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| Sujet: Elena Helington Lun 17 Jan - 21:18 | |
| | Chris (Christiana) Helington
Angelina Jolie AVATAR © Lily |
. Date: 16 Mars 1990Amour(s):Juste des amants…Il est rare que je les recroises… Groupe: I Think I just normal ou We are the hope comme ça correspondra le mieuxCaractère: Observatrice, Calculatrice, studieuse, déterminée, bipolaireForce(s): Ma détermination sans aucun doute, ma faculté à mettre mon intégrité de côté si ça semble nécessaire, ma tolérance à toutes les douleurs possiblesFaiblesse(s): James et Cassandra sans aucun doute… Mon passé. Manie(s): Remet systématiquement une mèche de cheveux derrière mon oreille, observe tout, tout le temps, n’a jamais de répit. Passe des heures entourées de photos de cadavres, l’œuvre des vampires Phobie(s): Que les vampires dominent le monde ? Mais je ne leur laisserais certainement pas le temps de le faire. Taux de Criminalité: 75 % (Il faut se donner les moyens de ses ambitions non ?) Quelques meurtres par-ci, par-là… Je peux me venter d’avoir eu une enfance merveilleuse. Tout du moins la partie concernant mes dix premières années. Mes origines britanniques m’ont offert la chance de grandir à Londres, ville populaire et animée regorgeant de toute sources de culture. Fille d’agent de change et d’une mère au foyer, je suis également la cadette d’un frère e d’une sœur, James et Cassandra, ayant respectivement 5 et 3 ans de plus que moi. Petit bout toujours en activité et ayant une soif d’apprendre débordante, j’ai passé la majeure partie de ma plus tendre enfance dans les musées, les bibliothèques ou en voyage avec mes parents, eux même adoraient découvrir le monde. Une vie idyllique me diriez-vous, jusqu'à ce que les années 2000, l’entrée dans le 21ème siècle ne me fasse perdre tout équilibre, toute notion de famille, toute notion de bien ou de mal. Alors en route pour l’aéroport qui nous mènerait tout droit aux Etats-Unis, à la découverte des chutes du Niagara, des secousses, bruyantes, inquiétantes pour une petite fille de mon âge… Armée de mes dix petites années, mon regard questionne les autres occupants de la voiture, notamment mon frère, James, alors fort de ses quinze ans. Les secousses redoublent d’intensité, pas de quoi nous rassuré, puis tout à coup un visage qui transparaît par-dessus le pare-brise. Des dents acérées comme un loup affamé, nous étions les cibles, lui le chasseur. Je ne pouvais encore pas à l’époque mettre de nom sur cette créature qui nous avait volé nos parents. Pour en revenir à la situation, l’attaque fut très brève, une seconde à peine suffit à la bête pour ôter la vie de nos géniteurs. Puis dans ses plans, l’idée de fignoler cette attaque en emportant peut être de quoi goûter plus tard. C’est par un incroyable élan de sang froid que James est parvenu à me garder dans la voiture alors que la créature s’apprêtait déjà à me prendre pour le dessert. Prenant le volant par un manque total d’expérience, il fut traversé de l’idée d’attirer l’attention, de faire fuir coûte que coûte cette furieuse erreur de la nature venue trouver une vie anormalement heureuse. Un bruit de verre brisé, une vitrine explosée en d’éparses morceaux, de la taule froissée et enfoncée de toutes parts mais trois vies sauves. Cassandra, James et moi étions pratiquement indemnes…Je n’avais que dix ans à l’époque des faits, notre situation bascula dans l’orphelinat le plus total. En une seconde James se retrouva responsable de ses deux petites sœurs, Cass’ et moi n’aurions jamais pu trouver meilleur tuteur. Malheureusement aux yeux de la loi, un mineur, aussi responsable soit-il n’a aucun droit sur d’autres. Alors placés sous la tutelle de notre grand mère un peu sénile mais au combien hospitalière, James s’est efforcé de nous rendre la vie la plus agréable possible. je ne me souviens pas d’une fois où il ait fait passer son intérêt avant le notre. Nous ne manquions de rien, si ce n’est de nos parents. L’état de léthargie dans lequel je me suis enfermée plusieurs mois après l’accident n’est pas anodin à mon choix de vie d’aujourd’hui. Nous sommes la somme des erreurs de nos paires non ? Encore faudrait-il accepté que les vampires soient considérés comme tels. J’ai fini par grandir, comme tout le monde, avec plus ou moins de facilité. Développant une personnalité borderline qui ne demande qu’à exploser. Je respectais les valeurs que nous inculquais James, les ayant lui-même reçues de nos parents. Je rentrais à heures fixes de l’école, faisait attentivement mes devoirs, déjeunais, dînais et goutais aux heures prévues. Evitant de faire des vagues, mais ayant pour seule obsession de venger mes parents. Mais les venger de quoi ? De qui ? Il me faudra attendre encore plusieurs années pour répondre à ça. Une adolescence plutôt difficile pour mon entourage, personnellement je l’ai très bien vécue, mais devenir un esprit torturé et obsédé par la mort n’est reposant que pour soit même, tout du moins il en donne l’illusion. fascinée par la mort, le spiritisme et toutes les choses touchant à ces domaines, j’ai fini par entamer une multitude de recherches, parfois ne menant à rien. Des heures de recherches à la bibliothèque pour finir par comprendre que même la littérature était corrompue. Les ouvrages qui auraient pu m’aider étaient solidement consignés à l’arrière de la bibliothèque, impossible d’y accéder, surtout en étant mineure, et impossible pour moi de parler de mes intentions à James ou Cass’, ils m’en auraient dissuadés et rentrer en conflit avec eux était la dernière de mes intentions. Je peux dire que je dois mon courage à l’exemple de mon grand-frère, et ma capacité à observer de Cass’. Je m’inspirais beaucoup d’elle petite, refaisant à l’infini les mêmes mimiques qu’elle dans l’espoir de lui ressembler. Mais le temps de l’innocence ne dure qu’un temps.Je n’ai jamais eu de problèmes avec mon corps, au contraire c’est un atout. Une plastique largement avantageuse on ne va pas se mentir, j’ai pour habitude d’être très franche avec moi-même. Ces réponses que j’étais prête à chercher aux quatre coins du monde se trouvaient peut être dans le lit d’un expert. Faire parler un homme est d’autant plus facile quand il est attiré par vous. A force de don de soit et de recherches j’ai fini par trouver, par mettre un nom sur cette abominable créature, bel et bien erreur de la nature : Un vampire… Le premier à m’avoir sorti ça était rond comme une queue de pelle, mais le second semblait tout à fait lucide et le troisième m’a apporté des preuves que même mon esprit cartésien ne parvenait pas à réfuter. J’ai 18 ans, il faut que je choisisse une fac et quoi de mieux que la NYU school pour user ses guêtres ? Mes efforts ont payés, mes heures à bûcher aussi, je sors lauréate et première de ma promo dans un lycée de Londres. Grâce à une bourse d’étude j’entre en section parapsychologie, mes options se composent de mythologie, de sciences humaines et de tout ce qui s’y rapporte. J’enchaine les heures, sans broncher, je passe ma première année, puis la seconde. Avec pour seul but l’idée de rendre justice à mes parents, et quand je repense à Cass’ et James, je me dis que je le fais aussi pour tous les trois…
Les choses se confirment, nous avons bien eu à faire à un vampire, mes recherches commencent à toucher à leur fin. La haine en moi grandit et je grandis moi aussi, je deviens femme. Développant un caractère assez difficile à suivre. Mes petits amis ont du mal à tenir une conversation sur ce que je suis, j’ai du mal à garder une relation durable. Je peux être quelqu’un de vraiment serviable, ayant le sourire jusqu’aux oreilles, prête à donner ma chemise au premier venu, mais au moins écart me montrer sans pitié, sans remords, je ne sais pas si l’équilibre fait parti de moi, sans doute pas. je suis tout est son contraire, on appelle ça une personnalité borderline ou bipolaire, moi tout ce que je vois c’est qu’un jour j’aurais ma vengeance, que je ne suis finalement pas sur Terre pour rien. Et tout ça ne fait qu’empirer quand les vampires sortent au grand jour. Enfin grand jour… Ironie du sort ils y sont allergiques. Un simple rayon de soleil peut les réduire à néant. Ca et la Vervaine, cette plante que j’ai toujours sur moi. Il est à l’instar du feu pour la glace. Il est temps pour moi de choisir une spécialité et de penser à mon avenir. Jusqu'à présent je ne pouvais pas consacrer ma vie à ce que les gens pensaient être un mythe. Les vampires n’étant alors que les protagonistes des histoires de gosses. Je serais profiler. Observer est dans doute ma plus grande qualité et mon don le plus précieux. Je parais dans la lune comme ça, mais je me focalise sur les détails, faisant fi du général et de la globalité. Maintenant qu’ils sont reconnus comme faisant parti de la société, et dieu sait si ça me coûte de le dire, je peux m’engager dans une cause censée. Mais pour ça il me faut trouver le chemin le plus judicieux, et à force de trainer dans les bars à la fin des cours, je fini par l’avoir cette fameuse révélation : Aaron l.Hemingway. Cet hommes est, depuis la franche exposition de ses idées, devenu mon chemin de croix. Me voila partie de NY pour retrouver Chicago et me faire une place au sein de son cercle. Place que je trouve en montrant mes références, fervente et fière détentrice d’un diplôme tout ce qu’il y a de plus officiel en l’analyse comportementale de l’humain et ses pairs. Ma spécialisation n’a pas mit longtemps à tomber : l’analyse des vampires sera mon combat. Je passe ensuite un complément pour devenir criminologue. Helios est ma référence, je ne vis que pour la cause qu’ils défendent. Je ne me sens pas femme au point de penser à moi en premier, mais à ma vengeance, et je n’hésite pas à payer de ma personne. J’ai aujourd’hui trente ans et le même objectif qu’il y a 20 ans, détenir la vérité, me venger, et ouvrir les yeux au monde entier. Ce ne sont pas nos amis, nous sommes à leur merci, à la merci de leur force, de leurs pouvoirs, nous ne sommes que des réserves de sang capable de ressentir la peur qu’ils nous insufflent. Je peux me venter d’être en quelque sorte un des bras droit d’Aaron. Pour ma couverture j’occupe un poste de criminaliste à la Police Judiciaire de Chicago. Officieusement je détourne les dossiers ayant attrait à des crimes vampiriques pour les étudier dans leur ensemble et en faire ressortir des détails qui pourraient m’aider à les coincer, à en exterminer la race. Je suis un peu plus active depuis quelques mois, voir maintenant une année ou deux, chose qui a tendance à irriter mes collègues officieux. L’idée de savoir que je suis prête à coucher avec un vampire pour l’exterminer ensuite plus facilement n’est pas à leur goût. Mais je poursuivrais ce schéma aussi longtemps que j’en aurais besoin. Après tout ils ne sont pas à quelques uns prêts.
Age: Majeure !Surnom: LilyComment avez-vous connu le forum ?: par Sophie à ses débuts ;) Mon premier compte est Maddison Keller Exemple d'RP (obligatoire): - Spoiler:
Je pensais avoir un caractère à la con mais Savannah me prouve qu'elle a largement de quoi rivaliser. C'est vrai quoi, après tout je me suis tapée Adriel, je l'admet, mais étais-je réellement en position de penser que ça pourrait lui faire du mal ? Après tout elle est revenue juste après que nous nous soyons "mis ensemble" chose qui au passage n'a pas duré longtemps. Nous n'étions pas amoureux, ça c'était clair depuis le début. On se faisait du bien, on se tenait compagnie, on se donnait confiance mutuellement, un peu comme des amis qui couchent ensemble. Il m'avait appris ce que faire l'amour voulait dire, Henry et moi baisions plus que nous ne communiquions et comme toute femme, je commençais à me demander si tout ça avait finalement du sens ou bien si je persistais à jouer un jeu dans lequel je m'enfonçais un peu plus profondément chaque jour. Cependant elle n'est pas désolée et compte bien me le faire savoir.
Heureusement que tu ne le dis pas, la gueule n'aurait pas suivit. Le profilage facial. Ca te trahi toujours.
Je la connaissais par coeur, je ne saurais dire pourquoi j'avais toujours eu autant de facilité à la prévoir. Je connaissais Savannah mieux que je ne me connaissais moi. Remarque j'ai toujours dit que j'avais de sérieuses lacunes me concernant. Je ne savais pas qui j'étais et je ne le sais toujours pas. Parfois Sav' me fait entraperçevoir quelques bribes de moi même. La retrouver elle équivaut à me retrouver moi. N'importe quel psy vous dira que c'est parce que j'ai été élevée dans un milieu bien trop masculin et qu'une présence féminine me manque de façon chronique, je n'y peux rien ! Névrosée un jour, névrosée toujours !
Je suis la dernière des connes sur cette planète quand il s'agit de parler d'Henry, j'te l'accorde, mais s'il te plait, ne remue pas le couteau dans la plaie avec cette... Pute de Kristy, vu ?
Relevant les yeux vers elle alors que j'étalais mes bras sur la table d'un geste nerveux. Non je n'aimais pas qu'on me rabache encore et encore le même refrain, je sais que je suis du genre obnubilée par lui, mais qu'est-ce-que j'y peux ? On ne peut rien contre une obsession, les mecs naissent avec celle du sexe, on ne les considèrent pas comme malades pour autant ! Alors effectivement dans le genre cause perdue elle est en train de me battre là, c'est flipant darling !
Tu couches avec un mec alors que t'es raide dingue d'un autre et tu viens me faire chier à te lamenter parce que tu ne pourras pas le récupérer. Ouai Sav, on est au fond du gouffre, toutes les deux. Mais tu vois d'un coup je comprends pourquoi tu m'en veux moins, t'es pas toute seule au fond du gouffre, on est deux.
Délicatesse quand tu nous tiens ! Je bus l'intégralité de mon expresso avant de reposer la tasse et de la regarder dans les yeux en prenant ses mains, son contact m'avait manqué. Malgré la façon que j'ai de le formuler.
Il baise bien au moins ? Non parce que ce serait con de foutre une potentielle remise en couple pour un mauvais coup. Même s'il te protège tu vois. Faut pas mélanger les deux, sinon t'as plus le droit de critiquer Henry, et sans ça parler de moi deviendrait chiant.
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