
-T’as de la chance ma belle, tu commences tout juste à m’exciter… alors soit sage, déconnes pas si tu veux que je te donne ce dont tu as tant besoin !
Elle fit volte face et me jeta un air amusé et innocent. Je haussais les sourcils et penchais la tête sur le côté, d’un coup de pied j’ouvris la porte des toilettes. Je tendais la main lui indiquant la voie à suivre. Nous traversâmes le carré VIP dans le but de sortir au plus vite de cette discothèque, pas question de se faire choper pour meurtre ! Sauf qu’Alexander m’interpella, je l’avais oublié celui la ! Il fut surpris et sursauta lorsqu’il vit mes yeux teintés d’encre noire. Je lui adressais un petit sourire rassurant et après une profonde inspiration mes prunelles retrouvaient la couleur de l’océan indien. « t’étais ou ? on à un contrat à signer Henry ! mais d’abord…la limousine arrive et tu viens avec nous ! » Je lui adressais un sourire forcé, je jouais bien la comédie, avec des mecs dans son genre je n’avais pas vraiment le choix ! Je saisis la jolie blonde par la taille en regardant Alexander.
-Evidemment ! C’est avec plaisir, n’est ce pas mademoiselle?
Je tournais les yeux vers la jeune femme et ricanant. La limousine ne tarda pas à arriver et nous sortâmes par la porte de derrière afin d’éviter tout photographes ou mouvements de foule. Une fois dans la limousine inutile de préciser que le champagne coulait à flot. La jeune femme semblait las et ne pouvait pas se tenir, elle grimpa sur mes genoux baladant ses mains de manière peu catholiques sur mon corps tandis que je tentais une discussion avec mes futurs partenaires. Sous leurs regards amusés je tentais de calmer la bête féroce qui s’agitait sur mes genoux. Il manquerait plus que deux vampires assoiffés de sexe et de sang se laissent aller, cette limousine serait réduite en champs de bataille. Nous arrivâmes à destination, dans le plus grand et le plus luxueux hôtel de la ville. C’est ici que nos chemins se séparaient, chaque homme avait besoin d’assouvir ses propres vices et la signature de contrat passait en seconde position. Après un dernier verre au bar de l’hôtel chacun regagnait sa chambre, enfin sa suite je devrais dire. La blondinette et moi entrâmes dans notre suite et je n’eus pas le temps de dire ouf que je me retrouvais violement plaqué au mur. Je laissais échapper un petit rire.
-Quel romantisme…
Ses lèvres se collerent aux miennes tandis que ses mains arrachèrent mon tee shirt d’un geste brusque. Je la repoussais mais celle-ci n’était plus tellement d’humeur à plaisanter ni à se laisser faire. La furie assoiffée me jeta sur le sol comme un vulgaire déchet. Un grognement sourd s’échappa de ma poitrine.
-Espèce de petite pu…
Je n’eut pas le temps de finir ma phrase que son talon était pose sur mon poignet , elle effectua une légère pression en guise d’avertissement avant de me lancer un petit bruit satisfait et provocateur destiné à me narguer. Comme une enfant faisant un caprice. Un sourire se dessina sur mon visage et ma voix se radoucit, elle se fit rauque et sensuelle.
-Bien, essaie d’être un peu plus hmmm…
Un petit rire s’échappa de mes lèvres à demi ouvertes, mais elle ne perdit pas de temps pour effacer cet air narquois de mon visage. Car…
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Dim 16 Jan - 18:00
S'il pensait qu'il allait se débarrasser de moi en me prenant rapidement et violemment sur un carrelage dégueulasse, à côté des restes de son repas, dans ce nuage odorant nauséabond, il se mettait un doigt dans l'œil ! Je méritais bien mieux et son compte en banque ne devait pas manqué de fric pour me payer une suite des plus luxueuses ! Je tenais à mon petit confort, et j'étais d'humeur très coquine. De ce fait, un lit nous était absolument nécessaire. Un service de qualité devait être de mise, au cas où l'envie d'en faire mon quatre heure se faisait sentir. Les humains fantasment en dégustant de la chantilly sur leur compagnon, manque de bol ça ne faisait pas partie de mon régime alimentaire. Je demandais donc cette fameuse chambre, éveillant visiblement chez lui de drôle d'envies. Il se retourna brusquement, me dominant de toute sa carrure. Il me violentait, se montrait sec et franc, jusqu'à me cogner. Heureusement que j'étais loin d'être une poupée en sucre ! J'esquissai un sourire prédateur et provoquant, alors qu'il me relevait et m'entrainait avec lui jusqu'à la sortie. J'avais hâte de pouvoir profiter de son corps ! M'invitant à quitter cet endroit crasseux, il ne manqua pas de me plaquer contre la porte, faisant à nouveau cogner ma tête. Mmmh que j'aimais ça ! Sentir sa langue sur ma peau, et son corps se presser contre le miens. Un vrai plaisir ! A sa question, je laissai échapper un léger rire cristallin. « C'est si gentiment proposé, comment refuser ?! » Il se mis à rire à son tour, ramenant ma tête en arrière pour me glisser quelques mots à l'oreille. Sa main baladeuse me faisait frémir. Il pensait contrôler la situation, avoir le dessus sur moi, et il n'en était que plus excitant. C'était une véritable marionnette. Je me jouais de ses sens, et je me délectais de cette petite comédie. Il me pensait soumise et à sa botte, lui, le mâle. S'il avait eu conscience de la réalité, sa petite mine défaite m'aurait sans le moindre doute beaucoup amusé !
Il me fit sortir, m'entrainant avec lui, et je croisais les doigts pour que ces crétins qui l'accompagnaient ne remarque pas notre absence. Une fois de plus, ce fut loupé pour moi, puisque l'un d'eux nous interpella. Et merde ! J'aurais dû le buter cet idiot ! Ils avaient un soit disant contrat à signer. Mais qu'est-ce que je pouvais m'en foutre de ça ! Je lançai un regard presque haineux à Henry et finit par esquisser un sourire hypocrite et forcé à ce pathétique petit humain. Henry semblait ravi, et moi tout ce que je récoltais, c'était une énorme frustration. Si bien qu'une fois installés dans la limousine, je ne pu me retenir plus longtemps. Passant au-dessus d'Henry, je laissais comprendre à tous les passagers que mes envies passaient avant tout le reste. Mes mains se baladaient sur son corps, profitant de son torse musclé sans oublié d'effleurer son entre jambe. Il s'amusait avec mes nerfs ? J'allais le rendre fou ! Il n'allait pas pouvoir se concentrer sur le tissu de conneries que ses futurs associés lui servaient. J'allais même jusqu'à lui mordre le lobe de l'oreille, lui susurrant à l'oreille que je ne tenais plus. Il tenta de me calmer, en vain. Au bar de l'hôtel, ce fut la même comédie. Mes mains se promenaient sur lui, sous le regard amusé de ces obsédés. « Mais c'est que tu t'es dégoté une vraie coquine... - Tellement coquine messieurs, que je vous l'enlève sans plus attendre ! » -lançai en embarquant de force notre cher petit Henry.
La chambre fut à la hauteur de mes espérances. Quoique, ai-je réellement pris le temps de l'observer ? Je ne crois pas. A peine arrivés que je plaquai déjà le vampire contre le mur, violant presque l'entrée de sa bouche tant je me voulais impulsive et fougueuse. Il tentait de reprendre le dessus, mais jusqu'à présent cela ne m'avait rien apporté de lui laisser le contrôle. Pire, cela m'avait presque ennuyer parce qu'il en avait profité pour me faire attendre. Le jetant au sol, je le stoppai dans son élan avant qu'il n'ait eu le temps de m'insulter. Mon talon au-dessus de son poignet eut raison de lui, lui remettant les idées en place. Je le dominais, et j'adorais ça. « Un peu plus...? » Ni une, ni deux, je le relevai et l'envoyai en direction du lit. Là, maintenant, tout de suite, j'avais faim ! Et on ne faisait pas attendre davantage la demoiselle que j'étais. Se coltiner ses collègues des plus barbants m'avait suffit, j'en avais marre. Se penchant en avant sur le lit, je m'y avançai à quatre pattes, féline à souhait. Mon jeans marquait ma taille, mon t-shirt glissait sur ma peau, et mon décolleté se voulait plongeant. Je le dévorais des yeux, jusqu'à finalement me laisser tomber sur le côté, prenant appuis sur un coussin. Je le fixais, sans un mot, attendant qu'il cède tout seul à la tentation de venir poser ses mains sur moi. Il ne perdit pas de temps pour s'exécuter, me satisfaisant sans même le savoir. Sans prévenir, ma main encercla sa gorge et je le forçai à s'allonger. J'y étais peut-être allé un peu fort, je l'étranglais légèrement. Mais je m'en fichais, ma tête se souvenait encore du carrelage de ce night-club pourri ! Je me m'y à califourchon sur lui, relâchant alors la pression, lui donnant un peu d'air. Puis ma main glissa sur son torse, que j'avais préalablement dévêtit, jusqu'à se stopper sur la boucle de sa ceinture. « Le petit soldat à intérêt à être en forme... » -murmurais-je contre ses lèvres, les titillant du bout de ma langue.
Henry Fitzroy
Admin † Déjanté
......................... MESSAGES : 1100 AVATAR : Ian Somerhalder COPYRIGHT : (c) SO = moi ENVIE(S) : Chasser mes tourments, noyez mes angoisses, appaiser ces douleurs. GOUTTES DE SANG : 929
More & More ÂGE: 5 siècles mon ami! *RP & PERSO'*FAN DE: : TAUX DE CRIMINALITÉ: (65/100)
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Dim 16 Jan - 19:18
I hate everything about you…Why do I love you?
You hate everything about me…Why do you love me?
Il fallu peu de temps à la poupée blonde pour m’envoyer valdinguer sur le lit, avec une allure féline la demoiselle semblait glisser sur les draps me dévorant des yeux. Un sourire se dessinais sur mon visage, je n’avais plus qu’a lui donner ce qu’elle souhait pour avoir enfin la paix ! Mais quand je m’approchais de celle-ci, la petite garde encercla mon cou avec ses doigts et m’allongea sur le dos en forçant l’air à ne plus entrer dans ma gorge. J’écarquillais les yeux surpris par sa réaction, mais son regard mêlé de haine et de désir fit monter en moi une pulsion violente, sanguine mêlée à du désir. Etrange n’est ce pas ? Je n’avais pourtant jamais eu de tendances sado mazochistes… Etais ce l’instinct meurtrier du chasseur qui s’allait aux pulsions sexuelles et animales de l’homme ? De l’encre noir s’écoulait dans mes prunelles bleu azur, un mélange de gris irisé et de noir profond couvrait mon regard. Les veines cernaient mes yeux d’une couleur violacée et ma lèvre supérieure n’était pas suffisement épaisse pour camoufler mes canines nacrées et luisantes. Un sifflement animal qui s’approchais du félin qui crache devant son ennemi retentit, suivit d’un grognement rauque qui roulait tel un orage dans ma poitrine. Je mourais d’envie de déchirer chaque parcelle de sa peau, après lui avoir arraché les membres un à un mais pourvu qu’elle hurle mon nom sous les assauts du désir ! Malsain ? Oui je dois le reconnaître mais mon cerveau était partiellement éteint, il ne faisait que diriger l’animal sans réfléchir. Elle s’installa à califourchon sur moi, j’entrouvrais la bouche chargée d’air saturé, tandis qu’elle faisait habillement glisser ses doigts sur mon torse, un vertige me reprenait lorsque la jeune femme approcha son visage du miens, son regard intense, son odeur enivrante et son habileté à faire de moi son esclave en un baiser. Elle me rendait dingue, de par la rage qu’elle faisait monter en moi, de par l’envie qu’elle me créeait, de par sa domination et faire de moi son pantin. Elle me murmurait d’une voix basse et hypnotique « Le petit soldat à intérêt à être en forme... » tout en glissant sa langue sur mes lèvres et ma langue. S’en était bien trop pour moi, pauvre petite chose sans défense, pauvre petit animal incapable de maitriser ses pulsions. Mes doigts agripèrent ses hanches tandis que je me laissais entrainer dans un baiser envoutant. Je n’avais plus aucun contrôle sur mes gestes, mais mains vagabondaient sur sa peau lisse et fraiche avant d’ôter ce morceau de tissu qui me gênait tant. Un sourire envieux et sadique ornais mon visage, blondie avait face à elle le monstre Henry qui n’était pas ressorti depuis plus de deux siècles. Mes mains glissèrent sur son ventre nu et jusqu'à sa poitrine, faisant se redresser la jeune femme, jusqu'à ce que l’un d’elle prenne place sur sa nuque avant d’empoigner sa chevelure longue. Afin de ramener son visage contre le mien, je collais mes lèvres aux siennes tandis que nos corps ondulaient d’envie.
-Mets y un peu du tiens barbie…
Après un léger râle de plaisir mêlé à un grognement animal je m’emparais de sa lèvres inférieure avec mes dents, un filet de sang s’échappait de ce fruit délicieux. Ma langue glissait sur le liquide carmin juste avant que la blessure ne se referme. Je ne pris même pas conscience de la vitesse à laquelle la blessure c’était refermée. Ma bouche glissa dans son cou et après une profonde inspiration et une soif de violence provocatrice je plantais mes crocs a à travers sa chair dure et froide avant d’aspirer le peu de sang que je pouvais. D’un mouvement brusque je lui plaquait le dos contre le lit et reprit une position dominatrice, ma langue glissait de son cou à son ventre et lorsque j’arrivais à la barrière que formais son jean je détachais avec mes doigts les boutons pour le faire glisser le long de ses jambes avec fluidité. Je remontais son corps sous un assaut de baisers brulants et douces morsures. Une fois arrivé devant son visage je plaquais mon corps tout entier sur la tigresse. Mes lèvres se scellèrent aux siennes dans un ultime baiser animal.
-C’est presque bien blondie.
Murmurais je entre deux baisers. Mes doigts se mêlaient à sa chevelure aux reflets or. Puis je glissais mes doigts le long de ses bras pour saisir ses mains et enlacer mes doigts aux siens afin de m’agiter sensuellement sur son corps. La demoiselle entrait dans la danse sans se faire prier. Alors que je tentais de gouter une nouvelle fois à son sang froid et enivrant elle renversa la situation. Me plaqua contre le lit avec fougue et violence. Une fois immobilisé elle m’ôta mon pantalon à une vitesse impressionnante. J’avais l’impression d’être au ralentit face à sa vitesse extra ordinaire et sa fluidité. Comme si l’animal était un simple humain sous les assauts de son prédateur madame la vampire. Le henry de ce derniers siècle avait il signé son arrêt de mort ? Ou était il parti ? Comment était ce possible que la demoiselle puisse en si peu de temps me faire oublier toute ma douceur, tout mes tourments ravageant mon cœur et toute la raison qui m’avait poussé à travailler sur le fait de devenir un vampire inoffensif ? De quelle magie avit elle usé pour me rendre à l’état animal, l’état qui avait fait fuir ma belle Aliénor, l’était qui dégouterais n’importe quel personne ? Elle semblait fière et se complaire dans le vice sous toutes ses formes, le diable avait réussit à faire de moi son petit démon sans scrupules. Elle se jouait de moi et je le savais parfaitement, alors pourquoi en redemander ? Pourquoi hair cette femme et être aussi attiré par elle ?
Je basculais la tête en arrière lorsque sa langue vagabondait sur mon corps sans défense. Mon corps qui hurlait au sien de s’unir au miens, mon corps qui était partagé entre cette violence de dégout, l’envie meurtière de la repousser et de la tuer face à l’envie folle de la garder pour moi et de faire d’elle mon jouet. Dominant dominé, haine attraction, dégout envie à ce jeu j’avais déjà perdu il à bien longtemps. Mon âme mon corps ma raison n’étaient que de lointains souvenirs lorsque je m’abandonnais à cette femme. Le petit soldat (comme elle l’apellait) était au garde à vous et semblait satisfait du travail de ses lèvres et de sa langue habilles. Ma bouche entrouverte ne faisait que d’exprimer le bien qu’elle me provoquait. Plus rien désormais ne pouvais me ramener sur terre. Bienvenue en enfer !
Invité
Invité .........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv) Mer 26 Jan - 19:42
Je me jouais de ses sens, je prenais plaisir à m'amuser ainsi avec lui, comme s'il n'avait été qu'un vulgaire pantin. Il avait encore des sentiments et des émotions, ce qui rendant cela encore plus divertissant. Je les lui ôtais, pour le rendre plus bestial et insatiable. Ainsi, je savais que je l'aurais pour la nuit entière. Au moins ! Ce corps à la musculature parfaite me donnait envie de faire d'interminables folies. Encore une fois, je lui rappelais que j'avais les rennes de notre soirée en mains, et qu'il ne fallait pas qu'il s'emballe et tente d'inverser les rôles. Hors de question, sans quoi je lui arrachais la tête. Pour le moment j'étais plutôt sympa, je me contentais de le priver d'air en maintenant fermement son petit cou. Dommage qu'il est eu un cœur éteint, car sentir les battements de ce dernier sous mes doigts auraient eu rapidement raison de moi, m'excitant au plus haut point. Je le sentais se tendre sous mon emprise, comme si sa patience et son calme s'inhibaient peu à peu pour laisser place à un véritable animal. Son regard profond et foncé me rendait folle, me rappelant certains de mes anciens amants vampiriques, avec qui je m'étais incroyablement amusée, prenant mon pied comme jamais ! Je n'en attendais pas moins de lui. J'avais soif de plaisir et de luxure, moi qui m'étais sans doute montrée trop sage depuis mon arrivée à Chicago. Je n'étais pas encore arrivée à mettre la main sur un type dans son genre. Je tombais que sur des demeurés, jeunes et naïfs, qui finissaient la plupart du temps en miettes. Des jouets en plastiques, de mauvaises qualités... Made in China, quoi ! Henry me plaisait davantage, et il répondait avec assurance et violence à mes assauts. Me penchant vers lui, je lui faisais part de mes espoirs, qui ne seraient en aucun cas vains, je m'en faisais la promesse ! Son petit soldat, comme je l'appelais de façon très imaginée, allait partir en guerre quoiqu'il en soit ! Après tout, je donnais les directives, il n'avait qu'à exécuté... Au pire, j'avais de quoi l'y aider !
Ses mains agrippèrent mes hanches avec force, me décrochant un sourire en coin, carnassier ; digne d'un prédateur prêt à se jeter sur sa proie. Il venait de me retirer mon t-shirt, et m'offrait alors le contact de ses mains sur ma peau si douce. Je les laissais aller et venir, appréciant le spectacle qui s'offrait à moi ! Un mâle dans toute sa splendeur, viril et agressif, plein d'assurance et de force. Il me ramena à lui, m'embrassa avec une passion qui n'avait de cesse de titiller mes sens. Il avait le culot de me demander d'y mettre du miens ; pire encore : de m'appeler Barbie. Le griffant doucement, je laissais échapper un léger grognement, montrant alors mon mécontentement face à ce ridicule surnom. L'avais-je appelé Ken ? Non, alors il allait la boucler ! Henry me mordit la lèvre, allant jusqu'à me pincer la peau et me faire saigner. Le gourmand... Je le laissais s'en délecter, sachant pertinemment que ça ne durerait que quelques secondes à peine. Peut-être étais-je trop permissive avec lui, puisqu'il glissa jusqu'à mon cou, où il planta ses crocs. Je me crispais, quelques peu surprise, alors que mes mains se plaquaient fermement contre lui. Les rôles s'inversèrent à nouveau. Moi, plaquée sur le dos ; lui, me dominant. Du moins, c'est que je lui laissais croire. Je ne pensais qu'à cette langue qui redessinait mes courbes avec finesse et habilité, m'électrisant de la tête aux pieds. Il fut visiblement gêné par mon jeans, puisqu'il me l'ôta rapidement, en faisant glisser le vêtement le long de mes fines et longues jambes. J'en savourais ses caresses, prête à les lui rendre au centuple dans l'espoir de recevoir davantage par la suite.
« Arrête de croire que tu contrôles la situation, ça m'agace ! » -lançais-je avec un sourire espiègle aux coins des lèvres. Je ne perdis pas de temps pour lui remettre les idées en place. J'avais faim, et j'en avais assez qu'il soit le soit à en profiter. Nouveau revirement de situation, en gardant mes mains dans les siennes, je vins dévorer son cou à l'aide d'une multitude de petits baisers sensuels et de mordillements. Mon corps apprivoisait le siens, dans un ballet des plus érotiques, mon bassin se frottant contre le siens. Je pouvais sentir à travers son pantalon le petit soldat se mettre au garde à vous. Et quel soldat ! Promu capitaine dans peu de temps, non ? Ma bouche se baladait sur son corps, découvrant avec subtilité la finesse de sa musculature. Je lui ôtais avec une extrême rapidité ses fringues, ayant besoin du contact de sa peau avec la mienne. Je descendais, m'occupais de lui, sentant alors que je lui faisais plaisir. Il m'en faisait part au travers de quelques grognements et soupirs. Mais il s'agissait de moi, de mon plaisir, de mes désirs ! Je me relevais, passant ma langue sur mes lèvres, lui lançant un regard sombre, plein d'envies et aussi de frustrations. Me frottant tout contre lui, je revins à l'assaut de ses lèvres, le griffant doucement, le mordant par la même occasion. Lui laissant le loisir de m'ôter mes sous-vêtements, je n'eus qu'un léger mouvement du bassin à faire pour unir nos deux corps bouillants. Un gémissement s'échappa d'entre mes lèvres rosées, glissant jusqu'à son oreille, l'invitant à me montrer ses talents cachés.
Contenu sponsorisé
.........................
Sujet: Re: I'm not afraid of you (pv)
I'm not afraid of you (pv)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum