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| Sujet: Louise R. Merihalti Mar 21 Sep - 20:10 | |
| | LOUISE REIJA MERILHATI
AMANDA SEYFRIED © Tchek.
| .PLAY THE GAME Date: 21/12/1498 Amour(s): Elle seule.Groupe: Your blood is like a drugCaractère: Cynique, perverse, assoiffée de vengeance, sanguinaire, manipulatrice Force(s): Son absence de conscience.Faiblesse(s): Son passé.Manie(s): Se mordre la lèvre.Phobie(s): Son passé.Plutôt: AGRESSIVETaux de Criminalité: 80%, elle se contrefiche des règles, et elle est bien trop maline pour se laisser attraper si facilement... Elle a tué son "maître", a torturé tout ceux qui l'avaient violée. Elle a tué leurs fils mais à bizarrement épargné les femmes et les petites filles, qu'elle à tout simplement pas touchée. Depuis, elle s'est décidée de se calmer afin de mieux revenir içi.
ONCE UPON A TIME
- « Qu’est-ce un enfant ? Un morceau d’amour abandonné, un miroir, une victime. »
La vie, on ne me l’a pas donnée, on me l’a infligée. Obligée de vivre et de voir le jour dans un monde hideux dont je ne croyais pas l’existence. Le noir était paisible avant. Pourquoi m’avoir changé ? Dès la première seconde j’ai sut que la vie ne voulait pas de moi. Je suis née malheureusement à Helsinki petite ville finlandaise pas très grande pour les années de 1512. Ma mère était pauvre et mon père biologique l’a abandonnée lorsqu’il à sût qu’elle était enceinte de moi. Il ne voulait pas s’occuper de moi. Homme marié bourge s’étant épris d’une petite campagnarde blonde aux yeux magnifiques. Ma mère était malade elle ne travaillais pas. Elle me mit au monde dans un hôpital miteux qui ne prit guère soin de moi. Je ne lui en voulais pas tellement de m’avoir abandonnée deux jours après ma naissance sur les marches glacées d’une église. Je lui en veux de m’avoir donné la vie ce qui est différent. Elle m’a donc déposée, en pleurs, sur les marches de la grand église d’Helsinki, espérant que je sois recueillie par une bonne sœur et que je sois adoptée. Que je devienne belle et une battante qu’elle n’était pas. Que j’ai des amis, un mari et de merveilleux enfants. Mais maman, rien de tout ça ne se passa. Un homme tout de noir vêtu et à la démarche étrange se balader sans les rues à l’affût me kidnappa et m’emmena loin, très loin pour m’exploiter pour me tuer à petit feu.
- « Le suicide, ce n'est pas vouloir mourir, c'est vouloir disparaître. »
Pré-Adolescente, je ne me voyais pas être femme. Aimer un homme m’était devenu impossible. Ils étaient tous les mêmes, des brutes. Je les détestais. Déjà à 10 ans j’étais blasée de tout. Je travaillais comme deux personne et ceux depuis l’age de cinq ans. J’ai toujours rêvé que tout ça n’était qu’un long cauchemar et que je me réveillerais auprès de ma mère aimante et qu'elle serait là pour moi. Mais ce cauchemar était réel. J’étais une esclave. Et l’esclave avait un maître. Il s’amusait à exploiter sa petite poupée de porcelaine. Il me prêtait à des amis pour la nuit. Je me faisais frapper, violer, je subissais toute sorte de traitements les plus ignobles les uns les plus ignobles que les autres… La vie m’avait fait un cadeau empoisonné. J’étais une poupée de porcelaine aux cheveux blonds, aux yeux bleu pure et à la jeune poitrine naissante. Tout ce que les hommes aimaient pour la plus part. Je détestais ma vie à un point inimaginable. Je détestais ce que j'étais, une petite fille plutôt mignonne, aux yeux délavés. Qu'est-ce que j'aurais aimé être obèse, ou repoussante à mourir. Au lieu de ça, j'étais cantonnée dans cette enveloppe, vouée à être l'esclave sexuel de tout le monde qui avait le moyen de me payer à mon "maître."
Vint mes 14ans. J’étais déprimée. Je me faisais empruntée de plus en plus. Le jour aussi maintenant. Je détestais la vie et j’étais prête à y mettre un terme. Je voulais oui, me suicider. Mon cœur était empli d’un désespoir qui me rongeais tout les jours. Je me lacérais le corps de coup. J’étais plus que souillée. Adieux les rêves de princesses et princes charmants. Je serrais pour toujours sa poupée. Son esclave. Je n’en pouvais plus, j’ai tenté de m'échapper de nombreuses fois. Mais il me rattrapa toujours comme si j’étais lui même et qu’il me connaissait comme sa poche. Y avait il une vie meilleure qui m’attendais quelque part ? Je n’y croyais pas. Un soir je prétendis à une sortie. ( Oui j’avais le droit à une sortie d’une heure par semaine ). J’allai sur le plus haut immeuble que j’ai vu. Sachant que pendant le courant 1510-1520, c’était dur. Puis, je vis là un vieux manoir délabré sûrement, en pleine ville. Je monta au tout dernier étage. Je me suis placée sur le rebord du toit, et contempla longuement le vide. Comme si il m’appelait. J’avais envie d’aller flirter avec le vide. Le vent soufflait dans mes cheveux d’or. Mes larmes coulaient et venaient mourir dans le vide. Oh oui, qu’est-ce que j’aurais aimé être une larme... Adieux vie infâme. Bonjour vie meilleure. Et là un pied devant l’autre, je sauta dans le vide. Tout cela fut très rapide. J’ai eu la courte impression de voler, mon cœur lui battait tellement vite que je crus faire une attaque. J’aurais tellement aimé. La vie décidément me haïssais autant que moi je la haïssait. J’heurtai le sol dans un craquement sourd. Mes os s’étaient brisés les uns après les autres, mon cerveau bondissait dans sa cage, et je baignais maintenant dans une marre de sang qui ne cessait de grandir. Mais pourquoi diable étais-je encore « consciente » ? Parce que j’étais paralysée à vie. J’étais morte physiquement, mais mon âme torturée vivait toujours elle. Je resta un bon moment allongée comme démembrée sur le pavé, froid. J’espérais mourir. Si vous saviez comme je l’espérais tellement. Je priais pour que l’on m’écrase ou que l’on m’achève. C’est tellement grave et triste de se trouver dans un désespoir si profond à un si jeune age. J’espérais me vider de mon sang sur le pavé froid Je resta longtemps comme ça, tel un légume. Mon maître avait eu pitié moi. Si l’on peux dire ça comme ça bien que je n’y crus pas. Il s’occupa de moi pendant trois ans. J’étais alors âgée de 17 ans lorsqu’il me jeta dans la rue pendant un hiver glacial. Enfin j’allais pouvoir mourir. Certes je souffrais, mais plus pour longtemps du moins je l’espérais.
Si vous saviez à quel point j'espérais mourir, là sur le pavé froid. Que mon âme repose enfin en paix et que je puisse me reposer. Mais pour l'instant j'étais bien là, la neige commençait à tomber sur mon visage. Les flocons tombaient de plus en plus fort, et je fus rapidement recouverte de moitié. C'est alors qu'une femme, aussi pâle que la neige arriva avec sa démarche dansante. On aurait dit une Nymphe tout de noir vêtue. C'est alors, que son regard croisa le mien. Elle me regarda longuement. Je ne voulais pas, alors je ferma les yeux afin de ne plus voir son visage et ses courbes parfaites. Mais c'est alors, qu'enfin je me sentais partir, qu'une morsure dans le creux de mon cou me fit avoir un spasme qui me secoua intérieurement. Je sentais enfin mes membres, après tout ce temps. Je me roulais par terre de douleur. Mon sang bouillonnait en moi, ma tête était sur le point d'exploser. Elle était là encore près de moi à marmonner des paroles incompréhensibles sur des histoires vampiriques lointaines.
FLASHBACK.
J'étais là, accroupie, à regarder les yeux vitreux de mon ancien ravisseur si je puis l'appeler comme ça. Mon tortionnaire, celui qui m'avait séquestré toutes ces nombreuses années dans cette foutue taverne. Et là, il était mort. J'étais le monstre sanguinaire qui lui avait ôté la vie. Parce que c'est ce que j'étais devenue. Un monstre assoiffé de sang et de vengeance. J'avais tué tout ceux qui avait abusé de moi pendant ces longues années, et j'avais laissé prendre peur l'acteur principal de mon drame. Il les avait vu mourir les uns après les autres, sachant pertinemment que son heure arriverait très bientôt. Et ce soir, j'avais prit mon pied de la meilleure des façons. Je l'avais saigné de toute part, une vraie boucherie.
Je me recula afin de mieux voir ce chef d'œuvre réalisé par mes soins. Son corps mutilé trônait sur une chaise, ligoté comme un pauvre saucisson. Ses yeux fixaient le vide, il n'avait plus de bras, car j'avais pris un malin plaisir à le démembrer comme pour en faire un puzzle. Je virevoltais autour du corps inerte, mes pas dansant joyeux comme jamais. Puis m'arrêta net au niveau de ses cervicales, aux quelles je donna le fichu coup de grâce d'un violent coup de main. Si violent que sa tête faillis se décrocher, quoi que j'aurais trouvé ça très amusant. C'est alors qu'après une nuit sur sa chaise piteuse, je détruis les liens qui le retenait dans sa position initiale et le corps vint heurter le sol en un craquement sourd. J'étais fière, je lui avais mit la peur de sa vie. J'avais d'abord commencé par lui taillader le corps de toute part. Puis, afin de ne pas gâcher la marchandise le vida presque de son sang , et l'achevant en lui arrachant les membres un à un. Et je l'avais laissé mourir à petit feu, tout comme moi je l'avait subit toute ces années.
End.
Mais c'est alors, quand son compte fût régler à lui, et à tout ceux qui avaient contribué à mon meurtre, le trou noir apparu. Les siècles étaient passés à toute vitesse, J'avais vu les plus grandes boucheries que les humains s'étaient amusés à commettre pour des futilités sans nom. J'avais vu la technologie et le monde évoluer. C'était fascinant. Et dire que maintenant on était déjà en 2020. Presque 5siècles s'étaient écoulés depuis ma naissance, et malgré tout, j'étais toujours autant sanguinaire et assoiffée, et un nouveau vampire avait débarqué amenant son lot de déchirement et de malheur pour les Humains.LET ME ENTERTAIN YOU Age: Presque 16 (Y)Surnom: TchekComment avez-vous connu le forum ?: Cake un jour, Cake toujours.Exemple d'RP (obligatoire): - Spoiler:
« At first, when I see you cry It makes me smile Yeah it makes me smile. » • Lily Allen.
“ Ma chère, très chère jumelle.
J’ai appris que tu étais enfin arrivée à Poudlard, et donc que tu avais finis ce que les parents avaient planifier avant ton entrée en Angleterre. Que je suis heureuse, que tu sois enfin avec moi. Car oui, le duo infernal est beaucoup moins drôle sans la petite Evelyn, je dois l’avouer. Rejoins moi cet après-midi dans le parc près du lac. Il faut que l’on parle, et surtout, nous retrouver chère jumelle bien aimée.
Ta sœur, Abby. »
Abby signa nerveusement la lettre et la mit dans le bec de son hibou grand duc et lui dit de trouver sa seconde maîtresse, ce qui ne serait sûrement pas si dur. Elle devait être entrain de se pomponner ou bien de jouer son rôle de petite fille machiavélique et tyrannique. Abby aimait tellement sa jumelle ! Elles se ressemblaient surtout intellectuellement, elles étaient toute les deux aussi sournoises, narcissiques et surtout, elles aimaient faire le mal autour d’elle ce qui n’était pas négligeable et ne passait pas inaperçu chez les serpentards. Elles étaient des briseuses de cœur, car les Liechtenstein avaient un physique qui était loin de pouvoir passer inaperçu… Les deux jumelles étaient grande et leurs silhouettes étaient élancées. Mais physiquement la seule chose qui les retenaient l’une à l’autre, étaient sûrement leurs petit sourire de coin, et leurs cheveux bruns foncés. La jeune serpentarde était très féminine, elle aimait les robes qui ne passaient pas inaperçu et son style vestimentaire pouvait tiré tentot du style Sweet Lolita au style tout simple, Chemise Ingalls débardeur noir, jean et baskets de grande marque. Car Abby à elle seule, pouvait être plusieurs personne à la fois.
L’heure « fatidique » arriva, une fois vêtue, les cheveux soigneusement brossés et préalablement laissés au vent, La jumelle sortit du château se hâtant de rejoindre le parc. Elle avait donné rendez vous à Evelyn… Et Ulrich leurs frère, le traître du sang Liechtenstein, le vaut rien. Même si elle lui avait donné rendez vous, elle ne lui pardonnait pas ses erreurs pour autant. Lorsque l’on est dans une famille de mangemorts on ne peut que devenir un mangemort. Mais non, Monsieur à décidé d’être différent et de prendre le chemin des ennemis ; Soit, qu’il en soit ainsi, mais il paiera sa faute de sa poche. Ce n’était pas à nous, les jumelles les plus maléfiques que le monde ai porté, de payer pour lui.
C’est alors, que l’heure arriva, Ulrich était là, posé contre un tronc d’arbre tandis que j’eusse entendu le doux soprano d’Evelyn. Ah, avais-je omis de vous dire ? Deux traits rassemble encore Abby&Evelyn . Leurs voix, elles étaient quasiment similaires. Et leurs yeux, qui changeaient de couleurs sous le coup de la colère. C’était ‘’ Fun ‘’ .
Evelyn avait enfin fait éruption dans le champ de vision d’abby, c’est alors qu’elle entreprit la croise qu’était d’aller rejoindre sa jumelle. Elle avait envie de lui sauter dessus et de la prendre dans ses petits bras. La jeune adolescente se leva d’un bon vif et se mit à marcher rapidement dans sa direction. Lorsqu’elles fussent près l’une de l’autre, sa jumelle rétorqua la mine amusée :
« Enfin à Poudlard ! Dis-moi ma chérie, j’espère que tu m’as au moins laissé quelques cœurs à piétiner ? rétorqua-t-elle à sa jumelle, un sourire en coin. »
Abby aurait voulu lui répondre, mais Ulrich sortit de sa cachette, et commença à marcher vers les deux jumelles. Et le cœur d’Abby lâcha. Elle savait que sa Jumelle était verte de colère et qu’elle serait prête à le torturer pour avoir fait endurer tout ce qu’il a fait subir à la noble famille des Liechtenstein.
« - Calme toi. »
Le soprano d’Abby sonna comme faux, et elle posa une main sur sa sœur. Elle regarda les yeux de sa jumelles qui viraient au violet, tandis que ceux de sa jumelle d’un naturel Emeraude filaient au bleu. Elle était tout aussi en colère, et jamais elle ne pardonnerait Ulrich de sa trahison. Un serpentard au cœur de Poufsouffle. C’était d’un pitoyable à faire rire un suicidaire. Mais il fallait voir le côté tactique de la chose, peut être arriveront telles à le manipuler afin que l’honneur des Liechtenstein soit sauvés. Qui ne tente rien n’a rien. Et peut être qu’à coup de torture, elles arriveront à le faire changer d’avis. Une scène de dispute intervint entre Evelyn et Ulrich. Puis, une fois que la jumelle fus calmée la charmante apprentie-Mangemort prit sa soeur dans ses bras et l'embrassa affectueusement sur les deux joues. Quand à son frère, elle se contenta d'un regard méprisant à son égard. Il n'était plus rien pour elle. Néanmoins, elle craignait que, du point de vue de sa soeur, cela n'est changé. Après tout, qui sait ce qu'il a put lui dire au cours de ses six mois? Le jeune homme était très fort à ce jeu là.
Oui, le trio infernal était enfin réunis. Pour le meilleur, et surtout, surtout le pire. Et bientôt, Poudlard allait succomber à la guerre des Liechtenstein. Jusqu’à la défaite de la partie adverse.
Dernière édition par Louise R. Merilhati le Mar 5 Oct - 15:12, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Louise R. Merihalti Mer 22 Sep - 22:25 | |
| Tout d'abords, bienvenue parmi nous vue que je ne l'ai pas fait avant ! =) Merci de ton inscription.
J'ai quelques trucs à dire en ce qui concerne ta présentation. Je trouve que tu ne développe pas assez la transformation de ton personnage, j'entends par là que tu passes sous silence ce qu'elle devient. Son caractère, et tout le reste. On peu la cerner au début, mais à la fin c'est impossible. On ne sait pas si la transformation l'a changé ou non. J'apprécierais que tu développes un peu plus cette partie de ta fiche. De plus, j'ai cru remarquer quelques fautes d'orthographe, plutôt de conjugaison, si tu pouvais arranger tout ça =) Pour finir, je ne peux pas t'attribuer un taux de criminalité à 80% si tu n'en expliques pas les raisons. Des raisons concrètes en quelque sorte.
Sinon, je n'ai rein d'autre à dire. En espérant pouvoir te valider de si peu ! |
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Henry Fitzroy
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| Sujet: Re: Louise R. Merihalti Ven 8 Oct - 14:43 | |
| le problème de mise en forme est partiellement réglé.. ta fiche est passé en BB code alors que c'est une fiche html.. je ne comprend pas trop ce qui c'est passé sur ce coup la.
Pour ce qui est de ta fiche pour moi cela semble correct je vais attendre l'avis de mes camarades ;) |
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